Depuis toujours, même avant de comprendre et accepter ma vraie nature, j’ai aimé cuisiner, et faire en sorte que mon intérieur soit très bien tenu. Sans doute mon modèle féminin n’est-il pas le plus moderne qui soit, mais depuis que je me sens vraiment femme, cela prend encore plus d’importance pour moi. Je n’aurais cependant pas dû m’en ouvrir à R***, avec qui je discutais sur un forum. Ou peut-être ai-je bien fait. Car il m’a fait vivre une expérience totalement nouvelle, à la fois humiliante et exaltante.
Cela supposait une semaine entière de disponibilité, que je me suis débrouillée d’obtenir. R*** m’a proposé d’habiter chez lui, dans une maison bourgeoise, en tant que bonne. Préparation des repas, tenue de la propreté (linge compris), service à table. L’idée de m’investir pleinement dans cette mission totalement féminine m’a enthousiasmée, et aussi le défi de devoir être irréprochable, sept jours durant, en tant que femme, sans aucun répit dans l’aspect, la tenue, etc.
C’est donc vêtue d’une courte jupe noire, d’un chemisier blanc, de bas, légèrement maquillée, que je me suis présentée chez lui, le dimanche soir. Il était convenu qu’après un dîner léger, il me montrerait ma chambrette et ma modeste salle d’eau, ce qui fut fait, avec un avertissement : « dormez, car vous aurez beaucoup de travail toute la semaine. Je suis très exigeant. Vous trouverez les instructions pour mon petit-déjeuner, que je prends à 7 heures. Soyez prête pour me le servir. Il y a dans le placard la tenue que vous porterez. Ah ! Nouez vos cheveux en chignon ».
« Oui, Monsieur. Bonne nuit, si vous le permettez ». Il sort sans un mot. Je me couche, en nuisette noire, et m’endort non sans inquiétude et espoir de bien faire, la sonnerie de mon téléphone sur 5 heures.
En ouvrant le placard le lendemain matin, la cage de chasteté, posée en évidence devant le reste, m’a tout de suite donné le ton. Elle a entouré mon minuscule clitoris avant que je ne me douche, que je m’habille, me coiffe comme demandé et me maquille. A 6 heures, je suis dans la cuisine et m’affaire pour tout prévoir, installer, selon les instructions écrites sur un papier. A 7 heures pile, R*** est assis à sa place. Je reste debout derrière lui, sans un mot, attendant ses ordres.
Il boit son thé, mange ses tartines, puis m’appelle. « Approchez, Aline ! » Je pense qu’il veut que je desserve, et me penche pour attraper le plateau sur lequel j’avais tout disposé, mais je sens sa main se faufiler sous ma jupe, et vérifier sans ménagement que je me suis encagée. « Donnez-moi la clé, vous la récupérerez dimanche en partant. Si je vous laisse partir ».
« Mais, Monsieur… »
« Taisez-vous ! Et donnez-moi votre téléphone, vous n’en avez nul besoin. Un réveil se trouve dans le tiroir de votre table de nuit ». Domptée, je m’exécute, sors la clé et le mobile de la poche de mon tablier. Sa main farfouille toujours entre mes cuisses, puis son majeur arrive à ma chatte anale qu’il entreprend d’explorer. De son autre main, il saisit ma nuque et me force à me pencher, jusqu’à ce que ma poitrine s’appuie à la table du petit-déjeuner. Il se lève tout en me maintenant, passe derrière moi et ordonne sèchement « Ecartez les cuisses ! » J’ai à peine le temps d’obéir que je le sens relever ma jupe de soubrette, baisser le string et imposer son membre déjà tendu contre ma corolle. Ses mains agrippent mes reins, et je subis d’un seul coup sa pénétration.
R*** me prend à grands coups de bite, sans aucun égard pour moi, il me fait sentir qu’il est le maître et moi la servante. Je gémis sous ses assauts muets, jusqu’au spasme final où il déverse en moi des jets brûlants qui me font gémir. Il se retire sans un mot et quitte la pièce. Dix minutes plus tard, je l’entends vers l’entrée de la maison, il m’indique de loin que mes instructions sont dans tel tiroir.
J’y cours et je tombe des nues ! La tâche est immense ! Tout aussitôt je me mets à briquer, aspirer, tout nettoyer, sans même prendre le temps de boire un verre d’eau. Je m’attelle à la préparation du déjeuner, à servir à 12h30 précises. Il est presque terminé quand R*** entre dans la cuisine. Je ne l’ai pas entendu arriver plus tôt et ma tête, affolée, se retourne vers l’horloge. Ouf ! Il n’est que 12h10. Je suis soulagée et en même temps je sens la main de R*** sous ma jupe.
Catastrophe ! Obnubilée par mon travail, je ne suis même pas allée à ma salle d’eau. Le sperme de R*** a coulé de ma chatte anale et a maculé de traces mon string, le haut de mes bas, la peau de mes cuisses. Il sent les traînées sous ses doigts. Il m’attrape par l’épaule, me retourne et me gifle sèchement.
« Petite catin ! Vous aimez tant le foutre que vous le gardez sans vous laver ! Vous allez en avoir ! A genoux ! » Terrifiée, je m’agenouille alors qu’il défait sa ceinture. Je m’attends à en être fouettée mais non, il se contente d’ouvrir son pantalon et d’en extraire sa trique qui se dresse en un instant. Mes lèvres s’approchent timidement, sa main saisit mon chignon et accélère le mouvement, son gland force mes lèvres. Je l’absorbe finalement avec plaisir et me mets à le sucer du mieux que je peux, soupesant les bourses pleines de ma main droite. Je me dis que j’ai de la chance. Lorsqu’il tressaille puis rugit en se vidant dans ma bouche, j’avale en hoquetant.
« Bien, à table ! » lâche-t-il en se rajustant. Il est 12h29 à l’horloge. Le repas est pour lui, pas pour moi. J’attends ses ordres debout, à 1m50 derrière lui. A 13 heures pile, il a fini et me demande de lui apporter son café au salon. Je le lui sers, et pendant qu’il le boit me tend une petite boîte.
« Ouvrez ! » A l’intérieur se trouve un bijou dont la destination est évidente. « Cela servira au moins à éviter, désormais, les débordements », commente-t-il, moqueur, « mettez-le de suite ». Je relève ma jupette, me penche en avant pour faciliter l’introduction et place le plug dans mon cul. « Bien ! Vous attendrez qu’on vous l’enlève ou qu’on vous demande de le faire ». Ce « on » m’inquiète un peu, mais je n’ose poser la moindre question. Je sais que R*** revient vers 17 heures, et d’ici là j’ai tout un étage à tenir propre, sans le moindre grain de poussière, après avoir avalé un petit repas en vitesse.
Lorsqu’il revient, un peu plus tard que prévu, tout est propre conformément aux directives, et je me suis lavée. J’ai toujours ma cage, bien sûr, et mon plug bien en place. R*** n’est pas seul. Une voix féminine l’accompagne, je les entends discuter depuis la cuisine. J’accours pour m’enquérir de leurs besoins et je découvre une femme d’environ 55-60 ans, très classe, bourgeoise, qui semble ne même pas me voir. Je suis une bonniche transparente.
« Aline, servez-nous le thé », lance R***. Lorsque cinq minutes plus tard, j’arrive avec la théière au salon, la bourgeoise me toise et se tourne vers R*** : « ...
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