Ce matin-là, je descendis le bas-côté de la nationale, talons claquant sur le bitume fissuré. Ma micro-robe en vinyle fuchsia moulait mon corps trafiqué avec soin, épousant parfaitement mes courbes exagérées. Mes cuissardes à talons aiguilles de 12 cm, parfaitement assorties, allongeaient mes jambes et accentuaient ma démarche féline. Sous ma longue perruque rousse qui tombait jusqu’au milieu de mon dos, je sentais le frisson de l’excitation me gagner. Mon pastron en silicone, bonnet E, amplifiait chaque mouvement, balançant avec une sensualité étudiée. Pas de bijoux, juste une fine ceinture en vinyle pour souligner encore plus ma taille cintrée.
J’étais au chômage depuis plusieurs mois. Avant ça, pendant plusieurs années, j’étais une vraie tapineuse, une pute de bord de route, plantée entre deux panneaux de limitation de vitesse, là où les routiers ralentissent et les voitures lorgnent. Mon corps, lui, ne demandait qu’à recommencer. Le sexe, c’est toute ma vie. Alors ce jour-là, quand un mec dans une berline gris métallisé a ralenti à ma hauteur, j’ai tout de suite su que c’était pour moi.
Grand, charismatique, l’air sûr de lui… J’ai fondu dès qu’il a baissé sa vitre. Son regard s’est posé sur moi, franc, curieux, déjà un peu dur. Je me suis approchée lentement, enjambant les touffes d’herbe sèche, et me suis penchée à sa portière, les seins presque posés contre la vitre. Un sourire chaud, une voix douce et provocante : "Tu veux t’amuser, chéri ?" Rien qu’à son regard, j’ai su : il saurait me prendre.
Quelques minutes plus tard, il avait garé sa voiture derrière un talus, juste à l’écart de la route. Le moteur encore chaud vibrait doucement sous mes fesses quand je me suis hissée sur le capot. Je tirai un peu sur ma robe, juste assez pour offrir une vue pleine de promesses, les cuisses bien écartées, les lèvres maquillées d’un sourire effronté. Mon regard accrocha le sien. "J’ai une façon très personnelle de dire bonjour...", lui ai-je soufflé, voix grave et sensuelle, pendant que je me cambrerais doucement, exposant mon anatomie docile.
Il n’a pas eu besoin d’en savoir plus. Il a ouvert sa braguette d’un geste rapide, et son sexe est sorti, déjà dur, imposant. Il me regardait avec une intensité brûlante, les yeux rivés sur mes fesses offertes. Quand il m’a saisi par les hanches, j’ai senti sa poigne ferme, autoritaire, presque possessive. Il m’a basculée avec aisance contre le capot, ma poitrine écrasée contre la tôle chaude, mes seins plaqués et mes tétons durcis par le contact brûlant du métal.
Puis il m’a pénétrée d’un coup sec, brutal, sans hésitation. Mon souffle s’est coupé net, ma tête est partie en arrière, ma perruque rousse fouettant le métal. Il me pilonnait avec rage, ses hanches claquant contre mes fesses à chaque poussée, sa voix rauque à mon oreille : « C’est ça que tu veux, salope ? Hein ? Dis-le ! Dis que t’aimes ça qu’on te défonce comme une chienne ! »
Je gémissais à chaque choc, incapable de me retenir, offerte totalement. « Oui… oui… baise-moi comme une sale pute… prends-moi comme un objet… je suis là pour ça… », haletais-je, les joues en feu, mon corps entier vibrant sous ses coups de reins puissants. Il grognait, m’empoignant les hanches comme s’il voulait me briser, puis il m’a tirée par les cheveux : « T’as une bouche aussi utile que ton cul ? »
Il m’a redressée à moitié, sa main enserrant ma gorge, me forçant à garder les yeux ouverts. ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur