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Une histoire de trois petits cochons

Publié par : boylens le 14/10/2024

Mes visites dans les lieux de rencontres entre hommes la semaine n'étaient pas suffisantes pour combler mon insatiabilité sexuelle. Je rencontrais aussi des mecs sur les réseaux de drague spécialisés le week-end. Le soir, je sortais prétextant à mes parents que j'étais avec des amis. Mais je n'avais pas d'amis et bienheureusement mes parents ne se doutaient pas un seul instant ce que je pouvais faire une fois la nuit tombée.
C'est au cours de cette période que j'eus mon premier sexfriend. Ici nous l’appellerons Patrick. Chaque vendredi soir, je me rendais chez lui. Il habitait dans une tour HLM décrépite et je détestais m'aventurer dans ce coin malfamé de la ville bien loin du quartier résidentiel pour bobo de mes parents. Mais comme Patrick n'avait pas son permis et encore moins de voiture, je n'avais pas le choix. Des types louches traînaient toujours en bas de l'immeuble jusqu'à pas d'heure. J'avais l'impression d'être épié, dévisagé, moi l'intrus des beaux quartiers qui se pavanais dans sa jolie citadine flambant neuve payée par papa maman. Pouvaient-ils deviner ce que je venais faire ici? Moi, la petite pédale friquée passerait sans doute un mauvais quart d'heure.
Évitant les regards, je pressais sur le bouton de l'interphone priant pour que Patrick se dépêche de m'ouvrir. Une fois à l'intérieur de l'immeuble, je prenais les escaliers de peur de rester coincé dans l'ascenseur qui ne devait pas être révisé très souvent. Tags sur les murs, détritus jonchant les sols crasseux, effluves de moisissures et d'urine, j'étais à mille lieux de mon environnement cosy habituel. Une fois sur le palier, je sonnais en fixant l’œilleton de la porte, impatient de rejoindre mon amant.
Patrick me faisait entrer avant de m'embrasser pour me souhaiter la bienvenue. Il avait une cicatrice qui lui fendait la lèvre supérieur mais cela ne me dérangeait pas. Je ne lui posais pas la question de savoir comment il s'était fait ça de peur de le vexer. Après tout, je n'avais rien à dire avec mes lippes charnues. On pouvait croire que du sang noir coulait mes veines, d'ailleurs on me l'avait déjà demandé à plusieurs reprises. Mais d'après ce que j'en savais, j'étais d'origine purement caucasienne, cheveux châtain, yeux vert, la peau très pâle si ce n'est cette étrange singularité.
Nous passions le début de la soirée devant la télévision, regardant des jeux abrutissants ou des variétés en sirotant du Soho, un alcool à base de litchi. Lui, assis dans son canapé, me caressant comme on le ferait avec animal domestique. Moi, allongé sur lui, blotti sur ses cuisses, savourant son contact. Une fois bien détendu, les vapeurs d'alcool brouillant la réalité, il dégrafait son pantalon et sortait son membre massif érigé sous mon nez. C'était le moment pour moi d'avoir ma récompense. Comme une bonne petite chienne, je prenais en bouche ce braquemart surdimensionné. Décidément j'étais abonné aux grosses queues! Quelle terrible fatalité ! Je m'affairais a laper mon chéri pour le mettre en condition pour la suite de la soirée qui allait se poursuivre dans sa chambre.
Une fois tout les deux nus, nous nous embrassions fougueusement, sa bouche écorchée contre ma bouche gonflée, nos langues s'accouplant de baisers humides. Pendant qu'il cherchait un préservatif et du gel lubrifiant, je me mettais en position de levrette sur le bord du lit, ma croupe tendue et offerte.
Il me pénétrait toujours avec délicatesse essayant de ne pas me faire mal malgré la taille de l'engin qu'il avait entre les jambes. Même badigeonné d'huile, son sexe ne rentrait pas complètement en moi! J'étais encore trop serré pour lui et la sensation de son énorme trique dans mon anus me faisait hurler de plaisir.
Patrick me demandait toujours de baisser d'un ton, que les voisins allaient nous entendre. Les murs étaient fin comme du papier à cigarette et j'allais alerter tout l'immeuble sur ce que nous étions en train de faire si je continuais à gueuler comme ça ! Honteux d'être si peu digne dans un moment pareil, je mordais de toute mes forces dans un coussin pour étouffer mes bramements jusqu'à ce que mon étalon soit satisfait.
Nous nous câlinions ensuite un moment sous la couette en discutant de tout et de rien jusqu'à ce que je reprenne la route chez mes parents.
"_Alors cette soirée, c'était bien? Me demanda ma mère le lendemain au réveil.
_Oui, super man.
_tu n'as pas rencontré une jolie fille ?
_Euh, non, on était entre potes.
_Quand me présenteras-tu une fiancée? Un beau garçon comme toi!"
Si tu savais maman, ce que ton petit garçon faisait de ses soirées! Mon père, lui commençais à avoir des soupçons sur mon orientation sexuelle, sans doute avait-il remarqué ma démarche chaloupée provocatrice et mes manières de plus en plus efféminées même si cela restait subtil.
"_Ne te fait pas trop d'illusions, ce petit pédé n'est pas prêt de te ramener une future belle-fille!" Raillait-il avec ironie pour cacher sa déception.
Lorsque la conversation prenait cette tournure, j'allais me réfugier dans ma chambre où je pouvais tranquillement chatter avec des mecs désireux de rencontrer un jeune gars peu farouche. Je tombais sur le profil d'un homme d'une quarantaine d'années qui cherchait à recevoir des jeunes chez lui. Il s'appelait Rodrigue, avait dû revenir vivre dans la région après un séjour en Angleterre pour régler des affaires familiales après le décès de son père et n'était finalement jamais reparti. C'est outre-manche, qu'il avait prit conscience de sa préférence pour les hommes. Mais pour lui, il n'était pas question de refaire avec les mecs ce qu'il faisait avec les femmes. Il cherchait donc un actif capable de le satisfaire et clairement je n'étais pas celui qu'il lui fallait, moi la petite lopette de service. Il me demanda si je connaissais quelqu'un qui pouvait faire l'affaire. Évidemment, je pensais à Patrick, mais lui était à moi ! C'est alors qu'il me confia qu'il communiquait avec un mec mais qu'il ne l'avait jamais rencontré car ni l'un ni l'autre n'avait de véhicule. Apparemment c'était un mec très bien membré et il s'appelait Patrick...
Quoi ! Mon Patrick continuait a chatter derrière mon dos malgré notre relation. Je tombais de haut. Comment ce goujat osait-il me faire ça ! Puisse que c'est ainsi, j'entrais dans son jeu pour me venger. J'avouais à Rodrigue que je le connaissais, que je pouvais même organiser une rencontre si il le souhaitait. Quelle coïncidence ! Mais je le connaissais jusqu'à quel point? me demanda t-il. Disons que son anatomie n'avait plus de secret pour moi, répliquais-je d'un ton mutin.
Je pris mon rôle d'entremetteur très au sérieux, m'amusant comme un petit fou. Proposant à Patrick de le conduire chez ce Rodrigue si c'est vraiment ce qu'il voulait ! Jouant les faux jaloux. Mais qu'il ne comptait pas sur moi pour participer à cette orgie!
Sans lâcher mot, je fis le taxi jusqu'au petit village de notre hôte. La maison était assez grande mais négligée. Rodrigue nous accueilli dans son salon et nous offrit une cannette de Desperado en guise de rafraîchissement. En signe de mécontentement je m'installais à l'écart affichant un air renfrogné. Rodrigue était un bel homme à l'allure maniérée, grand, cheveux brun, d'une quarantaine d'années. L'ambiance était tendue. Je commençais à penser que ce n'était peut-être pas une si bonne idée d'avoir organiser ce rendez-vous.
Pour rompre la glace, Rodrigue nous demanda depuis combien de temps nous étions ensemble, la nature notre relation. Je laissais Patrick répondre:
"_Je bosse dans un supermarché discount la semaine. On se voit le week-end chez moi pour baiser. Je suis uniquement actif et je cherch ...

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