Je ne remercirais jamais assez les personnes qui me notent et m'encouragent de continuer à écrire, et me fond plaisir à m'écrire des commentaires.

Rencontre imprévue d'une trans

C'était l'année 2000 , je commencais juste à me travestir, et mes rencontres étaient rare et uniquement avec d'autre filles comme moi, nous étions fin juillet, un vendredi soir, je suis chez moi seule et je m'ennuie je n'ai pas envie de me coucher , pour une fois je ne bosse pas samedi.
Je décide de sortir Peggy du placard, je m'épile, me douche , petit lavement, ensuite lingerie, robe, et maquillage, avec ongles vernies et perruque, une paire de botte à talon, le grand jeu, j'ai tout le we.
Je me regarde dans le miroir je me trouve belle et baisable, le problème c'est qu'il n'y a personne pour en profiter. Je sors mon god préféré et commence à jouer avec , au bout de longues minutes, je jouis sur mes bas, et me repose de ce petit plaisir. Très rapidement ma chatte anale en réclame encore, mais je n'ai plus envie de me goder, je me mets un plug, j'ai envie d'une copine qui se gouine avec moi.
Il est 23h je suis en fille , autant aller faire un tour au bois trouver une fille comme moi et la ramener à la maison . À l'époque internet était très peu chez les particuliers et pas chez moi.
À cette heure il n'y a personne dans l'immeuble et surtout c'est les vacances la moitié des appartements sont vides. Je sors sens la peur de rencontrer un voisin.
Me voici en route, périphérique sortie porte d'Auteuil, je sais que les filles comme moi vont draguer du coté de l'hippodrome, arrivée la haut, personne, pas une travesti, pas un mec en rut.
Je suis dépitée, et me dit que je vais un tour sur la grande avenue et les petites rues autour , on ne sais jamais, bien qu'il n'y a que des professionnel et ce n'est pas ce que je cherche.
Je fais demi tour et reviens sur la rue qui longe Roland Garros, une fille blonde fait du stop au loin , je m'approche et dans mes phares je vois une superbe trans, cuissardes rouge à talons aiguilles montant jusqu'au fesses, mini robe cuir noir, qui s’approche plus de la ceinture que de la robe, mini string rouge avec un renflement qui ne laisse aucun doute sur la qualité de cette jeune fille, un top rouge échancré jusqu'au nombril laissant voir une poitrine énorme, avec de grosses auréoles et de magnifiques tétons.
C'est la trans sublissime que nous trouvons dans les livres cochons des sex-shops, et elle est la devant moi dans la lumière de mes phares.
Je m’arrête à son niveau le carreau est baissé , elle passe sa tête :
– tu m'emennes chérie je vais rejoindre mes copines.
- OK monte , la porte est ouverte.
elle s'installe, elle sent le patchouli, un parfum que je n'avais plus humé depuis mon service militaire. Pose une main sur ma cuisse, et soudain me regarde .
– ho , j'avais pas fais attention , mais tu es une joie travelotte !
- oui merci.
– tu viens faire des passes ?
- non je ne suis pas une professionnel, je suis venue pour rencontrer des filles comme moi a l'hippodrome, mais il n'y a personne.
– emmènes moi auprès de mes copines je te présenterais et si tu veux tu pourras peut être baiser avec l'une d'elle.
- OK , on verra bien.
Arrivé au rond point je tourne et remonte en direction de Neuilly, pas une fille, pas un mec pas de voiture.
- c'est le désert ce soir , ça beau être les vacances il y à toujours un peu de monde.
– tu as raison , il se passe quelque chose. Arrivé au croisement de la route de Suresne, une voiture de police toutes sirènes hurlantes nous coupe la route, puis une deuxième la suit , et elles s'éloignent , un camion de police est stationné plus loin.
– laisse tombé la nuit est foutue, les flics font une descente et ramassent toutes les filles. Tu peu me déposé chez moi ?
- je veux bien si c'est pas trop loin.
– C'est dans le 18ème, prés du métro La Chapelle.
- C'est prés de chez moi, c'est parfait. Je suis à Stalingrad.
Le long du trajet sa main continue à me caresser la jambe et remonte sur mon clito déjà bien tendue, par sa présence.
– mais tu mouilles, vilaine cochonne , je te fais de l'effet on dirait.
- il faut dire que tu es magnifique, se serait impoli de ne pas bander pour toi.
– tu es gentil comme fille , j'ai envie de te baiser, d'habitude je baise une copine avant de travailler, mais pour ce soir c'est foutu. Par contre on fera ça dans la cage d'escalier de mon immeuble , mon coloc ne veux pas que je ramène du monde.
- si tu veux on peu aller chez moi.
– oui ce sera mieux, c'est quoi ton nom ? Moi c'est Linda.
- moi c'est Peggy.
Nous somme sur le périphérique et je roule doucement profitant de ses caresses, sur mon clito mes seins qu'elle titille, puis elle prend ma main du levier de vitesse et la pose sur sa queue qui est sortie du string et qu'elle branle depuis un moment, elle est longue et fine avec une gland tout rose.
– vas y branle moi , Peggy , tout à leur tu auras le droit de la sucer avant de te la prendre dans le cul.
Le reste du trajet je le passe à la branler , changeant de vitesse le moins souvent possible, tellement j'aime la caresser, la sentir vibrer .
Nous arrivons enfin dans mon appartement, je lui offre un whisky , et je m'en sers en grand pour me stimuler et me désinhiber.
Elle est affalée dans le fauteuil , les jambes écartées , le chibre turgescent dressé comme un porte drapeau. Je m'agenouille devant elle comme une bonne petite chienne et lui happe le pieu, elle pousse un grognement de satisfaction, mes lèvres enserrent son vit, sa grosseur est juste pour ma bouche que j'ouvre au maximum. Sa queue ne rentre qu'a moitié et vient taper la glotte. Je suis presque étouffée.
– c'est bien , ma belle, tu suces presque comme une pro, tu as du déjà bouffer de la bite , ma cochonne.
Elle pose la main sur ma tête , et me donne le rythme à tenir, essayant de me faire des fonds de gorge que je ne supp ...

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