J’avais 12 ans, l’âge des premières montées d’hormones et même pas encore de poils au zizi. Comme beaucoup de gamins j’aimais tripoter la bite de mes copains et c’est d’ailleurs ce qui m’a fait découvrir le jus blanc chez les plus précoces alors que moi je n’en giclais pas encore mais ça n’allait pas plus loin. Mais aussi, sans trop savoir pourquoi, probablement par fétichisme, j’ai commencé à me déguiser secrètement en empruntant la lingerie de ma mère et je me pavanais longuement devant une glace la culotte baissée, mon oiseau caché entre mes cuisses. J’avais déjà les cheveux suffisamment longs pour faire illusion et assez vite l’envie m’a pris de m’offrir au regard des autres en m’affichant devant la fenêtre de ma chambre. Au début, je restais tout de même prudent et ça n’a pas donné grand-chose jusqu’au jour où des travaux de ravalement ont débuté dans l’immeuble d’en face. Un des peintres a remarqué mon manège et a commencé à m’observer ostensiblement. Le cœur battant, j’ai relevé ma petite combinette en satin jusqu’à la taille en guettant sa réaction. Il continuait à regarder fiixement et après un moment d’hésitation, le dos tourné, bien penché en avant j’ai fait glisser la culotte jusqu’aux chevilles en me tortillant vicieusement. Lorsque j’ai voulu constater sa réaction il avait disparu et j’ai eu un moment de dépit mais cinq minutes plus tard, il est venu sonner à la porte, ce que, dans ma candeur, je n’avais absolument pas imaginé et je me suis mis à transpirer d’angoisse en pensant que si j’ouvrais, je risquais peut être de prendre la plus belle raclée de ma vie mais il a tellement insisté que j’ai fini par le faire de peur qu’il ameute les voisins. Quand il est entré je n’en menais pas large mais je me suis rassuré en le voyant quitter sa combinaison de travail sous laquelle il était entièrement nu et bandait comme un taureau. C’était la première fois que je voyais un sexe d’adulte et même si objectivement il était juste un peu plus gros que la moyenne, la taille et surtout l’épaisseur dépassaient largement celles de mes petits camarades. J’ai tendu une main timide pour commencer à le branler mais il m’a repoussé et sans un mot m’a entrainé dans ma chambre. Je n’avais pas la moindre idée à propos des pratiques anales et lorsque, plaqué à plat ventre sur mon lit j’ai senti qu’il voulait introduire son gourdin dans mon petit orifice j’ai te ...

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