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Tel est pris, qui croyait prendre (2/2)

Publié par : hungrycub59 le 21/08/2021

Récit de mes aventures en sexshop de cette semaine : presque 2 mois sans sexe compensés en quelques après-midi. (SUITE).

Imaginez le tableau, je sors de la backroom avec le cul plein de gel, dilaté et complètement à poil en tenant par la main un beau jeune homme que je découvre un peu mieux grâce au faible éclairage du labyrinthe.
Il est superbe. Environ 25 ans, d’un visage allongé, juvénile mais avec de beaux yeux bleus très coquins. Ses cheveux sont fins relevés sur le devant avec un peu de gel. C’est lui qui finit par choisir la cabine et à entrer le premier. Il en a choisi une assez confortable avec un petit banc et plusieurs petits glory holes.

Je pose donc mon sac, récupère un mouchoir pour discrètement m’essuyer les fesses pleines de gel, pose mon poppers sur une tablette et me rue sur lui pour le mettre à poil. Pas farouche, il se laisse faire. Je l’embrasse avec passion le temps de lui faire glisser sur les chevilles son jogging et son slip blanc. Je relâche ses lèvres et lui enlève son tshirt. De son côté, il ne cesse de poser ses mains là où il peut et de me masturber.
Il a un corps très mince, presque maigre mais une toison d’un brun assez surprenant pour un blondinet de 25 ans. Il me plait trop. Je suis en pleine érection et très excité. Je le fais s’assoir sur le banc avant de lui enlever ses baskets, seul moyen d’enlever son jogging que j’avais descendu sur ses chevilles.

Je suis à genou devant lui, il est assis à poil ; pris excitation, j’entreprends de lui enlever la chaussette de son pied droit. Son pied est magnifique, très fin, pas trop petit, les ongles courts, une très légère odeur très excitante. Je le regarde, il semble surpris et sa petite queue circoncise devenu rouge vif laisse apparaitre une petite perle de mouille. Ses beaux yeux sont grand ouvert à me regarder passer son pied sur mon visage avant de lécher un a un ses orteils.
Il gémit d’excitation et se masturbe en fermant les yeux. D’autres paires d’yeux nous regardent à travers les glory holes.

Puisqu’il apprécie, j’enlève donc sa deuxième chaussette, m’excite à fond avec son deuxième pied puis me relève, tire un peu ses jambes vers le haut et viens plaquer ses pieds de chaque côté de ma queue. A l’instant où ses voutes plantaires touchent simultanément ma bite, je l’entends expulser un soupir bref et bruyant d’excitation. Il lâche sa queue et pose les mains de chaque côté du banc et ferme les yeux par intermittence.
Je vois qu’une main, qu’un bras passe à travers le glory hole pour venir branler mon petit blond alors que moi je me branle avec ses pieds si fins et délicats.
Je les tiens d’une main et attrape mon poppers. Je le donne à mon petit blond qui l’ouvre le sniffe avant de me tendre le flacon. Je me penche pour sniffer. J’ai chaud, l’excitation est à son comble.
Après quelques minutes, n’en pouvant plus, je relâche ses jambes, l’attrape, le remets debout et lui demande :
- « tu me donnes ton cul, mon beau ? »
- « Oui »
- « j’y vais avec ou sans capote ? Je suis sous PREP »
- « moi aussi » me répond-t-il. Je prends donc ça pour un oui.

Je le plaque contre moi, face à moi, lui mordille le cou, attrape ses fesses dans chacune de mes mains et vient titiller sa rondelle du bout du doigt. Je récupère alors une dosette de lubrifiant et vient le dilater un peu avant le grand plongeon. Il gémit à chacun de mes gestes, il soupir de plaisir à chaque mouvement de mes doigts dans son petit cul qui se dilate progressivement à coup de sniff de poppers.

Une fois bien dilaté, je lui attrape les bras et le retourne. Son fessier à la raie poilue est cambré, il est bien lubrifié et sa rondelle qui était toute serrée il y a encore 10 minutes de cela est grande ouverte.
Ma queue mouille encore, si bien que je n’ai pas besoin de me la lubrifier. Je viens donc plier les genoux et poser mon gland en plein centre, juste après avoir relevé quelques poils du bout du doigt pour dégager le passage. J’écarte ses fesses des deux mains et commence très doucement. Je sens son anus se dilater autour de mon gland, ce qui me procure un plaisir et une excitation incroyable. Mon blondinet gémit de plaisir.

Je stoppe quelques petites secondes pour vérifier qu’il n’ait pas mal mais apparemment non puisque c’est lui qui vient appuyer ses fesses sur mes cuisses.
J’enfonce encore un peu plus ma bite et vient plaquer mes mains sur son ventre et son torse. Il pousse de petits cris de plaisir assez aigus. Mon gland est passé et un morceau de ma queue également.
Je me retire alors complètement, prend du lubrifiant me masturbe légèrement pour la faire gonfler encore un peu plus et vient plonger dans son rectum. J’enfonce ma queue progressivement, mais sans à-coup. Il est un peu serré mais ca passe. Il gémit et couine de plaisir en s’appuyant sur le mur face à nous. Il est debout, droit, et moi derrière à commencer à le limer, tandis qu’une main étrangère, passée à travers le glory hole le masturbe délicatement.

Mes mouvements sont amples : du bout du gland jusqu’à la base de ma bite. Je ressens son rectum tout autour de ma queue. Il est chaud, doux, chaque contraction de sa part, chaque mouvement est un délice. J’ai envie de le limer avec vigueur et m’assure avant qu’il puisse encaisser :
- « Tu n’as pas mal ? »
- « non, j’adore »
- « je peux y aller à fond ? »
- « euh… oui, vas-y »

Avant d’y aller à fond je lui file le poppers, il en devient brulant de désir et gémit de plus en plus fortement à chaque mouvement de bite de ma part. J’en sniffe également. Je suis dans un autre monde. J’attrape son bassin et vient lui donner de longs coups de queue bien au fond, en appuyant son corps sur le mien. Et j’accélère. Je le baise sous l’œil de plusieurs gars qui succèdent les uns aux autres dans la cabine d’à côté. Il gémit et couine très fort et de manière très aigue.
J’essaie de le pilonner autant que je peux. Il est trempé de sueur (moi sans plus étrangement). Je le plaque contre moi, le caresse tout en continuant à le baiser.
Il retourne sa tête vers moi, je stoppe les mouvements quelques secondes pour l’embrasser. J’ai le corps de ce jeune homme contre moi, la queue dans son anus tout lubrifié et douiller, les bras autour des siens et nos langues croisen ...

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