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Mon permis de conduire 1ere partie

Publié par : poupidou72 le 14/10/2024

Ce récit se passe vers la fin des années 80, je m’en souviens comme si c’était hier. Comme tout jeune majeur à la recherche d’indépendance, il me faut mon permis de conduire pour accéder au graal de tout jeune homme à savoir, la voiture. l’autorisation parentale en poche, je me rends à la seule auto école de ma bourgade et je m’inscris.

Un couple tient cet établissement, madame s’occupe des cours de code et monsieur des cours de conduite. Lors de mon inscription je remarque la différence d’âge du couple. Lui, approche la cinquantaine, un peu ventripotent du fait de toutes ces heures passées assis dans une voiture à longueur de journée, il est malgré tout assez bel homme avec ses cheveux grisonnants. Elle, en revanche, la trentaine, est plus fine, petite, brune, cheveux courts, yeux verts, toujours en robe avec un décolleté plus que plongeant, qui met ses jolis seins bien en valeur, ce qui visiblement ne la gêne nullement. J’ai du mal à la regarder dans les yeux lorsqu’elle me pose des questions pour compléter mon dossier. Elle est assise à son bureau et je me trouve debout face à elle. Plusieurs fois, il faut que je me fasse violence pour lever mes yeux hypnotisés par ses 2 magnifiques galbes, blancs et lisses que son décolleté laisse apparent. C’est un plaisir à chaque cours de code de contempler discrètement cette magnifique poitrine.

Je crois même qu’elle a remarqué mes regards insistants sur ses seins et qu’elle se joue de moi. Plusieurs fois elle se penche sur ma feuille d’exercice pour corriger mes fautes, ce qui a pour effet de faire plonger ses seins vers le sol comme s’ils voulaient fuguer de ce carcan de tissu. Cela me permet d’en voir encore plus à chaque fois. C’est comme ça que j’ai vu qu’elle ne portait pas de soutien gorge sous sa robe, c’était de toute beauté. Un jour, alors qu’elle porte une robe blanche un peu volante avec des fleurs bleues, elle se tient debout à coté de l’écran et m’explique chaque diapo du code de la route. Lorsque qu’elle passe devant l’appareil à diapo, je remarque que la lumière puissante du projecteur rend sa robe transparente et je peux alors voir ses larges aréoles foncées et les tétons pointants de ses seins, c’est très excitant. Alors qu’elle se tient face à moi avec la lumière l’aveuglant, je peux contempler le tableau sans qu’elle ne voit que je la matte. Elle se tient face à moi, ses jambes légèrement écartées. Je n’en reviens pas, je parviens même à distinguer son triangle noir à travers le tissu, je peux nettement distinguer ses deux grandes lèvres qui s’écartent légèrement. Non seulement elle ne porte pas de soutien gorge mais elle n’a clairement pas de culotte non plus cette petite bougresse. Je sortais de chaque cours de code avec une érection digne de ce nom que j’avais du mal à cacher dans mon jean’s. J’aurai volontiers pris que des cours de code pendant longtemps si cela ne coûtait pas si cher mais hélas mes séances prennent fin assez rapidement après l’obtention du premier coup de cette épreuve théorique.

La sachant mariée et moi un peu beaucoup timide dû à mon jeune âge malgré mes hormones bouillonnantes, je n’ai hélas jamais osé lui dire combien elle perturbait mon émoi. Plusieurs fois je me suis masturbé le soir chez moi en pensant à elle je dois bien l’avouer. Le soir en révisant mon livre de code, je repense à chaque fois aux séances avec elle, à ses formes, à ses seins magnifiques, à sa toison brune et fournie dans lesquelles je me plongerai bien volontiers. Je sors alors mon sexe de mon caleçon, je me caresse déli ...

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