Au début de la vingtaine, je me suis installé à Paris et j'ai commencé à découvrir les saunas gays. Pour le petit provincial que j'étais, c'était les lieux parfaits pour me livrer à la nouvelle passion que j'avais longtemps restreinte en moi et à laquelle je laissais désormais libre cours : sucer des bites. Et avec mon petit gabarit, ma frimousse d'ado attardé et mon p'tit cul, je n'avais généralement pas trop de mal à en trouver.
Au début, je me cachais pudiquement avec le mec qui avait flashé sur moi dans les cabines prévues à cet effet, mais j'ai vite saisi que l'un des charmes principaux de ces lieux résidait aussi dans la consommation sur place des queues qui s'offraient à moi, cela ayant l'avantage en outre de susciter l'intérêt des mecs installés aux alentours, qui venaient souvent prendre la place de celui que je venais de soulager quand ils ne poussaient pas la hardiesse jusqu'à venir profiter de ma bouche et de mes talents à plusieurs. Je me suis vite découvert un penchant exhib et un goût pour la pluralité masculine que je n'avais jusque là jamais même imaginé.
Quand j'arrivais pour passer l'après-midi ou la soirée au sauna, j'explorais donc méthodiquement tous les espaces mis à ma disposition, du hammam aux douches, de la backroom à la salle vidéo, pour y vidanger consciencieusement toutes les bites qui se présentaient devant mes lèvres. De temps à autre, mes aventures fellatoires étaient interrompues par la demande d'un mec qui me demandait de le suivre dans une cabine le temps d'une sodomie rapide, puis je retournais tranquillement m'agenouiller devant la suivante.
Il n'y avais qu'un espace dans lequel je me tenais au repos : c'était le bain à remous, surmonté d'un panneau menaçant d'expulsion toute personne y ayant des rapports sexuels qui me terrorisait (non, j'abuse, mais je ne tenais pas à me faire virer comme ça).
Un soir, je me suis rendu dans un sauna que je ne connaissais pas encore, et que m'avait conseillé une connaissance qui savait que j'appréciais les hommes mûrs. C'était en effet un établissement du centre de Paris essentiellement fréquenté par des messieurs d'un certain âge voire plus, dont beaucoup étaient en quête de chair fraîche. Et en effet, dès que je pénétrais dans les douches, j'observai les regards en biais ou francs qui se glissaient avec envie sur mon jeune corps. Dans le hammam, les gars se branlaient carrément sous mon nez, et je n'avais qu'à choisir la bite la plus à mon goût.
Sous l'étage du hammam, un autre sous-sol accueillait les douches, les cabines, le bain à remous et même une véritable piscine. Histoire de me remettre un peu des premiers assauts du bain de vapeur, je me glissais dans le jacuzzi, le plus vaste et remarquablement décoré que j'avais jamais vu : une grande vasque de céramique installée directement dans le sol et mosaïquée, dans laquelle deux messieurs somnolaient paisiblement. Dès que je me suis installé, celui qui était en face de moi m'a dévisagé longuement, puis j'ai senti ses pieds glisser sous l'eau jusqu'aux miens, dans un clair signe d'invitation. J'ai traversé le bassin pour venir m'asseoir près de lui, et il a commencé à me caresser doucement les cuisses, le ventre et les fesses. Ma main a recherché à tâtons entre ses cuisses, jusqu'à se poser sur une tige de chair épaisse et déjà bien raide qui la remplissait généreusement. Sans un mot, il m'a attiré vers lui pour m'embrasser, m'installant face à lui, entre ses cuisses. Pendant que mes doigts allaient et venaient le long de sa queue, les siens s'attardaient sur mon cul puis remontaient agacer mes tétons, me plongeant dans une excitation de plus en plus vive que renforcer la sensation ferme de son désir au creux de ma paume.
Il m'a embrassé une autre fois, puis ses hanches sont remontées vers la surface, et sa bite raide a émergé face à moi, délicieusement tentante. J'ai jeté un regard alentour : l'autre monsieur somnolait toujours, mais sur le mur au-dessus de nous trônait une affichette proscrivant les rapports dans le bain. Je la lui désignais rapidement, mais il me répondit que personne ne vérifiais jamais, tout en glissant ses longs doigts derrière ma tête, en un geste d'invitation sans équivoque. Je ne réfléchis pas plus et fit glisser son gland entre mes lèvres. Sa queue avait un goût un peu chloré après son séjour dans les remous, mais je passais par dessus et entrepris de l'avaler.
C'est à ce moment-là qu'il a replongé ses hanches, tandis que sa main maintenait fermement ma tête pour m'empêcher de lâcher sa bite. Je me suis retrouvé d'un coût la tête sous l'eau, la moitié de sa queue enfoncée entre mes lèvres, pris de panique à l'idée d'étouffer ainsi. D'une pression ferme et autorita ...

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