Sur ces mots, les deux costauds m’attrapent et me trainent jusqu’aux sanitaires les plus proches, dans lesquels ils s’enferment avec moi (Jean a verrouillé l’accès en mettant un banc en appui sur la porte). Ils ont pris avec eux mes affaires de femelle, qu’ils me tendent. Ils semblent s’être un peu calmés nerveusement mais je sens qu’ils sont aussi très excités. En même temps, j’ai l’impression que, depuis notre entrée dans les sanitaires, Ils se sont beaucoup adoucis, ils ont toujours leurs regards violents mais leur intonation de voix s’est faite plus apaisée… pourtant, on entend toujours la foule en attente derrière la porte…
Je pense que cet embrasement de violence et de lubricité va prendre fin. Je suis enfermé dans une grande salle de wc/lavabos/douches avec mes affaires de femelle à la main et entourée par deux costauds et, dehors, plein de mâles attendent toujours. Je suis perdu dans mes pensées à me dire que tout va se calmer, que les deux costauds vont sortir pour demander à tout le monde de reprendre ses occupations et qu’on va en faire de même avec moi en me rendant tous les habits qui m’ont été retirés par la foule.
Mais ce n’est pas ce qui m’attend…
Le costaud, celui avec lequel j’ai commencé à me disputé s’appelle Luc. Après quelques minutes pendant lesquelles il semblait perdu lui aussi dans ses pensées dans ces sanitaires, il se rapproche à nouveau de moi et avec un regard noir de requin, il me demande quel est mon pseudo de femelle. J’essaie de nouveau de faire celui qui ne comprend pas, je reste évasif quand il insiste encore puis ça recommence : il me donne trois grosses claques et m’ordonne de lui répondre la vérité immédiatement chaque fois qu’il me demande quelque chose. Je n’ai pas le choix. Je lui dit que mon pseudo de femelle, c’est « Misha ». un fin sourire de satisfaction se dessine sur ses lèvres. Il se tourne vers son pote et lui dit que désormais, tout le monde s’adressera à moi en m’appelant par mon petit pseudo.
Je ne comprends pas. Je lui dit que je veux récupérer mes affaires et que leur petit jeu doit s’arrêter, que c’est bon, que j’ai compris que je ne dois embêter personne et qu’à l’avenir je fermerai ma gueule.
Luc revient vers moi, encore plus menaçant et me dit : « toi,tu n’as rien compris : 1/ ici c’est moi le chef 2/ tout le monde va t’appeler par ton petit nom de pute car, à partir de maintenant, tu va t’habiller en femelle tous les jours et tu seras la femelle du secteur ! ».
Je suis en panique mais je n’ai pas le temps de m’apitoyer sur mon sort. Luc se tourne vers son pote et l’invite à m’examiner avec lui sous toutes mes coutures. Ils sont surpris que je sois lisse de partout, ils apprécient. Mes tétons sont encore tendus des pincements subis par la foule, ça leur plait beaucoup…
Après m’avoir bien examiné de partout, Luc me dit qu’il est maintenant temps de me préparer. Je n’insiste pas avec de quelconques supplications et je commence à m’affairer. Les deux costauds vont s’asseoir dans un coin, me laissent tranquille mais me regardent faire. Ils me demandent de laisser toutes les portes ouvertes des lieux où je vais (wc, douches, toilettes) pour profiter du spectacle.
Je commence par le plus important : les lavements. Je prends ma grosse seringue, je la remplis d’eau tiède et je m’envoie de l’eau dans mon orifice. Au bout de quelques lavements et aller-retours aux wc, je suis propre, prêt(e) à être utilisé(e) de ce côté-là. Je pars ensuite sous la douche pour me faire une propreté. Je récupère au passage une serviette posée là ainsi qu’un gel douche abandonné.
Une fois sorti de la douche, je vais me maquiller. Par chance, je n’ai quasiment pas de barbe donc je n’ai pas besoin de me raser. Une fois maquillée, je mets ma perruque blonde mi-longue, je me parfume légèrement et je commence à me lubrifier le corps.
Une fois prête, j’enfile ma combinaison résille noire, je mets ma cage de chasteté en acier, je mets mon string noir, ma petite robe légère noire et mes talons. Les deux costauds me regardent toujours faire. Leur excitation semble être montée d’un coup de plusieurs étages. Je me tourne vers Luc pour lui demander si je dois mettre mon collier de chienne. Il me répond que je connais la réponse et qu’il faut que j’arrête d’ouvrir ma gueule de pute pour toujours poser des questions de conne. Il me prévient aussi que s’il m’entend encore parler avec ma voix de mec, il va venir me taper à coups de poings. Dans la foulée, il me demande : « tas compris, Misha ? ». Je suis obliger de répondre avec une voix de femelle. Ça ne lui plaît toujours pas. Il se lève, vient vers moi et me dit : « écoute, petite traînée, très bien pour ta voix, par contre, si tu t’adresses à un homme, tu dois l’appeler maître ! tu as compris ? ». je réponds : « oui maître, pardon maître ». ça lui plaît. Comme je le remarque, j’ajoute : « je ne suis qu’une petite pute, maître, je ne voulais pas vous fâcher, maître ». les deux costauds semblent séduits. Je me sens un peu moins tendue, moins stressée, l’excitation recommence à me parcourir le corps. Je leur dit que je suis prête. Luc s’en étonne : « tu es sûre ? tu n’as rien oublié ? » ? Il me tend un gros plug avec un tube de gel anal, me dit de l’enfiler puis me montre mon gros cadenas et me dit : « ça aussi ! ».
Je m’exécute. J’enfile le gros plug et j’ai tout de suite la sensation d’avoir mon orifice écartelé à son maximum, mais j’arrive à me le mettre. Je mets aussi le gros cadenas autour de mon sexe. Il tire dessus, il assez lourd, il est accolé à l’anneau de ma cage de chasteté. Les picotements d’excitation qui parcouraient mon corps jusque là se sont transformés en vagues de bouffées de chaleur que je ne contrôle pas. Ça me fait peur parce que je pense toujours à la foule derrière la porte…
Une fois que je dis que je suis prête, Luc vient me mettre mon collier de chienne et ma laisse. Ensuite les deux costauds m’inspectent de partout encore une fois puis Luc se tourne vers moi, m’attrape fermement par ma laisse et me dit : « bon, maintenant, on va aller voir les copains, c’est bon ma salope ? ». J’ai perdu toute volonté de lutte. Je lui réponds comme il l’attend. Luc demande à son pote de retirer le banc qui bloque la porte, que nous ouvrons…
A ma vue, la foule s’est tue d’un coup, un silence pesant s’est installé, des chuchotements filtrent de temps en temps mais c’est vraiment calme comparé à il y a à peine quelques instants. Luc me tient toujours par ma laisse, Jean m’encadre de l’autre côté puis nous commençons à avancer dans la foule. J’avance la tête baissée mais de temps en temps, je jette un coup d’œil à la foule et je remarque que les hommes ont tous le regard fiévreux, lourd de désir.
Une estrade est en place dans le coin opposé de cette grande salle dans laquelle nous sommes revenus. Nous nous dirigeons vers là. Arrivés là, Luc, dit aux hommes qui attendent sur cette estrade de descendre et de nous laisser que nous trois dessus, Luc, Jean et moi. Les hommes ne posent pas de questions et s’exécutent. Pendant ce temps, la foule nous a suivi et s’est agglomérée autour de l’estrade mais c’est toujours le silence. Tous attendent suite avec une impatience palpable. Je reste toujours la tête baissée et le regard fuyant. Luc le remarque et commence à s’adresser à la foule : « mes amis, je viens vous présenter une bonne petite femelle, elle s’appelle Misha et, désormais, ce sera la pute de notre unité ». des bravos retentissent. Luc demande le silence puis se tourne vers moi et me dit : « ma petite salope, j’ai remarqué que tu baisses constamment la tête depuis qu’on est revenus dans cette salle, si tu n’arrêtes pas cette comédie, je vais te taper encore ! tu lèves la tête en permanence et tu regardes tous les hommes dans les yeux ! c’est compris ? ». J’acquiesce. Ça ne lui plait pas, il tire sur la laisse et je réponds : « oui maître, oui j’ai compris ». la foule grogne de plaisir. Luc me détaille ensuite à la foule, montre ma cage avec le gros cadenas, me faire me tourner pour montrer mon plug bien enfoncé, joue un peu avec, en profite pour me lubrifier avec du gel et des crachats… La foule se détend de plus en plus et recommence même progressivement à être bruyante.
Luc demande à nouveau le silence, qui revient instantanément. Puis il s’adresse à moi et me demande : « qu’est-ce qui t’excite le plus, petite pute ? ». Je lui dis que j’adore me faire bouffer le cul, que ça me rend folle et qu'ensuite on peut faire de moi tout ce qu’on veut. Je lui dis que j’adore sentir plein de mains me parcourir le corps en même temps, que j’adore don ...
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