Au fil de mes nombreux dialogues et de mes rencontres j’ai toujours de plus en plus aimé sucer et au fil des plans je me sentais de plus en plus salope, l'envie d'en avoir toujours plus...

Il fallait donc que je passe à un stade supérieur qu’est celui de la sodomie.

En effet, pour moi, que ça soit pour une femme ou un homme passif, une vraie salope telle que je la conçois, doit évidemment sucer des bites mais elle doit aussi se faire enculer. Je rajouterais même qu’elle doit aussi être utilisée dans des plans pluriels telles que des tournantes et bukake…

Pour autant, se sentir femelle, fantasmer sur l’idée de se faire prendre et se goder c’est une chose, mais on reste quand même très très loin de la réalité de se faire mettre réellement par une vraie queue…

Comme d’accoutumé, je suis toujours partagé entre mes pulsions où je me sens comme une véritable petite chienne et la vie de tous les jours ou rien mais absolument rien ne m’attire chez un mec et surtout pas chez les gays « amoureux » ou « efféminés ».

J'aime juste les bites, endosser le rôle d'une salope qui sert à vider des mecs.

J’ai donc continué de discuter avec un bon nombre de mecs, qui comme moi, avaient parfois des envies de salope sans pour autant avoir une quelconque attirance pour les hommes. L’idée étant juste de prendre du plaisir dans des plans sexe où nous sommes dans un rôle complètement à l’opposé de ce que nous sommes réellement dans la vie de chaque jour et d’assouvir des fantasmes et des pulsions uniquement sexuelles.

Bref, au cours de mes recherches un homme de 65 ans me contacte pour parler sexe.

Lors de nos nombreuses conversations, je lui dis que j’aimerais bien me faire enculer, mais, malgré l’extrême excitation que cela me procure, ma libido s’arrête totalement dès lors que l’on me parle d’homosexualité, de câlins ou d’embrassades.

Cet homme simple, calme et toujours à l’écoute malgré le temps que nous passons à discuter,il me rassure. Il m’explique qu’il aime se faire sucer et prendre des mecs de temps en temps, sans du tout se sentir homo. Pour lui, ce ne sont finalement que des bouches ou des culs dans lesquels il prend tout le plaisir dont il a besoin et de la façon qu’il souhaite sans rien chercher d’autre.

Tout en me mettant de plus en plus à l’aise, il me dit qu’il est vraiment très excité à l’idée de me dépuceler et qu’il faut juste que j’arrive à m’abandonner aux plaisirs que cela me procurera.

Je lui explique alors que si je devais franchir cette étape pour le moment uniquement fantasmée, l’idéal serait un plan de nuit, en extérieur, que ce soit direct, sans parlotte ni câlin, juste prendre une queue dans le cul.

Très excité à l’idée d’être le premier à m’enfiler il est d’accord avec toutes mes conditions et nous finissons par conclure d’un rendez-vous.

Bien décidé, je vais donc immédiatement me doucher et me préparer au mieux en me godant avec le plus gros de mes sextoys puis je file sur notre lieu de rendez-vous avec le cœur qui bat à 200 à l’heure et c’est peu dire !!!

Je suis habillé d’un bas de jogging sous lequel je suis nu histoire de ne pas perdre de temps et de ne pas être ennuyé par mes sous-vêtements.

Comme j’en ai l’habitude j’arrive en avance sur le parking qui est désert et je fais rapidement le tour du coin avant de retourner attendre dans ma voiture.

A l’heure convenue, je vois des phares qui arrivent dans ma direction et un véhicule qui correspond à celui de mon interlocuteur se stationner un peu plus loin. Avant que le conducteur ne descende, je sors de ma voiture et me dirige vers la haie dans le coin le plus sombre que j’avais repéré auparavant.

Le mec descend à son tour et se dirige vers moi. Il correspond exactement à la description qu’il m’a faite de lui et arrivé devant moi il me dit « suis moi on va s’éloigner un peu pour être tranquille ».

Nous nous dirigeons alors vers la piste de l’hippodrome qui est juste à côté du parking et après avoir fait quelques mètres il s’arrête et me dit : « là c’est bon on ne sera pas dérangé ».

Sans dire autre chose et en m’ignorant presque, il déboutonne son pantalon le laisse tomber sur ses chevilles, il fait pareil avec son slip laissant apparaître une bite assez fine et déjà presque totalement raide. Il sort une capote de sa veste la déroule sur sa queue et l’enduit de gel en se branlant doucement pour durcir encore.

De mon côté l’excitation est à son comble, voir cette queue qui bande pour moi et l’idée de me faire vraiment enculer me rendent fou.

Je me retourne, je baisse nerveusement mon jogging, je m’enduis à mon tour de gel et j’offre mes fesses à cet inconnu qui n’a pas arrêté de mater mon cul la bite à la main.

Il s’approche de moi, me fait pencher en avant et positionne sa queue entre mes fesses. Ce premier contact avec une vraie bite est surprenant, assez froid (sans doute le gel) mais je sens très nettement la raideur de son membre !!! Son gland force doucement sur ma rondelle qui finit par s’ouvrir sous la pression de mon amant. Mais alors que son gland venait juste de passer je ressens une douleur très intense pour ne pas dire violente. Je ...

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