Bonsoir à tous,
Mon compagnon et moi formons ce que les gens appellent une union libre. Nous sommes un couple uni et complice ce qui ne nous empêche pas d’être ouverts à certaines opportunités pour partager ensemble de nouvelles expériences. Et il arrive parfois que des imprévus deviennent les plus savoureuses opportunités qu’il convient d’apprécier à sa juste valeur.
C’est notamment une de ces opportunités qui nous est arrivé il y a quelques années que je souhaite vous faire partager.
Nous avons coutume de nous promener, à l’occasion de randonnées pédestres ou à vélo, pour ensuite se poser là où le plaisir de la vue nous arrête, ou lorsque le coin nous semble assez à l’abri des regards ou des passages inconvenantes. Et lorsque les deux conditions sont réunies il n’est pas rare de profiter de l’occasion pour se libérer de nos affaires, histoire d’ajouter à la beauté du paysage le plaisir de profiter du corps de l’être aimé dans ce bel écrin.
Cette fois ci, après avoir profité d’une brève baignade improvisée dans une plage discrète nous avions décidé de nous mettre à l’écart pour une sieste crapuleuse. J’adore ces moments suspendus dans le temps, où l’excitation de l’interdit me fait admirer le corps de mon homme avec une autre intensité : son visage barbu, son regard expressif qui ne laisse aucune ambiguïté sur ses intentions, sa peau douce et légèrement poilue le long duquel parcours mes doigts, son petit ventre qui concentre tous mes baisers. Après ces caresses mes lèvres descendent progressivement sur sa superbe queue longue qui commence à se raidir et sur ces couilles lourdes et pleines. Avec gourmandise je commence par jouer avec son prépuce, y introduisant ma langue de façon à simultanément lécher le gland et titiller le frein. Je m’y attarde le temps de faire prendre un bon volume à l’objet de mes désirs, son gland enfle ...

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