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Sévices militaires 1

Publié par : pascalou70 le 10/01/2022

Sévices militaires
(Récit événements vécus mais adaptés un peu pour mon plaisir personnel)
Alors âgé de plus de 18 ans et ne poursuivant pas d’étude, je fus appelé sous les drapeaux pour effectuer mon service militaire. J’avoue que ce n’était pas de gaieté de cœur mais ma foi à l’époque ça existait et c’était obligatoire, donc pas vraiment le choix. Je devais rejoindre la caserne où j’allais faire mes classes en octobre, la 10 comme on disait à l’époque.
Mais parlons un peu de moi. Je m’appelle Julien (prénom pour l’histoire), j’avais donc un peu plus de 18 ans, j’étais un garçon longiligne, 1m70 pour 56kg, un peu fluet donc, avec un visage immature manquant de virilité. Je faisais encore adolescent malgré ma majorité, et j’en étais légèrement complexé quand je me comparais à des camarades qui devaient se raser régulièrement ce qui était loin d’être mon cas. Encore peu d’aventures avec les filles sinon quelques baisers. Mes satisfactions sexuelles m’étant données régulièrement par ma main. J’étais donc toujours puceau.
Je vous passe toutes les tracasseries de l’incorporation ; le stress du trajet, de l’arrivée en gare, la découverte de la caserne, le passage obligé chez le coiffeur, etc…
Un des moments qui m’a mis le plus mal à l’aise fut le passage à l’infirmerie pour contrôle par le médecin. Tous en rang d’oignons à attendre notre tour. Nous avions dû nous dévêtir, ne gardant que notre slip, et chacun pouvait à loisir reluquer son voisin. Certes peu d’entre nous faisait les malins mais les regards des autres me rappelaient ma fragilité, mon manque de pilosité, et ce que cachait mon slip n’avait rien de comparable avec le paquet de certains autres gars.
Je ne vous cache pas ma gêne lorsque ce fut mon tour de voir le toubib et que ce dernier s’enquit de regarder mes organes génitaux. Il me dit que j’avais un peu de retard dans ma croissance mais que le service militaire saurait rapidement y remédier. Bon pour le service…
A l’issue de cette journée d’accueil nous avons rejoint la chambrée. Une grande pièce en longueur avec une grande table devant la fenêtre au fond, de chaque côté de la pièce des lits superposés séparés par des armoires métalliques. De quoi accueillir 16 personnes.
Issu d’une famille citadine, je n’avais jusqu’à lors vécu autrement que chez mes parents, même les vacances étaient passées en famille chez des grands-parents campagnards. Autant vous dire que je n’avais jamais connu la vie en communauté et la promiscuité, alors se retrouver à 16 garçons dans cette pièce ne permettant quasiment aucune intimité n’était pas pour remonter le moral.
Au début chacun était un peu isolé, le temps de faire connaissance les uns avec les autres. Mais au fil des jours et par nécessité, des contacts se créaient et des petits groupes se forment en fonction des affinités et des comportements. Je me rapprochais donc de quelques-uns comme moi, plus réservés que d’autres et qui n’étaient pas des malabars. Plusieurs groupes de chambrée se sont donc formés et les jours ont commençaient à s’égrener au fil de notre formation militaire. Manœuvre à pied, cours en salle, pratique sur le terrain, séances de sport,….. Les journées bien remplies nous aider à oublier notre sort et les nuits étaient bercées de ronflements après que quelques bruits suspects mais révèle le besoin de certains de se soulager.
Mais avant ce sommeil réparateur, il y avait un moment que je redoutais. C’était celui de la douche. En effet déjà au lycée, après les séances de sport, la douche dans les locaux du stade était collective et je traînais le plus longtemps possible pour y aller, afin de limiter le nombre de personnes qui aurait pu voir ma frêle anatomie et mon petit sexe pratiquement imberbe.
Là les douches se trouvaient dans une grande salle, par rangées, des box composés d’un endroit pour se dévêtir puis d’un bac à douche équipé d’un frêle rideau comme semblant d’intimité. C’est donc résigné que je me rendais le plus discrètement possible aux douches pour faire disparaître les transpirations successives dues aux activités qu’on nous imposées.
Mais à plusieurs occasions, j’ai pu croiser le regard moqueur de certains où les ricanements d’autres lors de mes déshabillages pour prendre ma douche. Il faut dire que les engins que ceux-ci arboraient sans aucune pudeur n’avaient rien de comparable avec le mien. J’entendis une fois un commentaire en ma faveur, dit par Lionel, un costaud de ma chambrée, qui quittait sa douche. En passant devant la mienne, où comme à mon habitude je me déshabillais tourné vers la douche pour ne pas trop montrer mes attributs j’entendis « humm, joli petit cul de tapette ». Ce genre de propos n’avait rien pour m’aider à apprécier le moment de la douche alors qu’elle aurait dû m’être bénéfique après les journées particulièrement physiques que je vivais.
Ce petit commentaire sur mes fesses, qui il est vrai était l’endroit le plus charnu de ma personne, me trotter continuellement dans la tête me mettant assez mal à l’aise lorsque je croisais le regard narquois de celui qui en était à l’origine. De plus, les bruits qui courraient sur ce qui pouvait se passer à l’armée entre mecs et que j’avais entendus avant mon incorporation n’étaient pas pour me rassurer n’ayant d’ailleurs aucun penchant pour les mecs. Mon éducation ne m’autorisant même pas à penser que ce genre de déviance soit concevable.
Puis ce fut le premier week-end de nos classes, celui de nos vaccinations, où nous furent tous confinés dans nos chambres. Repas légers, pas ou peu d’activités compte-tenu des risques de réactions aux injections que nous avions subies.
Nous passions le temps comme nous le pouvions, lecture, révisions des cours, parties de cartes, les seules sorties de chambre autorisées l’étaient pour aller aux sanitaires et aux douches. L’énervement de certains étaient palpable du fait de ce manque d’activité et vraisemblablement qu’une semaine sans baiser devait peser dans les caleçons.
C’est dans l’après-midi, que je décidai d’aller prendre une douche, le taux de fréquentation des lieux étant plutôt tranquille en cette journée d’oisiveté. Je me déshabillai tranquillement dans mon box, en ôtant un à un les éléments de la tenue de sport que nous portions pendant ces journées de consignation sanitaire. Il semblait n’y avoir que peu de monde à la douche malgré le nombre de chambrées que comptait le bâtiment à notre étage, j’étais alors presque nu lorsque que quelqu’un passa devant ma douche, je reconnu furtivement Lionel et je me débarrassai rapidement de mon dernier vêtement pour rejoindre la douche. Je m’apprêtai à ouvrir les robinets afin de régler la température de l’eau avant d’y pénétrer, quand je fus soudainement propulsé au fond de la douche. Le rideau fut tiré rapidement, plaqué contre le fond de la douche, une main fermement appliquée sur ma bouche pour m’éviter la moindre parole, j’entendis me chuchoter à l’oreille « si tu cries, tu vas le regretter et de toute manière il n’y a que nous désormais ». En effet plus aucun bruit de douche et la porte d’accès aux douches venait de se refermer après le départ de la dernière personne.
Je savais que je ne faisais pas le poids à côté de Lionel, plus grand que moi, costaud et musclé, des mains comme des battoirs. Il me fit retourner fermement tout en maintenant sa main sur ma bouche en me faisant signe de la fermer. Puis il enleva sa main et je commençai à vouloir parler, je reçu alors une claque magistrale qui raisonna dans la douche et je me ravisai d’essayer d’appeler.
Il me regarda alors avec un sourire de vainqueur, souriant à la vue de ma pet ...

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