C’est ce rendez-vous manqué qui m’a fait entrer dans cette boutique.
Presque deux heures à tuer dans le quartier de Montparnasse et assez de choses inutiles chez moi pour faire un énième tour à la Fnac ou dans les boutiques de la rue de Rennes.
Il fait chaud, pas envie d’encourager le commerce de l’arnaque à boire une mousse mal servie pour 10 balles alors je marche un peu… j’ai du temps et je n’en ai jamais d’habitude, je cours toujours après et là, je ne sais pas comment exploiter ce temps que la providence vient de me confier… qui me coule entre les mains comme un sable sec, clepsydre !
Je remonte la rue de la gaîté. Ça a bien changé ! Pendant mon adolescence, je rêvais de passer ces rideaux rouges qui cachaient, juste ce qu’il fallait les entrées des sex shop. Regard furtif en passant sur les étals de papiers glacés, des revues à belles filles…souvenirs souvenirs…
Aujourd’hui, adulte c’est drôle de ressentir ce charivari dans le ventre à l’idée de passer ce rideau.
L’Odyssex, je pousse les rideaux, furtivement, à l’opposé du cowboy qui entre dans son saloon. Des images partout, des filles partout, empalées par des bites de compétition, et je dis bien DES bites ! dans le même trou, et avec le sourire en plus !
Les chattes poilues de mon adolescence ont laissé la place à de la douce et tendre charcuterie exposée, exhibée, ouverte, voire inspectée par l’objectif… mais que c’est bon ! C’est petites chattes ouvertes, rose malabar, appartenant des minettes qui sont loin de la trentaine encore… ce pouvoir de la chatte me guide de loin en loin au fond de la boutique.
Je ne regarde plus les « autres », je suis hypnotisé par ces jeunes filles chacune plus sexy que l’autre, plus belle à chaque fois que sa copine de la jaquette d’à côté, plus cochonne à chaque fois.
Je m’arrête devant le rayon des sperm lolitas… des petites allemandes à genoux auréolées de bites à veines, prêtes à exploser… dégoulinantes, souillées, débordantes de foutre : je les trouve encore plus belles comme ça. Surtout les brunes avec ces serpentins blancs collés aux cheveux.
C’est décidé, je vais demander une carte à la caisse pour zapper sur toutes ces filles, pour avoir le plaisir de regarder leurs œuvres à ces cochonnes…je surmonte mon rouge aux joues, je paye, on me communique un numéro de cabine et je descends l’escalier qui m’emmène au sous-sol…
Autre ambiance… des hommes en attente dans le couloir… ambiance enfumée, prédateurs à l’affut qui me poussent à regarder le bout de mes chaussures quand je passe devant, je me sens scruté car ils semblent tous se connaitre, être habitués du lieu.
Je suis le lapin blanc qui passe devant les renards, mélange de peur et d’excitation.
Ma cabine, la 16, est dans un petit renfoncement, les renards me voient y entrer et j’ai à peine le temps de faire connaissance avec le lieu, à m’habituer à la pénombre que la clenche s’abaisse à rythme régulier…les renards testent l’entrée du poulailler.
Je m’installe, je prends possession de l’espace, je prends le temps de choisir mon film…je recherche et retrouve les sperm lolitas de GGG et je commence à profiter de l’endroit.
Le film fait son effet, je ne me sens pas frustré de mettre le son (impossible chez moi) et la clenche qui s’abaisse régulièrement m’excite de plus en plus.
Au bout de quelques éjaculats dans la bouche, les lolitas sont imbibées, je sens que j’ai chaud, aux joues et dans le ventre, le lève le verrou de la porte et je laisse faire les choses…
Mes yeux sont rivés sur l’écran, je n’ose tourner la tête mais maintenant que la clenche est levée quelqu’un a entre-ouvert la porte et me regarde. Je suis pétrifié, je suis là, debout, à fixer les images pendant que je suis moi-même l’attention des curieux car, c’est maintenant trois ou quatre ombres que je pressens devant ma cabine.
Je stress un peu, j’ai perdu toute érection, mais je suis quand même en excitation… l’esprit est là, c’est seulement le corps qui ne suit pas…j’ai peur c’est tout, je me sens être une petite proie et deux individus entrent dans ma cabine et referment derrière eux.
Je n’entends que des respirations et le fond sonore du film, des râles d’hommes, des clapotis de baise et les cris étouffés des filles qui se font démonter partout, sur le plateau, devant la caméra, dans les autres cabines : tout mon espace-temps est un bordel, des queues qui malmènent des petites chattes, des culs, des filles.. ;
Des mains se promènent sur moi, me pressent les fesses, me touchent la queue, je suis tétanisé, c’est la première fois que je subis ce traitement, un combat intérieur se produit dans ma tête, la peur de rencontrer une connaissance, et l’idée de m’offrir à des inconnus me parait être l’expérience à vivre sur le moment.
Je suis docile, je me laisse faire, ces mains passent sur mon torse, on me pince les tétons et je n’aime pas ça…mouvement de recul. Pas grave, l’intéressé les a abandonnés pour s’intéresser à la ceinture qu’il ne parvient pas à défaire. Je l’aide, enfin, mes mains l’aident Pantalon aux chevilles, caresses à travers le slip, je bande comme jamais…. Ma queue est libérée et ce n’est pas la seule.
Je sens des queues qui tapotent contre ma cuisse et je prends la liberté de les attraper elles sont chaudes dans ma main. C’est une nouveauté pour moi, un cap franchi , une première !
A gauche, la queue la plus grosse, veinée, tendue, dure explose dans mes doigts après quelques va et vient…je regarde cette crème sortir par jets, je l’accompagne jusqu’au bout, jusqu’à ce qu’elle n’ait plus envie.
Il ne restera de cet individu que cette petite flaque au sol, il est refagoté et déjà sorti, disparu…
Son acolyte referme derrière lui et compte bien garder sa proie pour lui seul.
Je suis déshabillé complètement, aucun mouvement de recul de ma part mais pas d’initiative non plus… me laisser faire est visiblement ce qui m’excite. J’ai perdu ma volonté propre, je ne suis qu’obéissanc ...
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