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Michel et Frédéric (4e partie).

Publié par : michel17600 le 05/08/2021

Je vous remercie tous, qui avez pris le temps de lire et de noter. Les résultats sont très encourageants et j'en suis heureux. N'hésitez pas à me faire part de vos remarques, de vos suggestions. Certains le font déjà et je leur en suis très reconnaissant. Mon regret est que ceux-là sont, de par la géographie, inaccessibles... A tous, une grosse bise.


*******************

....... Il vient chercher à mes lèvres un baiser presque pudique, y reste peu de temps, et ce sera à genoux qu'il continuera de me faire l'offrande de ses gourmands baisers sur le ventre en enserrant mes fesses de ses mains caressantes. Mon corps ondule de plaisir sous cette vague sensuelle et un tremblement délectable que je ne peux refouler saisit tout mon être lorsque Frédéric entreprend de déboucler la ceinture de mon jean avec une lenteur délicieusement douloureuse...


Il relève la tête en me regardant en une interrogation muette et je suis sur le point de l'encourager à continuer son chemin lorsqu'il arrête brusquement son entreprise. Comme en s'excusant, il me glisse presque à voix basse :
- Tu veux continuer tout de suite ou on s'arrête un peu ?
- Pourquoi ? tu ne veux plus ?
- Oh que si ! mais tu sais, il peut y avoir des moments où l'on peut faire une pose pour repartir de plus belle. Ca peut attiser l'envie. Tu connais l'adage : " Cent fois sur le métier remettez votre ouvrage "...
- Eh bien, si tu veux le remettre cent fois, il faudra s'arrêter...
- Quatre-vingt-dix-neuf fois ! Alors ?
- C'est toi qui dis.
- Ah tiens, je sens que tu veux continuer tout de suite. Remarque, moi aussi, et puis on aura toute la nuit !
- Toute la nuit ?
- Oui, puisqu'on va dîner ensemble...
- Hein ?
- Je te l'ai dit tout-à-l'heure mais tu étais déjà... la tête ailleurs... "
Tout en parlant, Frédéric est allé au meuble-bibliothèque et, en manoeuvrant les deux portes basses, il a dégagé un lit pliant qui semble tout-à-fait confortable.
- Voilà, la pièce est complètement meublée... Attends, ne bouge pas. On va reprendre les choses où j les avais laissées... "
Il revient vers moi en ôtant sa chemisette (que j'aurais été heureux de lui retirer même si je n'y avais pas mis autant de science que lui ) ) , il me reprend dans ses bras, saisit ma boucle de ceinture :
- Pourquoi tu l'as rattachée ? Tu croyais t'en tirer comme ça, mon coquin ? Attends un peu, tu vas voir ! "
En faisant mine de me sauter dessus, il tombe à genoux devant moi en saisissant mon bassin, mes fesses qu'il recommence à pétrir et, sa bouche sur mon jean, il tâte mon sexe en érection de ses lèvres entr'ouvertes. Il en suit l'excroissance, il sait à mes mouvements que cela me plaît et il continue, en mordillant le tissu comme le ferait un jeune chiot avec un jouet en peluche.
Dans la position où il est, je ne peux lui faire grand-chose d'autre que caresser ses cheveux ondulés où mes doigts s'amusent à divaguer. Puis ils viennent s'aventurer à la base de sa nuque où ils folâtrent quelques instants. Frédéric relève la tête, son beau visage un peu sauvage tourné vers moi, souriant, ses yeux clairs exprimant une interrogation : " Je peux continuer ? " Il a posé sa tête contre mon ventre nu, ses mains viennent pincer mes bouts de seins, d'abord légèrement puis un peu plus fort et je laisse échapper un petit cri involontaire.
- Je t'ai fait mal ?
- Non, ce n'est rien, je ne m'y attendais pas.
- Attends..."
Il s'est relevé et a posé sa bouche sur le sein meurtri et de la langue, il en titille le bout.
- Ca va mieux ?
- Oui, merci, mais... ça ne doit pas t'empêcher de continuer !
- Grand gourmand, va ! "
Et nous rions tous les deux lorsqu'il vient fourrager des lèvres et de la langue dans les poils de mon torse et de mon ventre.
- Arrête un peu, Frédéric, je voudrais aussi te faire du bien.
- Tu sais, je suis bien aussi quand tu es bien. C'est le but du jeu, non ?
- Mais pour le moment, c'est toi qui le mène, ce jeu...
- C'est normal, c'est moi le chef et c'est moi que j'commande ! "
Alors qu'il rit de sa propre répartie, je lui cloue le bec d'un baiser qui, sans être sans doute celui des records, nous coupe le souffle à l'un et à l'autre. Un baiser qui n'a rien à voir avec celui que le Prince Charmant offrit pudiquement à sa Belle au Bois Dormant ! Un baiser en apnée !... Pendant ce temps-là, mes deux bras ont enserré la taille de Frédéric et mes mains glissent en curieuses sur ses fesses. J'en constate avec plaisir non seulement la rotondité mais aussi la fermeté prometteuse. Prestement, mes doigts veulent risquer une incursion sur la peau de ses reins en tentant de violer la barrière de la ceinture mais celle-ci est trop serrée, ou alors, je m'y prends très mal...
Frédéric devine mon intention et de lui-même déboucle sa ceinture et commence à détacher un bouton de braguette mais je l'en empêche vivement : qu'il me laisse seul arriver à mes fins ! La découverte de l'objet convoité est d'autant plus agréable si l'attente a été longue et patiente. C'est là du moins mon point de vue et il me semble bien partagé par mon amant.
Et ce n'est pas de front que je veux le découvrir, moi, mais p ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay, Jeunes, Première fois, Etudes