L'année dernière, l'été était étouffant. Aussi, je préférais donc les promenades en sous-bois, histoire de profiter de l'ombre et de la discrétion des lieux. Il faut dire que j'aime me balader nu ou en ptite lingerie, histoire d'émoustiller mes sens.
Ce jour-là, je lis une petite annonce sur LDD d'un mec qui découvre à la cinquantaine qu'il a manqué quelques plaisirs. Il cherche une expérience bi, affirme sa volonté d'apprendre au contact d'un "formateur". Je réponds à cette demande en demandant de précisions. Le mec qui s'appelle Pascal semble assez motivé mais n'a vraiment aucune expérience bi. On décide de se rencontrer et je le rassure en lui disant qu'on fera selon ses envies. Il veut déjà tester la fellation, lui qui n'a jamais sucer une queue.
On se retrouve le dimanche en début d'après-midi sur mon aire de pique-nique préférée. Je m'y rends en avance pour faire mon petit tour avant la rencontre. Je me gare et rentre dans le bois pour me mettre nu, j'installe une couverture, puis je fais le tour du propriétaire histoire de vérifier qu'il n'y a personne d'autres. Après plusieurs minutes, j'entends un véhicule arriver puis une portière qui se ferme. C'est bien la description de la voiture de Pascal qui s'avance dans le chemin forestier. Comme convenu, il se déshabille et poursuit sur le chemin. Je me suis installé dans un trou d'obus, à genoux sur ma couverture, et je peux le mater tranquille. Quelques kilos en trop mais, à ce que je vois, la situation semble l'exciter. Je me mets debout et lui fait signe d'approcher. Il descend dans le trou, sa bite est raide, exempte de tout poil comme j'aime, comme la mienne.
"Bonjour, Pascal. Je vois que tu as envie" dis-je en lui caressant sa queue et ses boules. "Humm, belle dimension et boules bien fermes, j'aime". Il est un peu timide mais saisit ma bite et la masturbe lentement : "oui merci, toi aussi ta queue est bien raide et elle mouille". "Oui, elle a envie. Tu veux me la sucer, histoire de me montrer ce que tu sais faire ?".
Il se met à genoux et entreprend une fellation que je trouve plutôt maladroite. On voit qu'il est débutant, car il se lance dans un va-et-vient un peu désordonné avec la bouche, tandis que sa main me branle rapidement et presque violemment. Je le laisse faire quelques instants puis je l'arrête gentiment : "attends, redresse-toi. Première leçon, Pascal, prends ton temps quand tu suces. Ton partenaire doit y prendre du plaisir, donc ça doit durer et tu dois sentir quand il veut que tu accélères. Il ne faut pas bouffer ma bite comme un mort de faim, pense que je dois progressivement prendre mon pied jusqu'à jouir sans pouvoir faire autrement ".
Je me mets à genoux et mes mains commencent à le caresser. Sa queue raide se dresse devant mon visage. Mes mains commencent par caresser sa poitrine, s'attardent sur ses tétons durcis et proéminents. Humm, ils traduisent son excitation, je les roule entre deux doigts, les pince. Je me relève pour les sucer, les téter, les mordiller pendant que mes mains s'égarent dans son dos et descendent lentement sur le creux de ses reins, puis ses fesses, effleurant son sillon fessier sans y pénétrer encore. Mes lèvres quittent ses seins puis descendent doucement vers son nombril. Ma langue l'humecte légèrement, tourne autour, je prodigue des baisers sur son ventre, mes mains effleurent l'intérieur de ses cuisses, remontent jusqu'à l'aine, mais je prends soin d'éviter le contact direct avec ses attributs. Ce n'est pas l'envie qui me manque devant ce pieu droit et dur dressé devant mes yeux mais je veux le faire monter encore, qu'il me supplie de l'avaler. Je veux qu'il comprenne l'importance des préliminaires même dans la fellation. Ma langue caresse ses boules, je mordille la peau de ses couilles, je les gobe une à une, ma main s'insinue entre ses cuisses, passe sur son périnée, puis repasse, il ondule du bassin, mes caresses portent leurs fruits, il gémit. Je profite de cet instant pour insinuer un doigt entre ses fesses rebondies, il écarte les jambes comme une invitation à continuer. Ma langue quitte ses couilles et elle remonte lentement la hampe, suivant cette veine gonflée de désir, de petits coups de langue bien appuyés, d'un côté puis je redescends de l'autre, je remarque que ses doigts doigts se sont emparés de ses tétons. Il se donne du plaisir. Sa main se pose sur ma tête, il caresse mes cheveux sans appuyer. C'est le moment que je choisis pour enfourner son gland, juste le gland, ma langue en fait le tour, je relâche pour titiller son méat, son prépuce et la base du gland d'une pointe de langue bien dure. Sa queue s'échappe devant les coups de langue, ma bouche la poursuit pour s'en ressaisir. Je tiens la base de sa queue entre deux doigts, comme un crayon, avec un léger mouvement de va-et-vient, son bassin suit la manoeuvre car il imprime de petits coups vers moi. C'est le moment où je pose mes mains sur ses fesses et j'enfourne sa queue, jusqu'en fond gorge, je tire ses fesses vers moi. Je commence lentement à le sucer dans des allers-retours lents et appuyés, mes lèvres enserrent sa hampe très fort, qu'il sente bien ce qu'une fellation peut procurer. Il gémit de plus en plus fort, ma main a repris la base de sa queue et imprime un mouvement de branle en rythme avec ma bouche. L'autre main s'occupe de son sillon, j'insère un doigt dans sa rondelle. Il semble aimer ça car ses mouvements d'avant en arrière s'accentuent et cette fois, je parviens à lui enfiler mon doigt à fond. Je lui bouffe sa queue, ma langue fait le tour de ce gros gland gonflé de désir. Il me baise littéralement la bouche en poussant des petits cris "oui, oh oui, suce moi à fond, encule moi encore, prends tout". Soudain il explose dans ma bouche, s'enfonce dans ma gorge pour vider ses bourses, de gros jets de sperme m'emplissent la bouche, il gicle de longue saccades de nectar de mâle frappe mon palais. Il couine comme une truie en saillie et se retire enfin. Je le fais s'allonger sur la couverture pour récupér ...

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