..Cela faisait 20mn que j'étais arrivée sur un lieux de drague, un petit sous bois surplombant une petite route désaffectée, que je vois une voiture se garer. Je me met en position, à genoux, appuyée sur mes mains, à tortiller du cul, comme toute bonne pétasse venue chercher du sexe sur un lieux de baise.
Là, se présente à moi, un bonhomme essoufflé, bedonnant, mal rasé, en tenue horrible, vieux jogging avec des auréoles douteuses. Il commence par me dévisager, tout en se frottant le sexe par-dessus son pantalon, j’ai vite compris pourquoi les auréoles, puis il prends l’initiative et viens me peloter les fesses avec ses grosses mains calleuses. Sans tarder, Il se positionne devant moi, baisse sa fripe et comme je me doutais, rien pour maintenir un gros sexe plus large que long, qui pendouille sous mon nez, au milieu d’une forêt de poils poivre et sel, avec une petite odeur de « déjà servi ».
Il m'attrape par l'arrière de la tête, et m'enfourne son chibre dans la bouche. En bonne pétasse soumise, je m'applique tant bien que mal, sous les coups de boutoirs du pervers et j’accepte malgré des hauts le cœur, à me faire baiser la bouche. Il ne bande toujours pas, mais à l'air d'apprécier la chaleur de ma bouche car je l'entend haleter dans un râle rauque et animal!

C'est en prenant ma respiration, que je m'aperçois qu'un autre gars se branle une magnifique bite très longue et épaisse debout à côté. Le gros pervers sort enfin de son silence pour lui dire:
"...vas y profite de cette chienne, viens te vider, elle est là pour ça...!"

Pendant que je me faisais remettre au travail avec mon gros pervers, l'autre gars s'est placé derrière moi, ma ouvert les fesses avec ses mains, et a commencer un délicieux travail avec sa langue sur mon petit trou, tout en me faisant traire le clito en même temps. Après m'avoir craché sur le trou, il a présenter son braquemart et lentement il s'est enfoncé jusqu'à la garde, pendant que son compère devant, me maintenais le visage contre sa bedaine avec sa « grosse guimauve » en bouche, pour étouffer un long cris de douleur et de plaisir mélangé.
Un super baiseur, qui alternait les mouvements lents, les pauses, et la défonce, agrippé à mes hanches. Il jouait à merveille avec sa bite, en la faisant sortir en totalité et la replanter tout au fond. Un vrai délice ! mes couilles et ma bite étaient secoués dans tous les sens.
Mon gros pèpère, lui, toujours à genoux devant moi, ma fait relever la tête, il maintenais son gros machin pressé entre ses doigts, et par saccades m'a envoyé des petites giclées de pisse sur le visage et dans la bouche qu'il me maintenait ouverte avec deux doigts, pour soulager, ce qui était heureusement, qu'une petite envie, avant de me donner la dernière rasade au fond de la gorge. Sans s’essuyer, il la relevé son fût avant de partir.
Mon amant à accéléré le rythme, moi la tête posée au sol en gémissant comme une truie, il à fini par déculer et cracher tout son foutre sur mes fesses et mon trou, qu’il a pris soins d’étaler avec sa main, avant de s’essuyer sur mon corset.. < ...

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