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sévices militaires 3 et fin

Publié par : pascalou70 le 23/01/2022

Sévices militaires 3

J’étais atterré par ce qui était en train de se passer car je n’étais en fait que la victime des deux autres. J’essayai donc de me défendre et de me disculper afin de remettre les choses en ordre, et je racontai tous les événements successifs, la première fellation obligée dans les douches puis l’irruption dans ma tente lors du bivouac et la suite que l’adjudant avait pu voir.

Il m’écouta sans m’interrompre et après un instant de réflexion, il rajouta « victime peut-être, mais comment expliquer alors que ce genre d’agression vous oblige à vous satisfaire à l’issue ? Si ce n’est que vous y avez trouvé un certain plaisir… ».
Il avait vraiment tout vu, et je ne pus que baiser les yeux, ce qui était suffisant pour donner une réponse positive à sa question.

Je me laissais aller à sangloter en le suppliant de ne pas donner de suite à cette affaire, de nous sermonner tous les trois, de nous mettre de corvées, mais de ne pas ébruiter cet événement dont il était somme toute le seul témoin.
Il eut un instant de réflexion après mon dernier argument et il ajouta qu’en effet il pouvait très bien garder cela à son niveau mais qu’il allait devoir malgré tout sanctionner, que c’était son devoir, comme il le ferait pour ses propres enfants s’ils s’étaient rendus responsables d’une grosses faute.
Je ne voyais pas où il voulait exactement en venir mais j’étais rassuré de savoir qu’il pouvait éviter de faire part de cette affaire à ses chefs.

Il se rendit à la porte de son bureau pour en tirer le verrou et se posta devant moi en me regardant fixement puis il ajouta « voilà maintenant nous sommes certains de ne pas être dérangés, tu dois être puni et je vais m’en charger ». Il avait adopté volontairement le tutoiement et ce côté familier augmentait encore son pouvoir sur moi.
La pièce qui constituait se bureau, était faiblement meublée mais une grande table de travail y trônait presque au milieu et il m’ordonna de me pencher vers en y posant mes mains. J’obtempérai commençant à avoir une idée de la punition qu’il comptait m’infliger et qui j’imaginais comme un mauvais moment à passer comme lorsque je me faisais punir par mon père autrefois.
J’étais là penché en appui sur le bureau quand je reçu la première fessée du plat d’une main vigoureuse. Le coup me fit sursauté mais la douleur ni était pas encore et alternativement je me faisais fesser à droite puis à gauche. Je serrai les dents car au bout de quelques coups je commençai à sentir la chaleur irradier mes fesses malgré la protection de mon pantalon de treillis et de mon slip. Mais en plus de l’échauffement de mes fesses, je sentais que malgré moi la situation avait un effet sur mon sexe car je présentai un début d’érection. Le côté pervers de la situation me faisait de l’effet et plus j’y pensai moins je ne pouvais maîtriser cette réaction.

C’est après une bonne dizaine de claques sur mes fesses, que l’adjudant s’arrêta pour dire « une véritable fessée ne se fait pas dans de telles conditions … » et joignant le geste à la parole, il se saisit de la ceinture de mon pantalon de treillis pour la défaire et promptement le laisser descendre sur mes pieds. J’étais rouge de honte de me trouver ainsi, humilié devant ce gradé qui visiblement devait prendre un certain plaisir à me regarder dans cette position. Il releva ma veste de treillis qui cachait en partie mon derrière encore protégeait par le frêle rempart que représentait mon slip.
Ce que je craignais arriva, je sentis les mains de l’adjudant saisir mon slip de part de d’autre et commencer à le descendre malgré mon refus « Non, s’il vous plait, pas slip mon adjudant » et une de mes mains qui tentait de s’y opposer. Mais fermement il me remit la main sur la table et me somma de garder la position, puis il fit descendre mon slip. Malheureusement il rencontra un obstacle à la descente de ce dernier rempart, en effet la situation n’avait fait que raidir encore plus mon sexe qui perturbait la descende du bout de tissu. Il comprit très vite ce qui se passait et écarta un peu le slip pour laisser passer ma bite qui libérée se dressa fièrement. Il ajouta alors « j’avais bien raison mon garçon quand je trouvais curieux que tu te finisses après avoir sucé tes camarades. Tout cela a donc l’air de bien t’exister, tu te révèles, tu es une sacré petite tapette ».

Quand le slip eu rejoint le pantalon sur mes mollets, il y eu un grand moment de silence durant lequel j’étais certain que l’adjudant profitait du spectacle de mes petites fesses légèrement rougies et offertes. Les mains sur la table j’attendais que les prochaines claquent s’abattent sur mes fesses nues et j’avoue que quelques larmes coulaient au coin de mes yeux tant la tension était palpable.
Mais c’est soudainement sa main que je sentis me caresser les fesses, qui fut rejoint rapidement par la deuxième chacune d’elle jouant avant une fesse, pétrissant, caressant. J’entendais distinctement sa respiration qui semblait s’être accélérer pendant que ses mains écartaient mes deux lobes pour exposer mon petit trou. Je ne pouvais réagir, j’étais tétaniser par une situation qui était en train de rapidement déraper. Il déclara « tu as un cul particulièrement bandant mon garçon, ce serait dommage de le fesser davantage, il y a mieux à faire pour le punir… ». Je frémis après ces mots car il était facile de comprendre à demi-mot où il voulait en venir.

Il présenta alors un doigt à mes lèvres, et força ma bouche pour que je le lèche et le couvre de salive. Puis il le mit sur mon petit trou et l’enfonça dans mon fondement. Je ne pus retenir un gémissement après cette intrusion. Il fit aller et venir son doigt quelque instants puis le sorti et me le représenta en bouche accompagné d’un deuxième. Une fois bien mouillés, il les présenta sur ma rondelle qui n’eut de choix que de les engloutir. Il les bougeait dans mon fondement, les écartait, les faisait coulisser, me faisant pousser des petits cris entre douleur et plaisir.
Je savais désormais l’orientation qu’allait prendre bientôt ma punition, et c’est sans surprise que je compris, au bruit d’une ceinture que l’on défait et à celui d’un vêtement qui tombe, que l’adjudant était en train de libérer sa bite. Je me permis de dire « Non mon adjudant, je ne l’ai jamais fait, pas ça, pas ça ». Ce faire prendre comme un homosexuel était de par mon éducation une des pires choses qui puisse advenir à un homme, et je le suppliai de pas me faire subir cela, que je pourrais le sucer s’il voulait mais qu’il ne m’humilie pas à ce point. La seule réponse qui me fut faite fut « il y a un début à tout mon garçon et un moment de honte est vite passé »
C’est alors que je sentis ses mains m’écarter fe ...

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