Il y a environ cinq ans, je me promenais sur un site répertorié, bien connu des vichyssois et propice aux rencontres.
Malheureusement, ce site au bord de l’Allier, que les locaux reconnaîtront, a été depuis complètement réaménagé et a perdu tous ces petits recoins qui permettaient des rencontres discrètes.
Sur ce site, de nombreux petits chemins et tout au bord de la rivière une ancienne construction technique abandonnée, à l’abri des regards, ou seuls les murs avaient résisté au temps. Cet endroit méritait une petite visite à chacun de mes passages.
Ce jour-là en m’approchant, je remarquais un homme assez âgé, assis sur le petit muret qui était en train de se masturber. Il avait son short sur les pieds et je pris quelques instants pour l’observer avant de me découvrir. Ayant baissé, moi aussi mon short et sorti mon sexe pour lui indiquer mes intentions, il me demanda d’approcher et commença à me masturber vigoureusement pendant que je m’occupais à pincer mes tétons.
Puis il me dit que le coin n’était pas assez discret et me demanda de le suivre dans un endroit plus calme, ce que je fis. Après une centaine de mètres à parcourir un petit chemin nous arrivâmes dans un petit fourré, très protégé par une végétation dense, visiblement l’homme avait aménagé l’endroit car le sol permettait de s’allonger sur une serviette de façon à agrémenter nos ébats.
Après avoir retiré de nos sacs nos deux serviettes, il me demanda de m’allonger et entama une fellation sur mon sexe qui avait perdu de son ardeur. Puis très vite il s’aventura autour de ma rondelle en la massant délicatement et en l’humectant abondamment de salive. Bien que j’avais essayé auparavant quelques introductions de petites tailles dans ma rondelle, la sensation qu’il me procurait en introduisant un puis deux doigts dans mon petit trou, tout en étant très doux était nouvelle pour moi.
Il continua son travail jusqu’à m’introduire quatre doigts, je sentais mon petit trou se dilater sans pour autant avoir mal. Me sentant visiblement conquis par ce petit jeu, il sorti de son sac un god qui à l’époque me semblait énorme. Il devait faire cinq à six centimètres de diamètre et avait une longueur d’environ 25 cm. Il arrosa copieusement l’objet de gel et essuya ses doigts en m’étalant le restant du gel sur ma rondelle.
Doucement, il commença à masser ma rondelle avec la tête de ce gros god en appuyant doucement mais régulièrement afin que mon petit trou avale la bête. Je sentais mes chairs s’étiraient jusqu’à ce moment ultime ou une douleur plus aigüe m’envahit en même temps que je sentais l’objet s’introduire en moi. C’était une sensation mitigée de douleur et d’extase.
Il me laissa récupérer quelques in ...

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