Sévices militaires 2
Que devais-je faire, aller voir le Maréchal des logis-chef qui était responsable de notre encadrement pour lui faire part des sévices que j’avais subis. Ma tête encore parfumée de l’odeur du sperme qui la couvrait n’avait pas le pouvoir de raisonner convenablement et je me mettais sous la douche pour enlever toutes ces salissures en sanglotant doucement.
Cela faisait déjà un moment que j’étais là sous la douche à reprendre mes esprits et essayer de faire disparaître tout le foutre qui me maculait le visage. J’avais l’impression de toujours en garder quelques traces suspectes et une des dernières phrases de Lionel n’arrêtait pas d’occuper mon esprit « on est appelé à se revoir Julien, ou Julie peut-être ». Mais c’est la voix d’un gradé à la porte des douches qui me vit revenir à la réalité des choses « Allez dépêchez-vous les derniers, dans 15 mn on part au mess pour le souper.
Le reste du week-end de consigné se passa calmement sans autre violence à mon encontre. Je croisai parfois Lionel qui n’hésitait pas à mimer une fellation en appuyant sa langue sur sa joue ce qui rendait hilare deux de ses potes. Impossible de ne pas comprendre qu’il avait dû se vanter auprès d’eux du soulagement que sa bite avait pu trouver dans ma bouche.
La semaine passa assez rapidement ponctuée de toutes les activités militaires nécessaires à notre formation de bidasse. Et pour le week-end il était prévu un petit bivouac avec des exercices de combats dans un camp de manœuvre. Nous devions partir le vendredi après-midi pour ne rentrer que le dimanche matin, on nous autorisait un petit repos le dimanche après-midi.
Nous étions par binôme dans des petites tentes et bien que ce soit assez rudimentaire nous étions contents de retrouver notre duvet après une journée de marche ponctuée d’exercices de combat. J’étais avec un garçon sympa assez discret comme moi et j’étais donc en confiance avec lui. Nous devions bien entendu monter la garde du camp durant la nuit chacun notre tour à différents endroits qu’avaient définis nos cadres. Mon camarade de tente était désigné de 22h à 24h et moi à la suite cela me laisserai ensuite quelques bonnes heures à dormir avant le réveil général du camp.
A 21h50 mon camarade quitta donc la tente pour prendre ses consignes puis sa faction de garde et moi je me reposai en attendant la mienne. Soudain quelqu’un fit irruption dans la pénombre de la petite tente, je reconnu Lionel à sa carrure puis à sa voix qui m’intima de me taire. Un bâillon rapidement mis sur ma bouche et il me tira par les pieds hors de la tente. Je constatai qu’il n’était pas seul, un de ses potes était là. Je n’avais pas d’autre choix que d’obéir et ils m’emmenèrent avec eux, un peu à l’écart du camp dans les bosquets de végétation. Il y avait un petit rayon de lune qui permettait de se voir un peu dans la pénombre et je compris aisément où ils voulaient en venir lorsque bien à l’abri de la végétation, je me trouvais devant deux pantalons de combat descendus à mi-cuisse, deux slip baissés et deux verges qui demandaient leur dû. Lionel ajouta « mon pote a très envie de connaître lui aussi ta bouche, alors montre nous tes talents de suceuse Julie ».
Ils m’obligèrent d’abord à baisser mon pantalon et mon slip afin de s’assurer qu’il m’était impossible d’essayer de fuir dans de telles conditions, m’enlevèrent le bâillon en me menaçant d’une bonne raclée au moindre son de ma voix. Ils me firent mettre à genoux et les deux bites s’approchèrent de mes lèvres. Celle du deuxième garçon était plus longue mais moins trapue que la bite de Lionel dont ma bouche avait encore le format en mémoire. Je caressais donc les deux membres avant de les lécher longuement et de finir par les engloutir à tour de rôle. Celui de Lionel sentait plus fort et celui de l’autre garçon était plus ferme. Je m’évertuais à faire de mon mieux pour satisfaire mes bourreaux, léchant les glands, les bourses, j’essayais de les prendre en bouche ensemble mais cela me fut impossible. Au fur et à mesure de mon traitement je sentais les organes devenir plus raides, plus sensibles, et je sentais que moi aussi cela ne me laissait pas indifférent. En effet ma verge commençait à montrer son émoi et ne pendait plus lamentablement en mes jambes. Mon petit engin avait pris de belles proportions et se dressait fièrement en bas de mon ventre pour mon plus grand désarroi. Evidemment un de mes deux agresseurs finit par s’apercevoir de mon état en se marrant ils me firent lever pour juger de mon émoi. Ils caressèrent ma bite, mes couilles et Lionel ajouta « eh bien, petite tapette, on dirait bien que ça te plait de sucer nos bites, allez régales toi, suces bien mon pote ». Et il m’appuya sur la tête pour que le dos courbé ma bouche s’active à nouveau sur la bite de son pote. Pendant ce temps Lionel une main sur sa bite, s’amusait à me caresser les fesses en regardant ma bouche engloutir son pote et en plaisantant sur la douceur de mon cul. « Un petit cul de pucelle, ça, ce sera que du bonheur de l’enculer ». Et un de ses doigts commença à me titiller l’anus. Je frémis d’angoisse à ces mots et je serrai les fesses au contact de ce doigt, ce n’était pas possible ils n’allaient pas aller jusqu’à me faire subir cela. Mais Lionel ne semblait pas avoir cette intention pour le moment car il se rapprocha de ma bouche qui s’activait sur son pote pour me frapper la joue avec son membre. Son pote n’en pouvait plus du traitement que ma bouche lui infligeait et dans un râle qu’il essaya de faire le plus discret possible, il déchargea plusieurs abondantes giclées de foutre dans mon gosier.
Satisfait, il quitta ma bouche qui fut immédiatement occupée par la bite de Lionel qui m’empêcha de pourvoir recraché la semence que j’avais en bouche. Incapable de pouvoir faire autrement, je fus contraint de déglutir le foutre et je continuais à m’activ ...
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