Karl s’était bien amusé avec moi, entre la fessée vigoureuse et la fellation humiliante qu’il m’avait fait subir. De mon côté j’avais aimé sentir sa queue épaisse dans ma bouche. Jusqu’à l’apothéose, quand son membre avec giclé par secousses en tapissant mon palais.
A ce moment-là j’avais bien resserré les lèvres pour ne pas perdre une goutte.
J’étais consentant et demandeur…
Je m’étais senti vraiment bien en sortant de chez lui. J’avais gardé en bouche le goût de son jus.. Je venais de me prouver que j’étais une vraie lope.
On était resté en contact, une rencontre avec lui et sa femme Béatrice était envisagée.
Deux mois plus tard, le temps de caler nos dates, me voilà un samedi de mai en train de circuler dans les rues d’Arcachon à la recherche de la maison.
J’ai un peu d’avance le rendez-vous est à 14 h, du coup je traîne dans le quartier en essayant de ne pas me faire signaler par un voisin soupçonneux.
Je sonne à l’heure pile, je ne fais pas le fier. J’entends des pas et une jeune sexa m’ouvre. Une belle plante, look sportive bronzée, les cheveux courts teints en jaune ! Elle fait ma taille à peu près, je fais 1,72 m. Elle est vêtue, si on peut dire, d’un bikini noir pas vraiment caché par une blouse transparente qu’elle a fait semblant de fermer avec deux ou trois boutons.
Elle m’accueille sans façon, assez rigolarde.
« Alors c’est toi le suceur de Karl ! Entre ! »
Je la suis dans le jardin, j’ai sous les yeux ses bonnes fesses bien mises en valeur par son tanga. C’est un spectacle alléchant mais mon sexe reste ratatiné d’appréhension…
« Karl a beaucoup aimé tes talents !! Il a dû partir chez son frère, mais il revient demain. En attendant on sera avec Véronique une copine qui est là pour le week-end »
Je ne regrette pas forcément les mains larges du fesseur Karl..
On arrive au bord de la piscine. De l’autre côté une brune nue sur un transat me regarde avec curiosité.
« Déshabille-toi, enlève tout ! »
Je m’exécute comme un petit garçon et jette ma chemisette par terre. Je reçois aussitôt une gifle sur ma joue gauche, assez forte !!
« Ramasse et plie tes vêtements soigneusement sur cette table !! »
L’entrée en matière est rude.
Je me retrouve penaud, complètement nu devant elle. Elle examine mon sexe et mes parties avec attention. Bien sûr je me suis épilé avec soin.
« Je vais t’encager, mets tes mains derrière le dos. »
« Attends, ça m’intéresse !! »
C’est Véronique. Elle noue un paréo autour de sa taille et arrive sans traîner.
Dans la fin de la cinquantaine elle aussi, jolie, menue ...

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