Si vous avez lu mes histoires précédentes, vous avez déjà fait connaissance avec Louise. Notamment lors de notre plage nocturne, qui marquait la première de nos bêtises. Pour rappel Louise et moi-même nous sommes connus célibataires et notre connexion sexuelle était totale. Mais entre temps la situation a changé et nous sommes dorénavant tous les deux en couple, ce qui rend nos entrevues totalement illégitimes.

Cette histoire remonte à quelques années, et coïncide avec la période où Louise fête ses 24 ans. Nous ne conversons pas souvent, Louise est venue me parler pour obtenir des infos. Elle n'est pas originaire du coin et me demande des conseils. Elle cherche l'endroit idéal pour prendre un Airbnb et fêter son anniversaire avec ses amis qui feront le déplacement pour l'occasion. Mais comme toujours avec Louise, les discussions dérapent. Comme toujours, nous en venons à parler de nos ebats passés. Et comme toujours l'excitation monte.

Elle me propose de passer la voir à son appartement le vendredi qui suit pour trinquer à son anniversaire. Son copain ne sera pas là et elle sera seule. Bien qu'elle n'affiche pas directement ses intentions, son objectif se précise. J'accepte l'invitation et lui demande ce que je peux ramener. Sa réponse se veut sans détour : une bouteille de vin et pour le reste je serai le cadeau.

Le vendredi arrive, après quelques encombres pour trouver son immeuble, puis son appartement j'arrive enfin devant la bonne porte. Je frappe et attends. J'entends des pas, à vrai dire des talons, se rapprocher de la porte puis le verrou s'anime. La porte s'ouvre et je comprends pourquoi elle n'est pas sortie pour m'aider à trouver plus facilement.

Dans l'entrebaillement, Louise est en talon haut noirs, body rouge décolté, nuisette noire transparente et ses cheveux lissés sont tirés pour en faire une queue de cheval. Louise est une férue de lingerie, et encore une fois elle a su taper juste. Elle connaît mes goûts, c'est un sans faute pourtant ce n'est pas moi que nous devons fêter aujourd'hui.

Elle me demande d'un air amusé si je veux entrer, j'avoue avoir bloqué un petit instant. Elle était ravissante et terriblement stimulante. Je finis par me réveiller et lui fais la bise. Je prends l'une de ses mains et l'invite à tourner sur elle même pour bien observer son corps apprêté. Elle est parfumée et son odeur contribue à accélérer toutes les images qui me reviennent de nos moments passés.

Je lui confis la bouteille de vin blanc et l'observe partir la mettre au frigo, tout en refermant la porte d'entrée. Elle sait pertinemment que je la matte et ne perds pas une miette de son cul qui se dandine d'un sens à l'autre. Elle se retourne et retrouve son air amusé : "je ne te dérange pas petit cochon ?". Nous rigolons et nous installons sur le canapé. On parle, et elle se joue de moi. Elle sait que je suis en train de bouillir intérieurement et je dois me concentrer pour retenir mon regard face à cette charmante jeune femme en tenue très sexy.

Nous buvons un verre, puis deux. La torture a dû durer 30 minutes. Au cours du deuxième verre Louise a effectué quelques allers-retours entre son salon et la chambre mitoyenne. Nous continuons nos échanges puis au cours d'un énième aller et venu, elle coupe court à la discussion et dit :"on va parler encore longtemps ?" tout en s'appuyant d'une manière provocante dans le cadre de la porte.

Je me dis qu'elle ne paye rien pour attendre, voilà une demi-heure que je retiens mes pulsions face à ce corps tant désiré. Je me lève pour la rejoindre et comprends pourquoi elle s'agitait ainsi. Elle avait disposé tous ses jouets sur le lit. Des accessoires et des sextoys destinés aux femmes et aux hommes étaient éparpillés.

Elle m'attrape par le cou et pose ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons langoureusement puis l'intensité monte d'un cran. Nos langues se lient et se délient. Chacun mordille les lèvres de l'autre et nous pouvons sentir nos souffles s'accélèrer.

Louise me caresse à travers mon pantalon, comme pour s'assurer que je sois bien dur. C'est totalement le cas. Elle s'assoit alors sur le lit et retire ma ceinture puis mon pantalon. Elle caresse mon sexe, le mordille même. Je souhaite alors la basculer en arrière pour reprendre où nous en étions mais cela ne faisait pas partie de ses plans. "Non, toi tu vas chercher une chaise dans le salon" avec un regard totalement enflammé. Je m'exécute.

À mon retour, je la retrouve sur le lit adossée au mur et le body desagraffé laissant son sexe à l'air. Dans sa main droite son rabbit. "Mets toi en caleçon et assieds-toi". Elle me regarde droit dans les yeux et se met à sucer son gode tout en se caressant de la main gauche.

Elle n'avait pas menti, je suis son cadeau. Et malgré la situation confortable, elle est jusqu'ici ma torture.

Elle continu à sucer et à se doigter, toujours en me fixant avec les jambes repliées pour mieux me laisser voir ce qu'il se passe. Je me touche le sexe par moment, mon caleçon est tendu. D'ailleurs ma queue fini par en sortir.

Je ne tiens plus sur ma chaise et fini par la rejoindre sur le lit. Peut-être trop tôt, me dis-je, parce qu'elle n'a pas encore joué avec son gode. Mais visiblement je n'étais pas le seul tendu puisque mon arrivée fut commentée d'un simple "Enfin".

Je me dirige droit vers sa chatte. Elle est littéralement trempée. Ça l'a excitée de jouer comme ça. Sans attente je la leche. Je retrouve son bon goût et enfonce mon visage entre ses cuisses. Elle est déchaînée et ondule ...

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