Ce jour-là, en juillet dernier, avait commencé tôt mais la chaleur envahissait déjà l’atmosphère dés 8h00 du matin. J’étais donc arrivé tôt au bureau. En plus de cela, une envie frénétique de sexe me taraudait, sans me quitter. Vers 11h30, je décide de me rendre à une aire de repos dont j’ai entendu parler.
Sur l’itinéraire, je me change pour ne garder que mon maillot de bain et un tee-shirt sans manches très large. En arrivant je remarque 4 voitures garées, personne à l’intérieur. Je stationne plus loin et décide d’aller me balader à pied sur le chemin Après une centaine de mètres, en plus du gazouillis des oiseaux, j’entends de légers gémissements étouffés. Je rentre dans le bois et me dirige au bruit.
J’arrive au bord d’un talus qui surplombe un groupe de 4 mecs, complètement nus, en train de se caresser mutuellement. A cette vue, ma queue se dresse et je la sens prête à s’échapper de mon maillot. Je reste à mater le spectacle sans faire de bruit et, après quelques minutes, je tombe le maillot et commence à caresser ma bite toute humide et dure comme un gourdin.
Soudain j’entends des pas et un mec m’arrive par-derrière. Surpris, j’ai encore la bite à la main quand il me dit : « ben dis donc, jolie queue, suis-moi, on descend les aider mon chéri. » Il me flatte les fesses d’une caresse et me pousse vers les 4 mecs. Arrivé en bas, il me dirige au milieu du groupe : « les gars, regardez ce que je viens de rencontrer dans le bois » et il attrape ma queue encore bien droite comme pour l’exhiber. Là je me retrouve entouré, des mains passent partout sur mon corps, c’est excitant. Chacun caresse une partie de mon corps, mes tétons, mes couilles, ma queue, un m’écarte les fesses, une main descend dans mon sillon, s’attardant sur ma rondelle, une bouche avale mon gland, je sens cette langue experte titiller ma hampe. Oh c’est délicieux, à moi maintenant de haleter et de gémir, le plus jeune, environ 20 ans, se colle à moi et m’embrasse goulûment, il fouille ma bouche avec sa langue, ses mains parcourent mon dos, il m’enlace, prend ma main et me la met sur sa queue. Elle est épaisse, je me mets à le branler avec vigueur, pendant qu’il envahit ma bouche. Les autres continuent et des doigts forcent maintenant ma rosette, je sens quelqu’un m’enduire de vaseline et me pénétrer. J’ai l’impression qu’ils se relaient pour me préparer. Ma bite est prise d’assaut, bouches, mains, je ne sais pas à qui elles sont, mais je bande comme un cerf en rut. C’est là que des mains me prennent par les hanches, et tous s’arrêtent jusqu’au moment où une queue s’insère dans ma chatte, d’un seul coup, jusqu’au fond, je sens des couilles contre moi. Une langue passe sur ma nuque et dis : « tu aimes ? Moi j’adore tes fesses de femelles, elles sont fermes, oh c’est bon, hummmm ». C’est le signal. Chacun reprend son rythme et les va-et-vient en moi commencent, j’y prends du plaisir, j’envoie mon cul vers cette queue qui me fait du bien. « accélère Richard, il nous en faut aussi » et l’enculeur continue plus fort, je gémis tellement c’est bon. Je suis sodomisé, embrassé, branlé et caressé en même temps, je suis aux anges.
Deux des mecs sont en train de se sucer en 69 à côté, les autres sont autour de moi penché en avant.
Richard en profite pour inonder mon cul de sperme sans prévenir. Au moment où il se vide, la grosse bite épaisse le tire en arrière et s’invite dans mon anus. Heureusement déjà bien dilaté et graissé, car il me prend d’un coup jusqu’à la garde. « Putain les gars, quel cul de salope, et en plus vachement confortable ». Sur ce, il se retire et me dit : mets toi à 4 pattes, je vais te baiser comme une chienne » Aussitôt fait, il me pilonne le cul ». Un autre décide de me fouetter le cul avec avec une baguette souple « vas-y salope, crie, dis-nous que t’en veux encore » et il me claque le cul chaque fois que grosse bite recule. Moi je découvre que j’aime me faire fouetter le cul et insulter pendant que je suis prise comme une chienne. Il me défonce le cul jusqu’à se vider en la chaleur de son liquide inonde mes entrailles, je jouis en couinant comme une salope. « Il jouit en criant « elle aime se faire saillir la pute, ouiiiii prends ma jute dans ton cul ». A peine est-il sorti que ma rondelle subit les assauts d’un autre mec. Lui bedonnant a une bite plutôt fine mais d’une longueur inconnue pour ma fleur. Je le sens investir mon tunnel, je me dis qu’il ne va jamais s’arrêter. Enfin, il est au fond, il entame des allers-retours à une cadence infernale, je sens son souffle dans mon cou. Il s’interrompt et ...

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