J’avais mis une vingtaine de minutes à trouver l’adresse exacte, et il était 14h40 lorsque je sonnais enfin chez Jean-Louis. C’était une connaissance de mon grand frère, qui avait accepté de m’héberger pour les 3 jours que je devais passer à Paris. Je n’avais que 40 minutes de retard, lorsque j’entendis la porte de l’appartement se déverrouiller. C’est une très belle femme, qui m’ouvrit la porte. Brune aux cheveux noirs, elle attirait le regard avec son décolleté vertigineux. Je me contrôlais, même s’il fut difficile de ne pas plonger mes yeux dans ce sillon tracé entre ses deux lobes de chair. Sa minijupe et ses jambes gainées de bas noirs finissaient de la mettre en valeur.
- Bonjour, je m’appelle Eric dis-je. J’avais rendez-vous avec Jean-Louis.
- Bonjour Eric dit-elle en me faisant la bise. Je suis Sabrina, la sœur de Jean-Louis. Il ne devrait pas tarder me fit-elle en me faisant rentrer.
Je n’arrêtais pas de la regarder en coin, tantôt ses grosses mamelles ainsi offertes à mon regard, tant ses cuisses sur lesquelles je devinais parfois la naissance de ses dim up. Cela m’excitait, et je pense sincèrement qu’elle en jouait aussi. J’appris qu’elle n’avait que 41 ans, alors que j’en avais 51 ans et qu’elle avait créé son Institut d’esthétique il y a deux mois à peine. J’appris également que son frère était bien plus âgé, Jean-Louis devant fêter demain son 57ème anniversaire. Il arriva enfin. Grand, même très grand, il devait dépasser 1,90 mètre, Jean-Louis portait un Jean et un t shirt avec lunette de soleil et cheveux courts. Une barbe de 3 jours lui donnait un air négligé et chic à la fois. Il me fit la bise et se dit très heureux de me rencontrer. Il demanda à Sabrina de refaire un café et vint s’assoir dans le canapé à côté de moi.
Il se colla à moi, je sentais sa cuisse contre la mienne.
- Alors Eric, tu viens pour un emploi à Paris me dit-il …. C’est plutôt sympa non ! Moi je suis en préretraite, ma boite américaine ayant du fermer ses portes. C’est un plaisir de pouvoir t’aider me dit-il.
J’avais l’impression qu’il se frottait à moi, sa cuisse contre la mienne et qu’il cherchait ce contact volontairement. Sabrina revint avec trois cafés qu’elle déposa sur la table, nous offrant une vue imprenable sur ces deux grosses mamelles. On voyait la naissance de ses auréoles. Cela m’excitait. Alors qu’elle repartait chercher du sucre à la cuisine, Jean-Louis se rapprocha de moi encore plus et me susurra à l’oreille :
- Elle a une sacrée paire de loches ma sœur, tu as vu …..T’inquiètes pas me fit-il elle adore qu’on la mate. En me disant cela, il posa ma main sur la cuisse. L’air de rien, comme si tout était naturel, il se mit à me caresser la cuisse à travers le jean.
Je ne sais pas si c’est la vue de Sabrina ou les caresses de Jean-Louis, toujours est-il que je me sentais excité. Lorsque Sabrina revint dans la pièce, je fus à la fois gêné et excité, qu’elle me voit avec la main de Jean-Louis me caressant la cuisse. Je vis bien ses yeux se poser sur cette main qui doucement glissait le long de ma cuisse gisant à l’intérieur. Elle s’assit à ma droite alors que Jean-Louis était à ma gauche …. J’étais entre les deux, mes yeux regardant ses jambes alors que la main de Jean-Louis se faisait de plus en plus pressante et insistante. Elle me caressait l’intérieur des cuisses remontant centimètre par centimètre …
- Et tu vas travailler pour quelle boite me demanda Jean-Louis sans cesser de me caresser la cuisse ?
- Une boite norvégienne, qui ouvre sa succursale en France dis je
- Ce sont des entreprises sérieuses les boites scandinaves me fit Jean-Louis, alors que je sentais qu’il pressait pour que je m’ouvre un peu plus ….
Je ne savais que faire, même si je dois avouer que j’étais fortement troublé de cette situation. Je m’exécutais écartant un peu plus les jambes sans trop y réfléchir. Sabrina se leva et alla dans la cuisine. Jean-Louis suprit son regard appuyé sur ses fesses moulées dans cette jupe minuscule noire.
- Elle est excitante me dit il à l’oreille ? Sa main étaient maintenant très haut sur ma cuisse, et ses doigts effleuraient presque mon entrejambe. Tu aimerais te la faire ? me fit-il alors que je sentais le bout de ses doigts glisser sur ma queue a travers jean désormais.
- Non …dis-je troublé. Troublé d’être si excité par une simple caresse d’homme.
- Moi tu sais me fit-il, je n’ame que les hommes. Je sentais son souffle sur mon oreille il était collé à moi. Et je dois bien t’avouer que je te trouve très attirant et très excitant me dit-il en plaquant cette fois-ci sa main complète sur ma queue. Même a travers le jean, il dut sentir que cela me fit bander.
- - Euh … euh …fis-je sans savoir comment réagir. Je restais cependant ainsi, trop excité de cette situation.
La main de Jean-Louis était plaqué sur mon entrejambe, et il commençait à me masser doucement et sensuellement. Sabrina revint et vit cette main poser sur mon sexe et elle sourit. Elle regarda attentivement et cela me troubla un peu plus. Je n’avais jamais été attiré par les hommes et pourtant Jean-Louis m’excitait.
- Je vais aller faire deux ou trois courses et je reviens dis Sabrina. Frérot tu nous paieras l’apéro quand je reviens.
- Bien sûr fit-il en continuant sa caresse
Sabrina sortie, il accentua ses caresses en me disant à voix haute :
- On dirait que tu aimes bien cela Eric. Tu bandes déjà.
- Je comprends pas …. Je suis désolé dis je confus et géné et excité à la fois
- Ne sois pas gêné Eric me fit Jean-Louis en commençant à me déboutonner ….Tu sais un homme sait mieux te donner du plaisir qu’une femme et je vais te le prouver. Relaxe-toi, je te sens tendu dit-il en rigolant …. En me serrant la queue à moitié dure à travers le jean …. Moi aussi je suis tendu et tu vas le sentir Eric.
Très habilement, il me déboutonna et en quelques instants je me retrouvai nu simplement en t-shirt, ma queue à moitié dressée…. Sa main droite s’en saisit et il commença a me masturber doucement très doucement….
- Mais tu as une belle queue Eric …tu vas vite deven ...
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