Sur cette aire d’autoroute, la buée recouvre les vitre d’une voiture garée entre les arbres et sous la taule d’un parking, loin des regards. Ma chérie est affairée à pomper un inconnu que j’ai choisi pour lui faire vivre une nuit totalement candauliste. Il sera le premier d’une jolie liste d’amants qui n’en veulent qu’à son plaisir, sa jouissance et… ses trous.
A peine est elle remise de ses émotions avec ce bel auto-stoppeur amant qui aura eu pour mission de la préparer sans pouvoir lui faire l’amour, qu’elle entend des bruits de pneus qui avancent lentement à hauteur de sa voiture. Les yeux bandés, elle attend, toute émoustillée par ce qu’elle vient de vivre.

D’un coup le téléphone du beau métis se remet à sonner. Il prend dans son sac une paire de menottes et lie tes poignets, ma petite offerte. Un van restera moteur allumé, stationné près de vous. Le métis ouvrira la porte de ta voiture, l’air frais saisira sans doute tes chevilles. Tu seras menée, yeux bandés, par quatre bras dans l’obscurité vers l’autre véhicule. Tu reconnaîtras le bruit d’une porte coulissante s’ouvrir et distinguera des voix à l’intérieur...

Tu seras soulevée d’un coup et portée à l’intérieur. Le van sera luxueux, spacieux, avec des fauteuil en cuir et au sol une moquette épaisse étouffera le bruit sous vos pieds. Mais tu sentiras leur présence autour de toi, les yeux toujours bandés.
Le métis, dont tu reconnais la voix, te guide. Démenottée, tu recevras l’ordre de te mettre à quatre pattes et très vite, le véhicule redémarrera. Un peu bousculée, mais rattrapée par leurs bras, tu sentiras très vite comme ils sont caressant et entreprenant. Partout ton corps sera exploré et tu sentiras ta jolie jupe se froisser, ton chemisier se déboutonner sous leurs mains baladeuses. Elles arriveront de partout ces caresses. Deux, puis quatre puis tu ne sauras plus combien de mains te traversent les vêtements.

Ton premier amant, le métis relaiera mes ordres et indications. Et cette fois, tu vas être bien baisée ma chérie. Les voix des autres hommes résonnent en mots crus et excitant, ils ont pu voir comment tu as pompé le métis dans ta voiture… Ils sont terriblement pressés de te faire jouir et de me rendre bien cocu. Leurs façon de t’aborder sans empressement, entre douceur et fougue cérébrale, te rend salope. Ils te demandent de te cambrer à genoux. Et te font languir, pour déclencher ton envie d’être prise.

Un premier baiser te saisit puis un second, une autre bouche encore alors que tes tétons subissent des caresses de quelques doigts. D’un coup tu es redressée à genou. On t’effleure, on te saisi les cheveux, tu sens leur salive couler sur ta poitrine chemiser grand ouvert. Des lèvres sur ton cou, une langue qui fait frissonner tes fesses en même temps… Puis une autre main qui les gifle légèrement. Et là, le fourgon ralentit, puis s’arrête. Tu vas sans doute subir une rafale de caresses et de petites fessées, légères, sur tes tétons et encore tes fesses. Puis à peine le temps de les accueillir, que tu seras remise à quatre pattes, mains au sol qu’une première queue dont tu ignores tout viendra frotter le bandeau sur tes paupières. Un second cognera contre ton visage tout entier, tes joues, ton cou aussi, avant qu’une autre ne force légèrement tes lèvres buccales sans entrer. Je te verrai toute excitée par toutes ces bites dressées pour toi ma chérie.

"Cambre toi encore petite chienne, ton mec te regarde". Une voix rauque, terriblement virile finira de t’incendier les sens. Et tu t’exécuteras…
"Veux tu te faire baiser par mon équipe?" Continue la même voix.
Ils vont enchaîner et te faire vriller sous mes ordres, te traiter de petite salope à mesure qu’on te retire ta culotte et que de longs doigts parcourent maintenant la raie de ton cul et la chair de tes lèvres. Tu sentiras la chaleur de leurs corps en rûte s’approcher. Ils colleront contre ton oreille le téléphone pour que je t’annonce que tu vas devoir t’occuper d’une belle équipe de basket... Cinq mecs, de toutes tailles et différents gabarits. Ils auront le sulfureux fantasme de faire de toi leur chose, avant de partir en match ce week-end… Je sais que tu mouilleras totalement à ce moment là..
Fin de l’appel.

La voix masculine reprend :
"Monsieur regardez-la se faire prendre le minou, on est très très excités par votre surprise pour elle". Cette dernière phrase est coupée par une queue qui force le passage de ta mâchoire tandis que des longues mains te saisissent vigoureusement par les hanches. D’autres mains arrachent ton chemisier, puis ton soutien gorge ne résiste pas longtemps. Tu te mets alors à sucer avec plaisir et soumission cette première queue tandis que l’homme qui te tient par les hanches avance son sexe et frôle tes lèvres vaginales… Il salive sur la raie de tes fesses et t’enfonce un premier doigt. Tu gémis tant la taille du doigt n’est pas habituelle. Tu as déjà l’impression que c‘est une petite bite chaude qui s’empare de ta chatte, déjà toute trempée de la séance de préliminaires avec le métis. Ensuite, il fouille avec son doigt, te faisant te cambrer pour mieux sentir la petite pénétration qu’il t’inflige. Il ajoute un second doigts pendant qu’on le rejoint pour caresser tes seins et glisser dans tes paumes une bite… Tu perds les sens, tant tu les sens désireux de réaliser leur fantasme complice de baiser une belle chienne en équipe.

« Tu veux une belle queue black jolie dame"? »
Tu n’as pas le temps de penser à cette phrase que le mec qui t’enfonçait ses doigts vient de pénétrer une longue bite en forçant le passage de ton vagin. La sensation est terriblement jouissi ...

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