Bonjour,
Je m’appelle Eric et, même si j’ai aujourd’hui la cinquantaine, je pense que je ne suis pas trop mal conservé pour mon âge. Je mesure 1m82 pour 76kg, j’ai les cheveux poivre et sel coupés courts et les yeux bleus. Sans me vanter, je pense n’avoir pas été trop mal doté par la nature avec un membre de près de 20 cm. Un peu de sport et pas trop d’excès me maintiennent en forme. Il y a quelques jours, avec ma sœur j’ai dû faire le ménage dans l’ancienne maison familiale afin de la vendre et, chacun s’occupant de ses affaires et de ce qu’il voulait conserver, je suis tombé sur une série de vieilles photos, prises à la fin des années 80. J’allais avoir 23 ans sur l’une d’entre elles, prise dans le sud de la France et je venais de passer des vacances inoubliables. Quand je la regarde, je me trouve plutôt beau gosse : grand, mince, finement musclé, les cheveux bruns bouclés un peu long et la peau bronzée d’un été passé au bord de mer. Autour de moi on voit le couple pour lequel je travaillais cet été là, leur fils de 17 ans et une des deux jeunes femmes employées qui travaillait aussi pour eux. Je voudrais vous faire profiter de l’expérience plutôt chaude que j’ai vécue cet été là.
Pourtant, tout avait plutôt mal commencé. Je faisais des études et si jusqu’à la licence tout allait bien, la suite était devenue plus problématique. L’année précédente ne s’était pas bien passée et j’avais décidé de faire une autre formation pour passer un concours. Malgré le travail fourni, il s’est avéré que cette année encore était ratée. Mes parents étaient bien sûr déçus et mes études commençaient à leur coûter cher. Ma sœur, étant en terminale, devait elle aussi commencer des études supérieures. La situation était donc tendue au début du mois de juin et il fallait que je négocie une nouvelle année d’études. Il fut alors convenu que je devais les aider et en payer une bonne partie. Pour cela, pas d’autre solution que de trouver un travail pour l’été. Je l’avais déjà fait, mais pour mes loisirs, mes achats de fringues et mon argent de poche. Là, c’était du sérieux. Il me fallait au moins dans les 10000 francs à l’époque. Comme souvent, je téléphonai à tonton Paul pour qu’il m’aide à trouver une solution. En fait, Paul n’était pas vraiment mon oncle, mais le jeune cousin de ma mère et je trouvais surtout que c’était le mec le plus cool du monde. Il avait une quinzaine d’années de plus que moi et surtout il était canon. C’était un bon vivant qui voyait toujours le vie du bon côté. Il aimait la bonne chère et s’amuser. Mes parents l’appréciaient beaucoup même si ma mère le trouvait trop insouciant et il venait souvent à la maison. En société, c’était un charmeur, il plaisait beaucoup et, ce que mes parents ignoraient, était porté sur la chair qu’elle soit féminine ou masculine. Bref, tonton aimait tous les plaisirs de la vie. D’ailleurs, il m’avait fait goûter à certains de ces plaisirs quelques années plus tôt. Non seulement je m’étais régalé de sa splendide queue mais il m’avait aussi fait profiter de ses liaisons féminines et c’était l’un d’entre elles qui m’avait dépucelé (du moins avec les filles) mais tout ça c’est une autre histoire. Ma chère maman ne comprenait d’ailleurs pas pourquoi sa compagne de l’époque l’avait quitté. Moi, je connaissais l’explication mais je me gardais bien de le dire pour continuer à voir tonton Paul. Elle l’avait surpris au lit avec une autre femme et son amant. Mes parents auraient été effarés de savoir que tonton Paul était un drôle de coquin à voile et à vapeur. Bref, tonton Paul aurait peut-être une idée ou une solution. Je l’appelai donc et lui expliquai le problème.
« Eric, mon chou, ça tombe bien. Un couple d’amis qui tient une plage privée et un petit resto cherche un employé pour la saison. Celui qu’ils avaient engagé a eu un accident de moto et ils sont bien ennuyés. Je les appelle et je te dis si le poste est encore libre. En plus, tu peux t’installer chez moi pour l’été, ce sera sympa ». Vous pensez bien que j’étais emballé par le plan de tonton Paul. Tout un été chez lui, certes à bosser mais aussi à m’envoyer en l’air avec lui et peut-être une ou deux de ses copines, c’était le pied. En plus je soupçonnais que les amis en question n’étaient pas de simples connaissances, mais des plans cul de tonton Paul. Quelques minutes plus tard, il rappelait pour me dire que j’étais pris à l’essai. J’annonçai la nouvelle à mes parents qui étaient ravis de l’opportunité. Je partis le lendemain pour le sud de le France. Tonton vint me chercher à la gare. Putain qu’il était bandant, bronzé en short et en tee-shirt avec ses cuisses musclées et poilues. Aussi jovial que d’habitude, il me prit dans ses bras et m’embrassa. Je bandais instantanément, collé à lui. « Eric, mon ange, tu es content de me voir on dirait ».
« Passer l’été avec toi, tu penses bien que ça m’excite un max».
« Moi aussi, mais d’abord les choses sérieuses, il faut penser à ton job, je vais te présenter tes futurs patrons. On passe faire les présentations pour voir si tu assures et après on va à la maison. Tu vas voir, c’est pas loin de chez moi à 3 ou 4 kilomètres et tu pourras y aller en vélo, je te prêterai le mien ». Je me demandais ce qu’il entendait par « tu assures » mais je ne posai pas de question.
Quelques minutes plus tard nous étions à la plage et je fis connaissance avec les patrons. Ils devaient être dans le début de la quarantaine. Tonton leur fit la bise et me les présenta comme étant Mimi pour l’homme qui s’appelait en fait Michel et Martine sa femme. Michel était un peu enrobé mais encore pas mal comme mec et Martine était blonde avec une jolie poitrine assez développée qu’elle cachait à peine avec tunique blanche assez courte. Ils m’examinèrent un moment, c’était même un peu gênant, j’avais l’impression qu’ils me déshabillaient du regard. Après quelques questions, le verdict tomba : « bon je pense que tu feras l’affaire. Je vais te montrer l’établissement et t’expliquer ce que tu devras faire Eric » me dit Michel. Je devais arriver tôt le matin pour préparer les chaises longues et la plage, installer les clients, encaisser et leur fournir tout ce dont ils avaient besoin. Après une pause dans la journée, je devais retourner le soir pour ranger le matériel de plage.
Michel me demanda de le suivre pour me montrer l’établissement et en particulier la réserve où étaient rangés les transats, matelas et parasols. Il me fit entrer dans le local qui était un peu sombre, il y avait seulement une ampoule. Il y avait là quelques transats et parasols en réserve et une série de matelas recouverts d’une bâche. « Bon, pour que les clients te reconnaissent, il te faut une tenue, chez nous c’est bermudas et polo avec un badge à ton nom. Une taille M devrait t’aller, déshabille-toi, tu vas essayer ceux-là ». Il posa les deux vêtements sur la bâche. Tonton Paul m’avait dit que je devais assurer et je ne voulais pas le décevoir. Je déboutonnai ma chemisette, l’enlevai sous le regard insistant de Michel qui souriait. Je fis de même avec mon pantalon et me retrouvai en slip (à l’époque je portais des mini-slips Hom très légers). Avant même que je n’ai le temps de prendre le polo et le bermudas, Michel me lança : « Eh bien, tu es plutôt bien gaulé mon gars et c’est un beau paquet que tu as là ! ». J’étais un peu surpris, mais il ne me laissa pas le temps de broncher, avança vers moi et me mit sa main justement sur la bosse du slip pour la caresser. C’est le genre de choses auxquelles on peut difficilement résister, il ne m’en fallait pas plus pour commencer à bander. D’ailleurs Michel continuait à me caresser en me susurrant à l’oreille que si j’étais en manque, il allait y remédier et que j’avais sûrement envie que mon nouveau patron me soulage de cette tension. Il baissa mon slip et tomba à genoux, le visage à la hauteur de ma bite devenue raide. Il continuait à la caresser d’une main et me palpait les fesses de l’autre. Tout d’un coup, il avança la langue pour donner quelques coups sur ma queue. « mmmm Paul avait raison, elle est bonne ta queue ».
Cette fois, plus de doute, Tonton n’avait pas seulement vanté mon côté sérieux et bosseur. Michel s’activait sur ma queue et me prodiguait une fellation magistrale, tour à tour en suçant, léchant, aspirant, jouant des dents et allant jusqu’à la prendre presque entièrement dans une gorge profonde. Ce n’était sûrement pas la première fois qu’il faisait ça et je l’imaginais bien faire pareil avec tonton Paul. Je sentais que ça montait, mais il fallait que je résiste encore. Michel me poussa sur les matelas bâchés et continua tout en se caressant l’entre-jambe. Il déboutonna son pantalon qu’il fit glisser pour mieux s’occuper de sa propre queue. Avant que je n’explose, il se releva et me dit : « bon, on va voir maintenant si tu sais bien t’occuper d’un bon cul d’homme ! ». Sur quoi, il se releva, enleva complètement son pantalon et se retourna pour me présenter son cul. Il était magnifique, bien rond, un peu poilu et c’est là que je vis qu’il portait un slip fait dans une sorte de filet (ou de résille à mailles très larges) que je trouvai fort excitant. Je commençai par caresse ces deux globes musclés et fermes, puis baissai le slip pour y approcher mon visage. Heureusement que Tonton Paul m’ ...
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