Frédéric est tombé sur le ventre et moi sur le dos et je le sens, là, tout contre moi, qui joue des pieds et des jambes : il achève de se débarrasser du sous-vêtement qui entrave ses mouvements. Le voilà entièrement nu. Qu'il est beau ! ! mon beau Frédéric ! mon si séduisant am... J'ai à peine levé les yeux pour essayer de l'admirer qu'il se redresse sur les genoux et se positionne de part et d'autre de mon bassin, me prenant aux épaules. Ses mains descendent le long de mes bras en les frôlant d'un léger chatouillis et elles viennent enserrer mes poignets en écartant mes bras à hauteur de ma tête. Je suis prisonnier de ce piège voluptueux et ne cherche pas à m'en libérer. Je sens sur le haut de mon torse le membre dur de Frédéric qui vient presque battre à mes lèvres entrouvertes, mais il n'a pas encore choisi, sans doute, le moment de me l'offrir puisqu'il recule sa position sur mon corps pour venir à califourchon sur mes cuisses, sans lâcher mes poignets ni mes avants-bras. Il vient chercher ma bouche avec la sienne, moi qui suis à sa merci et qui ne peux remuer. Ses lèvres ont écarté les miennes, sa langue a trouvé ma langue, la suce et la caresse, sans doute le prélude à d'autres jeux plus intenses.
Maintenant, il s'allonge sur moi, son corps est chaud, lisse, si doux au toucher. Dans ce mouvement, j'ai senti son sexe tendu glisser sur les poils de mon ventre, venir passer rapidement sur le mien comme pour en contrôler l'érection à travers le slip qui ne m'a toujours pas quitté et se faufiler subrepticement entre mes cuisses à peine écartées. Que vous dire de la sensation de cette virilité chaude et caressante, là où la peau des cuisses est si sensible ? Je ne peux rien en dire, tout attentif au plaisir que je reçois, plaisir physique et plaisir psychique ! et pour le moment présent le corps passe bien avant l'esprit...
Frédéric se redresse en me libérant de ses mains qui viennent, ô délicatement, baisser la ceinture élastique de mon slip de façon à ne laisser poindre que le gland de mon membre qui est tendu comme un arc. Il regarde ce gland, brillant et gonflé d'envie, déjà bien humide de cette rosée de "l'avant-amour" et il vient lécher cette liqueur luisante qu'il a recueillie au bout de son doigt. Il ne me quitte pas des yeux, heureux qu'il est de ce qu'il fait. Je lui souris. En pressant encore un peu le gland, il récupère de cette humidité de la même façon et; cette fois, présente son index au niveau de mes lèvres.
- Tiens, goûte, c'est un peu de toi. Tu verras, c'est bon... Hmmm ! "
Je lui obéis en refermant mes lèvres sur son doigt. Effectivement, c'est bon. Ce qui est bon, surtout, est cette façon délicate qu'il a eu de m'en faire l'offrande. Dans mes masturbations d'adolescent, j'avais, comme beaucoup d'autres, goûté à cette "mouille" comme on disait entre nous. Je ne lui avais rien trouvé de particulier. Douce ? fade ? je ne savais pas. Aujourd'hui je lui trouve le goût de la volupté, du plaisir des sens, de l'abandon à l'Autre.
" L'Autre ", justement, glisse lentement mon slip le long de mon sexe, en faisant avec la ceinture des mouvements de va et vient, masturbation délicieuse, tout au long de mon membre; il prend son temps, avant de le descendre le long de mes cuisses, puis de mes jambes. Il le jette et le léger vêtement va rejoindre le sien au sol. A nouveau, il m'observe en se redressant au-dessus de moi. Nous nous sourions, je ne ferme pas les yeux pendant qu'il me contemple, comme je le faisais naguère avec mes rares amants furtifs. Au contraire, j'apprécie ce regard flatteur qui détaille chaque pouce de ma peau...
Frédéric, très câlin, vient poser ses lèvres sur mes seins, je sais qu'il aime et moi aussi ! il les mouille de sa salive, les lèche. Puis il promène sa langue sur mon torse, mon ventre... Il descend encore et saisissant ma verge d'une main assurée, il semble l'examiner en remontant la fine peau sur le gland. Alors, il fait couler un peu de sa salive dans ce petit puits de chair et y fait pénétrer son doigt en un geste circulaire qui m'arrache un gémissement de plaisir ! Je me cambre pour lui faire comprendre qu'il ne faut pas, qu'il ne doit pas en rester là et bien vite sa langue vient se substituer au doigt et là c'est un long frisson qui me descend tout le long du dos. Frédéric devient un maître qui m'initie à des plaisirs jusque-là inconnus... De ses jeux de doigt et de langue, il va vite passer aux jeux de bouche. Il ne m'épargnera rien.
Si jusqu'à présent, une fellation était pour moi le fait de sucer un sexe comme on suce un esquimau au cinéma, il s'avère aujourd'hui qu' elle peut ressembler davantage au fait de se délecter d'un cornet de sorbet, en prenant son temps avec gourmandise pour ne rien négliger...
D'abord, c'est un effleurement de lèvres humides sur le gland qu'elles viennent couronner pour en goûter la fermeté soyeuse et en apprécier la rondeur. La langue à son tour s'amuse à reconnaître la plénitude de ce gland qu'elle ne connaît qu'à peine entrevu juste auparavant ; après en avoir apprécié le petit trou dont elle a écarté les lèvres, elle s'active en contournant cette chair gourmande, elle s'attaque au bourrelet qui le couronne et, lorsqu'elle l'a franchi, la bouche entière de Frédéric l'engloutit.
- Arrête un peu, je... "
Tout en gardant mon sexe en bouche, il me pose la main sur les lèvres pour me faire taire et je happe son pouce pour le mordiller. Mais lui ne lâche rien, il est affamé et l'exigence de son appétit dévorant n'a d'égale que l'intensité croissante du plaisir qu'il me donne. Même un nourrisson assoiffé ne téterait pas le sein maternel avec autant de voracité ! Je suis léché, sucé, tété, aspiré, gobé ; en me prenant il boit à la fontaine délectable de la sensualité cet élixir d'amour que je ne peux retenir. Je suis pris dans un tourbillon des sens qui m'emporte et auquel je m'abandonne avec délices...
Lorsqu'il voit que je ne vais plus tenir très longtemps avant de jouir, Frédéric change de tactique. Il assure mon membre dans sa main, paume ouverte, et il commence un long va et vient de succion et de caresses avec la langue en partant de la racine jusque sous le gland où il s'attarde sur le frein qu'il se plaît à agacer, à asticoter, à chatouiller. Je n'en peux plus d'euphorie. Je me donne entièrement à lui, je me repose en lui. Je suis son bien, sa propriété, il peut faire de moi ce qu'il veut. Je suis offert et j'en suis bienheureux. Avec lui, je n'ai plus la crainte de la lumière du grand jour, je n'ai plus ce sentiment d'infériorité qui me diminuait par rapport à l'autre. Aujourd'hui, c'est l'Autre qui me grandit, qui m'épanouit, qui me rend beau. Cet Autre avec un grand " A "... Avec lui, j'irais jusqu'au bout de mes envies, de mes désirs, de ma passion, parce que je sais que lui aussi en a envie...
Je gémis et soupire de bien-être :
- Chéri... c'est si bon...
- Mais... c'est pas fini tu sais. On a encore beaucoup de choses... à se dire.
- Mais c'est toujours toi qui... parles. Moi aussi j'ai... envie de parler. J'ai tant de choses à te dire !
- Laisse-moi continuer mon exposé, et nous ferons l'explication de textes après. "
Frédéric est maintenant allongé à mon côté, le buste relevé et sa tête repose sur son bras qui la soutient, dans l'attitude du Romain étendu sur son lit de repos. Il passe son index sur mon torse, entre mes seins, remonte vers mon cou, s'attarde à mes lèvres qu'il dessine aussi légèrement que le ferait une plume. De ses doigts longs comme des doigts de pianiste, il remonte une mèche de cheveux sur mon front, caresse ma tempe du plat de la main et la pose à mon oreille, comme un chaud coquillage.
- Tu entends la mer ? me demande-t-il en riant.
- Oui ! à moins que ce ne soient les battements de ton coeur.
- Ca va ?
- Tu es merveil ...
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