En déplacement pro à Grenoble, un mardi pluvieux d’avril, je me connecte sur une appli gay pour chasser du plan bien hard et pimenter ma soirée. Je veux du sale, du brut, à l’hôtel près de la gare ou chez un mec. Je tombe sur « Nico », un mec au physique de dieu grec et un charisme qui me fait bander direct. On tchatte, le courant passe à fond, mais nos agendas sont un enfer. Pas moyen de caler un créneau.
Arrivé à l’hôtel, je décide d’aller éclater mes pecs à Basic Fit Grand’Place. Une séance muscu pour évacuer, en espérant croiser un mec qui me retournera plus tard. Sinon, cap sur le sauna Le D3 pour du concret. Sur l’appli, un certain Alex, 32 ans, insiste pour passer à l’hôtel. Pas hyper chaud au début, je finis par craquer. « OK, mais tu te douches en arrivant », je lui balance. Il débarque, beau mec, mais c’est du fast-food : douche, il s’allonge, veut que je le suce, puis me baise. Suce, sodo, 15 minutes, terminé. J’ai l’impression d’avoir commandé un kebab sans sauce. Je reste sur ma faim, direction Le D3. Le sauna est désert, cinq ou six mecs max. Deux crocodiles dans le jacuzzi, un jeune qui tire une tronche de déterré, et deux minets de 22 ans qui se bécotent au bar. Je tente le sauna sec pour me poser. Le déprimé me rejoint, marmonne que c’est mort ici, puis se casse. Quelques minutes plus tard, un mec entre. La quarantaine, baraqué, tatouages qui hurlent « danger », un regard de prédateur. Mon pouls s’emballe, mais il sort vite. Putain, soirée maudite.
Je fais un tour, zieute les minets – mignons, mais pas mon délire. À l’étage, je retrouve mon bad boy, assis sur une banquette, hypnotisé par un porno gay hardcore. Deux mecs se défoncent à l’écran, et lui, il a l’air d’être à deux doigts de se branler. Nos regards se croisent, je passe, trop intimidé. Je redescends, direction le hammam pour me détendre post-muscu. Trois minutes après, la porte s’ouvre. C’est lui, à poil, sans serviette. Un corps de ouf, des abdos taillés, une queue à moitié dure qui crie « viens me goûter ». Il s’assoit, et on commence à parler. Julien, graphiste, bisexuel, marié, mais en chasse pour du plaisir brut loin de sa vie rangée.
On discute un quart d’heure, l’ambiance est tendue, électrique, mais pas un contact. Il sort, je le mate, puis je file dans le jacuzzi, seul. Le patron passe, me confirme que c’est mort, trois mecs à l’étage max. Je remonte, décidé à tenter ma chance. Julien est là, toujours scotché à son porno. Je m’assois à côté, mon cœur cogne. Marre d’attendre, je pose ma main sur son genou, remonte, écarte sa serviette. Sa queue, épaisse, raide, est une invitation. Je la caresse, sentant chaque pulsation. Il écarte les jambes, me donne le go.
Son souffle s’accélère, je me penche, prends son gland en bouche, le lèche avec une lenteur calculée, puis l’engloutis. Sa main sur ma nuque m’encourage. À genoux, je vire sa serviette, suce comme un affamé, alternant gorge profonde et léchage de couilles. Puis je soulève ses jambes, ma langue s’attaque à son cul, le faisant frémir. Il grogne : « Bordel, c’est trop. Viens, on chope une cabine. » On s’enferme dans une cabine, verrouillée, et là, c’est le chaos. On s’allonge, corps contre corps, s’embrassant comme des bêtes. Nos langues se battent, ses mains pétrissent mes fesses, les siennes sont à moi. On bascule en 69, sa queue dans ma gor ...
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