Encore tout émue de mon aventure portuaire (lire ma précédente aventure), je devais reprendre la route vers mes Alpes, depuis la Bretagne. Mon loup de mer aux puissants coups de reins m’avait laissée tellement femelle que j’avais décidé de faire la route en fille, pour rester dans l’ambiance. Après tout, que risquais-je ? Traverser la France en voiture par des régions où je ne connaissais personne ne pouvait pas m’attirer d’ennuis. Au cas peu probable d’un contrôle d’identité, après tout, on s’habille comme on veut…
J’avais rendu mon appartement le samedi à Paimpol, et passé une nuit d’hôtel vers Nantes. Le dimanche matin, me voilà donc montant dans la voiture, petite jupe étroite et courte, collants très fins, t-shirt blanc moulant ma forte poitrine de silicone. Grandes lunettes noires sur les yeux, un bandeau noir pour maintenir ma longue chevelure rousse, et l’empêcher de me voler dans les yeux sous l’effet du vent s’engouffrant par la fenêtre entrouverte.
En effet, j’ai choisi les routes nationales plutôt que l’autoroute anonyme. Premier arrêt sur l’aire Claude-Bonnier, un peu après Angoulême. Grand moment d’inquiétude, un car en halte avec des ados sur le parking (visiblement une colonie de vacances) et pas mal de camping-cars… Mais ça passe, malgré ma grande taille, mon aller-retour aux toilettes passe inaperçu. Enfin, je pense… de quoi me rassurer sur mon apparence et mon attitude.
L’aire de la Jalette, une heure plus loin, allait se révéler une embuscade terrible. J’avais préparé mon pique-nique (sans jeu de mots), faute d’oser m’attabler au restaurant. Mais c’était un dimanche d’été… Ce parking immense, avec pas mal d’ombre, était rempli de peu de vacanciers, mais surtout de camions bloqués là par l’interdiction de circuler. J’ai failli renoncer, mais bon, j’avais faim. Ce qui devait arriver arriva : un chauffeur plus à la recherche que les autres m’a remarquée.
Je n’avais rien vu de son intérêt, mais j’ai vite compris quand il a habilement manœuvré pour se trouver à la porte des toilettes pour femmes alors que j’en sortais, après mon petit repas. Pile au moment où personne d’autre ne les fréquentait. Une force de la nature, de nationalité slovène (je l’ai su plus tard), plus grand que moi encore, dont le bras me saisissant le coude m’a guidée sans que je puisse dire « ouf ». Je n’étais pas vraiment en position de faire un scandale, d’ailleurs…
Son camion était à quelques dizaines de mètres, garé à l’ombre, un peu éloigné des autres. Il a ouvert la porte côté passager et m’a littéralement poussée à l’intérieur sans que je songe à m’enfuir, sidérée par sa vigueur et sa détermination. « Pas malin venir là pour fille comme toi », a-t-il dit en me suivant, « moi loin chez moi, pas fuck une semaine ».
J’ai bien tenté d’argumenter : « mais je ne suis pas… » « Tu crois je sais pas ? » fut sa seule réponse, « bouche et cul OK ». La messe était dite.
J’ai eu de la chance, il était propre. Je l’ai constaté tout de suite alors que sa main droite pesait sur ma nuque pour diriger mon visage vers un bermuda déjà gonflé, que la gauche commençait à ouvrir. La matraque qui jaillit du slip me fit écarquiller les yeux de surprise, moins par sa taille, certes imposante, que par ses veines très apparentes, une vraie sculpture que j’entourai vite de mes doigts, avant de poser ma bouche sur l’extrémité. La main continuant d’appuyer sur ma nuque, il fallut bien que mes lèvres s’ouvrent et c’est là que, subjuguée, je commençai à le pomper, goulûment, sans qu’il n’ait plus besoin de m’imposer quoi que ce soit.
Je sentais sous ma langue le relief de ses veines battantes, l’afflux de sang dans cette verge dressée qui les faisait palpiter. Je ne voulais plus lâcher cette queue et je caressais ses bourses en même temps que je le suçais avec ardeur, avant de changer, gobant une à une ses couilles tout en le ...
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