Michel et Bruno.
Voilà qu’ hier au soir ( et je peux dire hier dans la nuit ! ), je discutais avec un ami, Thomas, sur un site de rencontres. Thomas et moi nous connaissons depuis quoi ? trois mois ? oui, à peu près, et nous avons échangé nos épidermes très rapidement. Le courant est passé comme un coup de foudre sexuel mais ( qu’il ne m’en veuille pas ) , ce n’est pas notre histoire que je vais raconter – j’y reviendrai en détail dans un prochain chapitre.
Pour lors, donc, nous étions, Thomas et moi Michel, en pleine conversation fort instructive quant à nos expériences mutuelles, à savoir :
- Tu as fait des rencontres aujourd’hui ?
- Non, rien.
- Alors tu n’as rien sucé ?
- Non, rien.
- Mais qu’est-ce que tu as branlé ? Même pas un bout de queue ? Ou un gros gland dégoulinant de mouille ?
- Non, rien.
- Bon, eh bien, tu n’as plus qu’à te recycler mon pauvre Michel… »
Nous plaisantions ensemble, nous inventant au besoin des répliques que nous ne pensions même pas. Et puis… et puis…
Nous échangions des répliques aussi « sottes que grenues » quand, sans bruit, presque sans prévenir, le site m’indique par un émoticone tout à fait explicite qu’un certain « Plansexkool » me fait savoir que ma bite lui plaît. Alors là, il ne faut pas me le dire deux fois ! Ni une ni deux, je regarde le profil de cet admirateur inconnu : photo d’un engin de belle dimension ( bien qu’au repos), reçoit ou se déplace ( tout dépend sans doute de l’endroit où il se trouve – sa localisation est à huit kms de chez moi ), pompe ou se fait pomper… Mon Thomas semble ne pas répondre à mon dernier commentaire, je commence donc avec ce nouvel arrivant un dialogue sans équivoque…
- La tienne me plaît aussi, beaucoup.
- Tu voudrais quoi ? La sucer ?
Petit temps de silence de ma part ( silence par écrit ).
- Oui, j’aimerais bien.
- Tu peux venir maintenant ?
Là, c’est un peu trop impératif. Il est presqu’ une heure du matin, je suis en communication avec un ami, je commence à avoir les paupières qui font dodo…
- Non, pas maintenant.
- Pourtant, j’ai bien indiqué NOW.
- Eh bien non, pas NOW ( je parle un peu Anglais aussi ).
- Alors quand ?
- Demain matin, si tu veux toujours.
- OK, j’ai vraiment envie de ta bite et que tu suces la mienne, et que tu me mettes un doigt dans le….
Bon, oui, ça va, j’ai compris ! Et lui de revenir à la charge :
- Alors demain matin ?
- Oui.
Nous convenons de l’heure – 10 heures GMT –, du lieu – une aire de repos au bord d’un bois, de l’autre côté le Nationale de Royan vers Rochefort... ( il connaît, moi aussi ), nous aurons telle et telle voiture – Modus blanche pour lui, C3 noire pour moi – et… et voilà. On se dit à demain, bonne nuit, beaux rêves et il se déconnecte.
Sur l’autre ligne, mon Thomas que je n’ai pas oublié m’as envoyé trois messages pour me demander si lundi après-midi je suis dispo chez moi. Il connaît la maison, il est venu deux fois pour des parties de… NON ! Je ne dirais pas !
Nous sommes la nuit du vendredi au samedi, le lundi aprèm est donc dans trois jours, j’apprécie trop Thomas pour lui dire non. Il m’apostrophe :
- Mais qu’est-ce que tu faisais ? Tu te chatouillais ou quoi ?
- Pourquoi ?
- Dix minutes que je t’attends pour me répondre ! Tu t’es branlé ? Tu as joui ?
- Arrête Thomas… non, rien de tout ça. Je suis fatigué et je tombe de sommeil.
Il est clair que je ne vais pas lui dire mon rencart pour le lendemain matin, à lui qui n peut pas en décrocher un. Pourtant, il est beau gosse, il a ce qu’il faut entre les jambes : j’en sais quelque chose !
Et pour me titiller un peu plus il me lance :
- Tu viens me sucer et me lécher tout à l’heure ?
Il est quand plus d’une heure du matin, il est à trente kms. Je lui dis que nous pouvons attendre lundi…
Le lendemain matin, samedi, je suis, comme convenu, sur l’aire de repos, dans un endroit discret ( la Nationale passe en contrebas ). J’attends déjà depuis un quart d’heure. Bon, un samedi matin, il est permis d’avoir du retard… Vingt minutes… vingt cinq… une demi heure. Je commence à faire les cents pas pour me calmer les nerfs. C’est sûr, c’est un lapin, en pleine saison de chasse en plus ! Mais enfin moi, je n’aurais pas « tiré » ce lapin-là ! Il ne devait pas en mériter le « coup »…
Une fois le moment d’énervement passé, je m’engage dans ce petit chemin qui s’enfonce dans le bois. Je repense à ce « Plansexkool »… à sa photo de profil, une belle bite ! Oui, un beau morceau que j’aurais bien pris longuement dans ma bouche… lécher patiemment son gland tout gonflé… Il avait l’air sympa pourtant… La bite ne fait pas le moine ! Mais… mais oui, j’y pense : mes photos de profil à moi ne sont pas très nettes, plutôt floues ( il faut que je les change, ce n’est pas vendeur ! ). Il aura pensé que leur propriétaire ne devait pas être net non plus !… Enfin, exit « Plansexkool »… R.I.P….
Je m’avance dans les odeurs de feuilles mortes, de mousse encore humide d’une nuit qui a vu quoi ?… des queues, sans doute aussi des culs qui ne demandaient qu’à s’offrir en s’ouvrant, peut-être même en souffrant…
J’aperçois encore, à travers la ramée, le parking surplombant la Nationale. Une seule voiture sur le parking. Une voiture blanche… Parce que les marques de voitures et moi, ça fait trois plutôt que deux ! Personne n’en sort, à moins que son conducteur ne s’en soit déjà échappé, trop pressé de trouver une bonne fortune !
Je suis pris d’une soudaine envie pressante, due sans doute à la déconvenue que je viens d’essuyer. Je repère donc un buisson assez touffu pour y satisfaire à ce besoin sous la forme d’une « pluie dorée » qui vient arroser les ...
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