Le retour des beaux jours émoustille les sens. La chaleur estivale a des effets jusque dans mon slip alors un petit tour en nature s'impose. Un contact sur LDD me fait part de ses envies de fellation et m'annonce son intérêt pour mon annonce et mes envies. Nous décidons de nous rencontrer dans un coin tranquille, en forêt, là où nous pourrons être tranquilles pour faire ample connaissance.
Sa fiche précise qu'il a un faible pour la lingerie et qu'il est dominateur léger. Une idée me vient, je ne lui dis rien mais je décide de lui faire un petite surprise.
Le jour J, je me prépare assez tôt : j'enfile un string noir en dentelle, des bas résille et une nuisette échancrée des deux côtés et noire transparente, sans oublier des escarpins avec des talons aiguille. Ça relève le fessier et le dos se cambre, si bien que j'ai un cul qui attire les mains.
Je me mets en route, afin d'arriver en avance. Je gare ma voiture et m'enfonce dans le bois d'une cinquantaine de mètres. Comme convenu, j'ai pris une couverture pour qu'on puisse s'étendre si besoin.
J'attends quelques minutes, un véhicule arrive. J'entends une porte claquer. Je n'ai pas vu la tête de mon partenaire, seulement sa bite. Il l'a plutôt épaisse mais pas d'une longueur hors norme. Il vient dans ma direction en suivant le sentier donc j'en déduis que c'est lui. Au moment où il me voit, il a un temps d'arrêt et s'approche : "Tu es Pascal ?". "Oui, c'est bien moi, je t'ai fait la surprise car j'ai vu que la lingerie te plaisait beaucoup". Ses mains s'emparent de mon corps, il se colle à moi et murmure à mon oreille "waow, super ta tenue, tu sens l'effet que tu me procures ?". Je ne réponds pas, sa queue est dure comme du roc contre moi, son short est tendu comme un arc. Il se met aussitôt à poil et me reprend dans ses bras. Il me serre contre lui, sa queue contre la mienne, je bande aussi maintenant. Ses mains parcourent mes fesses puis mon dos puis reprennent mes fesses. Ses doigts remontent mon sillon, massent mon anus et repassent devant pour saisir ma queue. Il me branle vigoureusement en écrasant mes couilles de l'autre main. Je ne reste pas inactif. Je pince ses tétons durcis et tendus, ils sont longs. Je fais mine de descendre les lécher mais il attrape ma bouche avec la sienne et enfourne sa grosse langue en poussant un gémissement. J'ai pris sa queue. Oui, elle me paraît maintenant très large, ses couilles sont grosses et fermes, j'imagine déjà les vider. Il lâche ma langue et me laisse venir lui bouffer les tétons. Je le branle en même temps. Je me penche jusqu'à ce que ma langue descende sur sa queue, je lui donne des petits coups de langue sur le gland, tourne autour , revient sur le prépuce. Je lui administre ce traitement plusieurs fois. Il a posé une main sur ma tête et me caresse les fesses de l'autre : "hum vas-y ma chérie, continue, elle est agile ta langue, ouiiiii". Il m'encourage alors j'en profite pour gober ce gros gland et jouer avec ma langue, je lui lape le bout. "Oui, comme ça, encore, j'aime tes coups de langue, hummm". Après cet avant-goût de mes capacités, je décide enfin de m'enfiler la queue entière jusqu'en fond de gorge. Elle n'est pas très longue donc j'arrive vite à tout avaler. Je commence à aller et venir sur ce gourdin, en variant le rythme, jusqu'à pratiquement m'arrêter. Je lui prodigue ce massage buccal en serrant bien les lèvres sur sa hampe et sur son gland. Ça produit son effet car il gémit et donne des coups de reins pour mieux s'enfourner. Je serre fort la base de son dard entre deux doigts en imprimant un léger mouvement de va-et-vient. A partir de là, je perds le contrôle, il saisit ma tête et se met à me baiser la bouche en poussant des râles de bucheron. Sa queue entre et sort maintenant vite et fort, comme s'il m'enculait violemment. Il accélère encore et soudain je sens des giclées de sperme chaud envahir ma gorge, j'avale au fur et à mesure mais il se retire, j'attrape sa queue et je le finis à la main en éjac faciale. Il m'envoie de longs jets sur le visage puis cesse enfin dans un gémissement de satisfaction.
Vidé il s'étend sur le dos sur la couverture : "t'es une bonne salope, tu suces merveilleusement bien, viens près de moi". Je m'agenouille à côté de lu ...

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