N’étant pas revenue à l’Atlas depuis plusieurs semaines, la préparation de mon retour m’a beaucoup « mobilisée » les jours précédents : achat de nouveaux habits (chaussures, dessous, lubrifiants, bas, maquillage, etc.), j’ai même fait les dernières soldes !
Le week-end juste avant, j’ai passé mon temps à me préparer : épilation intégrale (même les avant-bras), épilation soignée autour de mon orifice et autour de mes tétons (plus ces zones sont lisses, plus les mâles ont envie de s’y attarder… et j’adore sentir une langue errer longuement dans ces zones, ça me rend littéralement folle et ça m’excite comme pas possible), lubrification régulière de mon corps, en insistant particulièrement sur mes zones érogènes les plus sensibles, nombreux passages sur le site « lieux de drague » pour dialoguer et largement diffuser la nouvelle de ma venue et, bien sûr, entraînements quotidiens de mon orifice avec mes « jouets » (se terminant toujours par des traites copieuses…)
Le lundi matin, je me suis préparée en prenant bien mon temps : dernière vérification de mon épilation, corrections éventuelles, lubrification abondante de tout mon corps, massage avec des huiles jusqu’à ce qu’ils pénètrent bien puis début d’habillage avec mes habits de chienne : les bas noirs, les surbas noirs, mon tanga fushia « Victoria secret » (très apprécié lors de mes sorties : il me met les fesses très bien en valeur…), ma robe orange à pois blancs, mon collier de chienne (avec la laisse en acier) et je finis avec ma cage de chasteté (article obligatoire pour m’empêcher de jouir au bout de quelques minutes au cinéma). Mes contacts dominants m’imposent cet accessoire et j’y ai vraiment pris goût à tel point que je peux plus m’en passer. Beaucoup d’hommes ne connaissent pas les cages, ça les surprend au début, ça les intéresse ensuite, et puis ça les excite très vite, ils ne mettent pas longtemps à me présenter leur sexe dès qu’ils ont – très vite – compris la chienne que je suis et ce que j’attends : les sucer, me faire explorer par un maximum de males en même temps et me faire abondamment asperger le visage de leur semence.
Une fois prête, j’ai pris mon sac, j’ai mis un fuseau, des petites baskets et mon long imperméable, rien d’autre. Arrivée dans le cinéma, vers midi j’étais quasiment prête : j’ai enfilé ma coiffe blonde mi-court, j’ai mis ma chaîne à mon collier (déjà porté), j’ai retiré mon fuseau, j’ai remplacé mes petites baskets par mes chaussures à talons et j’ai enlevé mon imperméable. J’ai mis mes affaires inutiles dans mon sac, j’ai gardé la petite housse de ma cage avec moi (pour y mettre dedans mon flacon d’huile lubrifiant, un tube de vaseline et des préservatifs) et je me suis rendu à l’accueil pour y déposer mon sac. C’est toujours très excitant de se rendre à l’accueil en tenue de pute, presque nue à quelques mètres de la rue, que l’on voit et d’où l’on entend les bruits de la vie de tous les jours… Ca me donne une envie terrible de sortir dans la rue avec ma tenue de pute et de regarder dans les yeux les gens que je croiserais, voir leurs regards réprobateurs… Je m’imagine être très vite encerclée par une foule de personnes, qui commencent à m’insulter, me gifler, me cracher dessus, me pincer les tétons, me tirer sur mon sexe encagé, me fouiller le cul, m’écarter le cul, me tenir fermement par ma laisse et m’imposer des poses salaces, m’exposer comme une chienne qui ne sait pas se tenir en société…
J’ai trop envie de m’exposer en public, de commencer progressivement et d’exécuter le conditionnement imposé par mon maître de Marseille : Ce mercredi 8 mars, je reviens au cinéma. Je vais arriver de la rue avec mes talons, ma chevelure blonde déjà mis et sans mon fuseau ni mes petites baskets. Je serai prête avant même d’entrer dans la salle, je n’aurai qu’à enlever mon imperméable et laisser mes affaires à l’accueil tout de suite après avoir passé la caisse. J’entrerai dans le cinéma prête à être prise en main et très excitée parce que j’aurai traîné dans la rue avec mes bas et mes talons visibles en bas de mon imperméable. Je serai d’autant pas « discrète » dans la rue que je porterai des bas résille blancs… Car, ce mercredi 8 mars, je vais sortir avec mes dessous blancs (guêpière, culotte soyeuse et bas résille). D’ailleurs, au moment où je suis en train d’écrire (nous sommes le mercredi 8 matin), je porte déjà ces dessous sous mes habits « normaux »… Vers midi, je descendrai dans la rue pour me rendre au cinéma avec mon imperméable pour « cacher » un peu ma tenue de pute qui part à l’abattage…
Pour revenir au lundi 6, un peu avant d’aller déposer mon sac à l’accueil, alors que je terminais les derniers ajustements de tenue, un homme mûr est venu plusieurs fois vers moi et il a fini par éjaculer sur ma poitrine, trempant les haut de ma robe orange à pois blancs. C’est donc fraîchement aspergée que je suis allée déposer mon sac à l’accueil…
Ensuite, je suis revenu les salles de projection pour commencer à déambuler nonchalamment, pour me faire remarquer des mâles présents et pour faire l’état des lieux (fréquentation moyenne). Comprenant que le cinéma était calme et que ça n’avait pas trop l’air de démarrer, je suis allée dans la pièce obscure (toilettes) attenante à la grande salle de projection (celle du haut). Patiente, j’ai décidé d’enlever ma robe et de rester simplement habillée de mes talons, mes bas, mon tanga, ma cage, mon collier et ma chaîne. J’ai fait quelques allers-retours dans cette tenue vers la salle du bas. C’est très excitant de descendre l’escalier avec ma tenue de pute sous le regard de mâles pervers qui en profitent pour bien reluquer mon cul cambré accentué par le port des talons. Au bout d’un moment, lors d’un retour dans la salle sombre du haut, je me suis arrêtée dans le couloir sombre, j’ai été rejointe par un homme mûr, il a commencé à s’occuper de moi, me caresser, me fouiller, me pincer les tétons, vraisemblablement, soit il avait lu ma fiche sur le site, soit il devinait exactement ce qui m’excitait beaucoup… il m’a bien chauffée, ensuite un autre homme avec un gros sexe et un gros prépuce nous a rejoint, et il a commencé à s’occuper aussi de moi de la même manière, un peu plus brutal (donc c’était de plus en plus bon). Ce second homme a été rejoint par un autre, avec un sexe lisse de taille moyenne, mais très excité, plus le 1er me maltraitait (gorges profondes imposées, gifles, crachats sur le visage, fouillage de cul, fortes claques sur les fesses, pincement des tétons), plus l’excitation du second montait… il a joui très fort un première fois sur mon visage et très vite une seconde fois dans ma bouche… pendant ce temps, le 1er homme continuait à me maltraiter et 3e homme s’était joint à eux et je sentais ses mains me parcourir le corps avec des caresses précises (tétons, anus, sexe… ). ...
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