Je suis levé depuis une bonne demi-heure et je vais à la fenêtre.
Je vois des copains aller vers le centre commercial.
Je mets un short et je pars les rejoindre.
Ma mère Me donne de la monnaie pour acheter le pain et boire un verre.
Sur la terrasse bien sûr, on est juste tolérés dans cette condition.
Je me dirige donc vers le centre commercial, et en passant devant l'ascenseur, j'entends la porte s'ouvrit.
Je n'ai pas le temps de voir qui en sort.
Une main se colle à ma bouche.
- si tu ne cries pas, je te viole.
Je reconnais la voix de Pierrot.
Il me tire vers l'intérieur de l'ascenseur et ferme la porte puis appuie sur le bouton de son étage.
- putain, j'ai pas le temps.
Il me colle les fesses à ses parties, et il bloque l'ascenseur entre 2 étages.
- t'es malade! On va se faire choper!
- mais non, on va faire vite.
J'avais vraiment peur qu'on se fasse attraper, mais la situation m'excite.
Il me baisse le short et commence à me limer.
Peut-être 1 minute plus tard, je commence à bander, mais l'ascenseur se remet en marche.
Je vais pour me rhabiller quand il me retient et rappuie sur le bouton d'arrêt.
- arrête tes conneries, on va vraiment se faire remarquer.
Une minute de plus et l'ascenseur repart.
- bon, là c'est bon. On arrête!
Je remets vite mon short.
On arrive à l'étage de la coursive, et un type nous fusille du regard.
S'il dit quoi que ce soit, je ne saurais pas répondre.
Je laisse le monsieur descendre et je suis Pierrot.
- putain de toi! Il va se poser des questions maintenant.
- qu'est-ce que t'en a à foutre? Il a rien vu!
Je ne me rends pas compte que je suis en train de le suivre vers chez lui. Il m'a fallu arriver devant sa porte pour me réveiller.
- j'espère que Jésus ne va pas se pointer.
- c'est bon, il en a eu assez cette nuit!
- et toi non?
- tu crois que son cul vaut le tien?
Je me dirige vers le lit. Il n'est pas encore refait. Je remarque une auréole. Il y en a un qui s'est fait défoncer.
Je n'attends pas, je me déshabille.
- eh! Tu bandes, mon salaud! Ça t'a plu dans l'ascenseur?
Je lui réponds par un sourire.
Il bande encore.
Je n'ai pas le temps de choisir ma position, qu'il me fait allonger sur le dos, m'écarte les cuisses et m'empale d'un coup sec!
- putain! Mouille-le!
- tu mouilles déjà du cul!
Il n'avait pas vraiment tort.
Au bout de quelques coups de lime, son zob glisse facilement.
Il tape bien profond et assez fort.
- t'es encore en manque? T'as baisé cette nuit!
- tu putain de cul, c'est pire qu'une drogue.
Il me cogne si bien que je commence à monter au 7eme ciel.
- putain que c'est bon!
- et tu voulais pas au début!
- vas-y, continue!
- je vais te faire jouir, ma pute!
- ouais! Vas-y!
Il me tire vers le bas. Je suis plié en deux, sur les épaul ...

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