Lassé de l’offre de plus en plus réduite de la rue de Budapest je finis par explorer les possibilités du bois de Boulogne. Il n’avait à cette époque encore jamais été fermé, c’était toujours le plus grand bordel à ciel ouvert d’Europe et peut être du monde. Il y régnait un esprit de liberté (sexuelle) que je n’ai plus jamais retrouvé nulle part. Durant la saison chaude certaines “filles” étaient quasiment nues exposant tous leurs attraits.L'exhibition n’avait quasiment pas de limite , certains copulaient à découvert à deux pas de la route, ou sur les bancs près des lacs.
J’y vins une première fois dans la voiture d’amis provinciaux en goguette à Paris. Je fus halluciné par la quantité de canons offertes sur le bord de la route, je ne croyais pas un mots des avertissements de mes amis sur la nature masculine de ces beautés, me faisant en moi même la remarque que ci c’étaient des garçons alors je voulais bien etre “PD”.
Je ne tardai pas à revenir seul et devins un habitué de la station de la rue de la pompe, la plus proche de la zone d'intérêt dans le bois. Naïf il m'a fallu répéter l'expérience plusieurs fois avant de me résoudre à comprendre ce qui aurait été une évidence pour tout autre la jolie petite blonde qui me suçait si bien n’en était pas une, et de plus elle me serrait dans ses cuisses et pas dans son vagin.
Je découvris alors avec satisfaction le coin des brésiliennes (biologiques) à deux pas de ce qui est devenu le camp des latina maintenant. Cela ne m'empêchait pas de goûter aussi aux plaisirs de certaines de leurs consoeurs dont la plastique chef d'œuvre de la chirurgie fouettait mon désir.
Au cours de mes pérégrinations sans fin dans le bois je passai un jour dans une allée sans éclairage dans un sous bois épais, une allée partant du carrefour de la route de la grande cascade et du chemin de ceinture du lac intérieur. Dans l’obscurité je cédais au raccolage d’un travesti/transexuel sans même distinguer son visage. M’ayant attiré à quelque mètres du chemin il entreprit de me sucer sommairement, puis se relevant tout en me branlant il m’encula sans me demander mon avis, j’étais sidéré mais le plaisir fut immédiat, sans douleur , son sexe ne devait pas etre tres gros, en 30 secondes je giclais entre ses doigts, aprés avoir jouis d’un plaisir indescriptible irradiant de son sexe dans mon anus à ton mon corps. Absolument choqué par ce que je venais de subir et ressentir à mon corp défendant je partit en courant comme un fou vers le camps des brésiliennes pour une levrette rapide et sans saveur pour me convaincre de ma stricte heterosexualité, mai ...
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