En quittant l’auto école, Marc me rappelle notre prochain rendez vous de conduite le jeudi de la semaine prochaine. Il en profite pour s’excuser de son attitude un peu brutale de cet après midi et me promet de se rattraper si j’en ai toujours envie. Je lui réponds qu’effectivement cette pratique n’était pas forcément ma préférée mais devant ses yeux de cocker, j’accepte ses excuses et je le rassure sur le fait que je n’aurai rien contre de nouveaux échanges plus sensuels et plus doux par contre.
On se fait la bise et je pars. Je reprends ma mobylette et je rentre chez moi. En chemin, mes pensées sont confuses et tout se bouscule dans ma tête, ma séance un peu particulière avec Marc, ma rencontre gênante avec Stéphanie, Julien qui m’a appelé et que j’ai dû décommander et avec qui je m’entends vraiment bien, je ne sais plus où j’en suis, ni sur quel pied danser. Ma vie est toute chamboulée, entre ces nouvelles sensations découvertes et ressenties, mes envies sexuelles de ces 3 personnages apparus dans mon environnement comme sortis de nulle part. Je me dis que peut être ce n’est qu’un rêve et que je vais me réveiller. Je me pince et non ce n’était pas un rêve, c’est bien la réalité.
Arrivé chez moi, je me pose sur mon lit et je fais le point dans ma tête. J’essaie de mettre de l’ordre dans mes idées. Alors pour Stephanie, à part dans mes rêves, je ne sais pas du tout comment l’aborder pour espérer atteindre le graal. cette timidité va me tuer. Quant à marc je dois encore attendre une semaine pour le revoir et me délecter de son fort joli membre et des sensations qu’il me procure. Il me reste mon pote Julien. L’accueil de son père m’a bien refroidi la dernière fois pour retourner le voir très vite, je ne voudrais pas qu’il se doute qu’il se passe quelque chose entre son fils et moi. Croyez moi la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Malgré tout ça j’arrive a m’endormir après une journée bien chargée en émotion.
Le lendemain matin à mon réveil, comme d’habitude mon sexe est tendu comme la corde d’un arc, signe de bonne santé parait il. Les yeux encore à demi clos, je baisse mon caleçon, je prends mon sexe dans une main et de l’autre je me caresse délicatement mes valseuses, c’est fragile et sensible ces choses là. Je descends ma main très lentement le long de ma verge. Ma peau qui recouvre mon prépuce s’enroule délicatement tout autour de mon gland déjà bien gonflé et le libère de se carcan. Cet épiderme vient s’enrouler à sa base comme une bague autour d’un doigt. Ces lents mouvements font monter mon plaisir, je remonte ma main et je recouvre mon gland de son enveloppe pour revivre encore une fois ce délicieux moment, celui qui se produit quand je redescends une nouvelle fois ma main le long de mon sexe.
Mes veines caverneuses sont toutes gorgées de sang. Je serre ma main autour de mon sexe pour les rendre encore plus saillantes. Je serre assez fort et mon champignon devient rouge violacé. Je desserre délicatement mon étreinte et mon sexe se gonfle encore plus. J’humecte la paume de mon autre main avec ma langue pleine de salive et je la passe délicatement sur le sommet de mon gland. C’est divin, j’intensifie mes allers et retour le long de mon sexe. Je sens la jouissance venir alors j’accélère le rythme de ma main. Mon sexe se contracte, plusieurs giclées de mon foutre sortent et viennent s’échouer sur mon ventre. J’enduis mes doigts avec ce jus chaud et visqueux et je continue de me caresser le sexe avec mes doigts englués de ce liquide. C’est très excitant. Je reste allongé pour savourer cet auto plaisir.
Nous sommes lundi à présent, il reste encore 3 jours avant de revoir Marc. Je n’ai pas revu Julien depuis notre dernier rendez vous qui remonte à plus d’une semaine. Je me demande ce qu’il devient. Allez je prends mon courage à 2 mains et je l’appelle. Je décroche le téléphone, je fais tourner les chiffres sur le cadran un à un. La première tonalité retentit dans l’appareil. J’attends encore 3 sonneries et là mon interlocuteur décroche. ALLÔ. Je reconnais aussitôt la voix froide du père de Julien. Je me présente et je demande si Julien et présent. Si père me dit qu’il est à la fac. je lui demande s’il peut faire la commission à Julien de me rappeler quand il rentrera. « D’accord je lui ferai, au revoir » toujours aussi aimable et aussi charmant ce monsieur.
En fin d’après midi, le téléphone sonne, je décroche, c’est Julien. Nous nous saluons et entamons les banalités d’usage sur la santé, l’emploi du temps etc…Il m’apprend qu’il a eu son permis vendredi dernier. Je le félicite et je l’envie un peu et paradoxalement j’ai envie que mes cours durent plus longtemps, je ne vois pas pourquoi. Je lui demande quand est ce que nous pourrions nous voir ? Il me dit sans attendre que ce soir son père travaille de nuit et qu’il a la voiture à sa disposition. Je saute sur l’occasion pour lui demander s’il peut venir me chercher. Il me répond du tac au tac, «d’accord j’arrive dans une heure ». J’accepte sans hésiter. Je raccroche et je cours me préparer.
L’heure passe assez vite et je vois Julien arriver devant chez moi. Je sors de la maison, je monte dans la voiture et nous voilà parti sur les routes de France. Nous sommes libres et indépendants c’est génial. Bizarrement Julien ne prend pas la direction de chez lui. Je lui demande où il m’emmène. Il me dit c’est une surprise. OK pas de problème. Après quelques kilomètres, il prend un chemin que je reconnais, c’est le premier chemin qui mène au fameux coin des pêcheurs, là ou j’ai sucé mon premier sexe d’homme. Cela ne s’oublie pas.
Julien se stationne, ouvre le coffre prend son sac à dos, et une couverture. Nous longeons la rivière sur quelques mètres et nous nous posons au bord de l’eau. Julien regarde autour de lui et dit que nous serons bien ici. La nuit commence à tomber sur la campagne, Julien étale la couverture, s’installe dessus et m’invite à le rejoindre. Il ouvre son sac et en sort 2 boissons sans alcool, jeune permis oblige, et un paquet de gâteau. L’endroit et magnifique, on entend l’eau de la rivière s’écoulée, la brise dans les branche des arbres, c’est très chouette.
Nous trinquons tous les 2 et nous discutons de choses et d’autres. Bien évidemment nous évoquons notre amant commun le célèbre Marc, je lui raconte notre dernière rencontre et Julien m’apprend qu’il lui avait fait pareil. Au contraire de moi, Julien aime bien être dominé m’avoue-t-il avec un sourire en coin, donc cela ne l’a pas dérangé au contraire. Je suis surpris de découvrir ce coté là de mon pote Julien.
La dernière fois c’est lui qui avait pris les choses en mains. Je note malgré tout ce détail. Je me dit pourquoi ne pas exploiter ce coté là, et si j’osais vaincre ma timidité et que je devenais plus directif ? Allez je me lance on verra bien. Je me rapproche de Julien et je lui demande de m’embrasser. Julien s’esclaffe à la suite de ma demande. « tu crois que je vais t’embrasser comme ça à la demande ? ». Je durcis un peu le ton et je lui dis que ce n’est pas une demande mais un ordre « Embrasse moi ! ». Julien me regarde, surpris et semble hésiter. Je lui prends alors sa belle petite gueule entre mes mains et fermement je viens l’embrasser. Il ne réagit pas et se laisse faire. Nous nous embrassons, nos langues et nos lèvres s’entremêlent frénétiquement. Je me recule et je lui dis « déshabille toi et caresse toi ». Julien ne dit rien et se déshabille avec un large sourire sur ses lèvres. il enlève son tee shirt, fait tomber son short et commence à passer ses mains sur son corps, il se caresse ses seins, il prend sa verge déjà bien tendue et se masturbe d’une main. Son autre main passe sur ses fesses et s’attarde sur son petit trou. D’où je suis je ne peux pas voir plus près mais vu ses yeux mi clos je suppose qu’il a atteint son but. Curieusement, cette situation m’excite fortement. Je fais tomber mon short à mon tour et je commence à me masturber. Après ces prémices érotiques, j’ordonne à Julien de me sucer la queue. Julien s’exécute, il s’agenouille à mes pieds, prend mon sexe et le caresse avec envie, il l’embrasse, il passe sa langue autour de mon gland et autour de ma verge. « Ce n’est pas ce que je t’ai demandé, je t’ai dit de me sucer, alors suce ma queue ». Pour asseoir mon autorité, J’introduis ma queue dans sa bouche sans trop de ménagement. J’enfonce et je ressors mon sexe avec des coups de bassin bien dosés. Julien me suce en mettant tout son cœur à l’ouvrage. Je suis super excité, c’est délicieux ce sentiment de puissance que cela procure. Je m’enhardis encore un peu plus dans cette démarche et je rajoute des petits noms d’oiseaux à mes injonctions, à mes de ...
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