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Même pas mal

Publié par : exibho le 08/08/2024

Elle avait 19 ans et moi 20. Nous vivions chez ses parents tous deux en retraites. Elle aimait des jeux de rôles dans le sexe et sa préférence était là, de résister à se faire prendre. Plutôt mollement lorsqu’il s’agissait de vaginale, et un peu plus marqué lorsque je voulais la sodomiser, mais dans les deux cas elle aimait ça.

Couché depuis peu, ce petit jeu sexe démarrait. Une sorte de lutte jusqu’au moment ou j’arrivais à lui écarter les jambes ou les fesses pour la pénétrer. En fonction de nos ébats, cela pouvait être l’un ou l’autre. Ce jour là assez rapidement, je glissai dans sa chatte poilue. Après quelques minutes elle me chuchota à l’oreille qu’elle ressentait un truc bizarre. Tu m’étonne, je suis entrain de te ramoner l’intérieur !
Elle me dit -J’ai l’impression que le lit est mouillé et en effet au niveau de ses fesses je sentis comme une petite flaque. On décida de stopper et de mettre plus de lumière.

Ô shit ! Il y avait en effet du sang sans aucun doute.

Elle hurla et parti nue comme un vers en direction de la salle de bain, arguant sa mère au passage pour lui dire qu’elle faisait une hémorragie interne, ce qui n’était pas le cas. Après quelques instants elle revint dans la chambre assurée que ce n’était pas elle, mais moi.

Je n’avais rien vu de particulier de mon côté. Elle retira le duvet découvrant ma queue tendue et raide et se mit à l’inspecter. Cela aurait pu être « banale » si sa mère n’était pas juste à côté d’elle.

Tu t’es pété le frein voilà pourquoi ça a saigné, mais là ça à l’air d’aller me dit-elle tout en continuant de me tripoter la queue. La situation particulière, son tripotage et le sourire en coin de la mère, il n’en fallait pas plus. Un jet de sperme puissant jaillit de ma bite éclaboussant ses mains, mon ventre et le lit déjà souillé. Pour la 1ere fois de ma vie, je venais de jouir devant des spectatrices. La sensation était à la fois gênante et excitante. C’est d’ailleurs probablement cette situation qui m’a donné cet orgasme aussi inattendu qu’incontrôlable. Je n’osais plus lever les yeux, mais je sentais les regards sur ma queue encore dure et le sperme qui en coulait encore un peu.
Il fallait donc essuyer tout ça, ce que l’on fit de concert avec ma copine et toujours avec une spectatrice assidue qui trouvait la scène certainement amusante au vu de son sourire en coin.

On se mit donc tous les 3 à défaire ce lit pour changer les draps, le matelas étant protégé, il n’y avait pas trop de dégât. C’est donc toujours nu que nous avons réalisé cette mise au propre et bien entendu ma blessure bien que fermée, la matériel ne devait plus être mis sous tension pour un temps afin d’assurer une bonne cicatrisation. A mon grand regret c’était une dizaine de jours de disette pour ma kékette.

C’est ainsi qu’après cet abstinence forcé, un matin je me levai pour prendre un café comme d’habitude. Le mercredi était un jour de congé pour moi, vu que je bossais le samedi. En peignoir je me posai au salon ou sa mère fumait sa clope tout en buvant son 6eme café. Elle me demanda son mon matériel était guérit et son nous avions testé sa « solidité ».

Depuis 10 jours je suis tel un moine, lui dis-je. Elle me répondit qu’il serait bien de recommencer tout en douceur. J’avais l’impression qu’il y avait là un message subliminal et en plus je voyais à nouveau son petit sourire en coin. Je décidai de me lancer. Étant donné qu’elle m’avait vu nu, bandant et éjaculant le risque de quiproquo était assez réduit. J’ouvris mon peignoir et avança vers elle la bite à l’air. Vu que je me réveille dur et que rien de lâche, je pense que ça doit aller. Et je me décalottai devant elle. Elle se redressa de la chauffeuse ou elle était installée et tendis la main vers ma bite.

J’étais assez près pour qu’elle l’attrape sans problème, mais pas suffisamment pour qu’elle la mette dans sa bouche. Elle tira donc sur ma queue pour me faire avancer vers elle et se mit à me pomper. Je sentais qu’elle prenait du plaisir à me sucer goulument. Une main pétrissant mes couilles je sentis un doigt de son autre main me caresser l’anus. Après 10 jours de diète, inutile de dire que ce petit jeu ne dura pas longtemps. Je sentis les longues rasade de sperme quittant ma queue et arrivant dans sa bouche aux lèvres ridées mais si douce. C’était bien bon et agréable me dit-elle en essuyant le coin de sa bouche avec ses doigts pour se délecter des dernières gouttes de semence. A toi maintenant ajouta-t-elle et ouvrant son peignoir pour me laisser découvrir son corps fin.
Certes sa peau n’avait plus l’élasticité de ses 20 ans, mais au toucher elle était incroyablement douce. Née dans les années folles, sa chatte était brute de poils, eux aussi plutôt doux et dégageant ce parfum de femme que j’aime tant. Ses lèvres étaient dissimulées par cette charmante touffe, comme la grotte cachée dans la forêt. On s’émerveille alors lorsque l’on en découvre l’entrée. Ma langue n’avait qu’une hâte, celle de gouter ce petit jus que je voyais suinter entre ses lèvres. Elle mouillait, et pas qu’un peu, la cochonne. Me sucer l’avait excité au plus haut point et sa chatte venait de me l’avouer.
Quel délice que de la gouter dans son intimité. Je la léchais avec gourmandise et vu ce qu’elle m’avait fait je me dis qu’un petit léchage de son anus lui plairait de quoi lubrifier le doigt qui allait entrer dans son cul. J’avais vu juste et l’action conjointe de ma langue et de mon doigt enfoncé dans son anus, la fit rapidement monter et elle partit dans un orgasme bruyant, très bruyant.

Heureusement que ton mari n’est pas là. Elle me sourit et dit. Il y a bien longtemps qu’il ne me touche plus, au moins 15 ans, alors quand je t’ai vu bander e ...

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Mots-clés : Bisexuel, Fellation, Sodomie, Pénétration vaginale, Mûrs