Je descends du train. Du quai, il faut traverser une voie pour accéder à un autre quai derrière lequel je vois le parking ou mon contact m'a donné rendez vous en me disant qu'il viendrai me prendre pour m'emmener chez lui ou il risque d'y avoir déjà un autre soumis. Comme il me l'a ordonné j'ai mis un short en jean serré, un tshirt, des tennis et rien d'autre.
Je l'ai rencontré sur internet, je ne le connais pas encore mais je vais être sa pute pour le week end. J'adore.
Je suis sur le parking, il m'a dit avoir une voiture grise, le seul véhicule gris est un scenic, mais il y à trois personnes à bord, j'en déduis que c'est pas ça. Pas d'autre voiture grise ! Et voilà que la chauffeur du scénic me fait signe. En me dirigeant vers lui je cogite, il m'avait pas dit qu'ils seraient trois... Bon si il y à un autre soumis, il y à peu être aussi un autre domi.
J'arrive au scenic.
Salut ! Erica ?
Bonjour. Oui c'est moi.
Bien. J'ai emmené deux potes, ça te gêne pas j'espère ?
Deux copains... donc ce n'est pas le deuxième soumis, C'est à la fois inquiétant et... excitant. Je réponds que non, ça ne me gêne pas. Il me dit de monter derrière. Alors que nous partons. Le mec qui est à coté de moi, la soixantaine, me regarde. « Alors comme ça t'es une bonne salope ? » Qu'il me dit. Il attaque direct, à moi de jouer mon rôle. « Oui Monsieur » -  Ouai c'est une salope ça - renchérit Jean celui qui m'a invité et chez qui normalement nous allons. - Je l'ai bien vu, en tchatant avec elle sur internet que c'est une sacré salope !
Tandis qu'il parle mon voisin caresse mes cuisses nues.
« Tien, répète ce que tu m'as écris, dit nous pourquoi t'es là » renchéri Jean.. Je me souviens en parti de ce que j'avais écris lors de nos échanges. J'étais alors excitée à l'idée qu'il me baise et je m'étais laissé allé. La j'ai un peu peur mais je me décide pour une réponse à la hauteur de mon status de lope. « Je suis une chienne et je viens chercher de la bite ».
Pendant ce temps les caresses de mon voisin sont arrivé à mon entrejambe et il tâte (oui c'est le terme approprié) a travers le short mes testicule et ma bite. « Et c'est un petit short de chienne que tu nous as mis la ? » me fait il « oui monsieur »
Il sort sa bite et attrape ma tete, je comprend tout de suite que je dois sucer.
Il ne bande pas et je m'emploie à l’exciter mais ça ne semble pas aller assez vite pour lui. « qu'est ce que tu fous salope, il faut t'apprendre à sucer? » je m'applique comme je peux, aspirant sa bite, jouant de la langue mais le mec reste mou ! « elle veut pas sucer, on va la dresser » c'est le passager avant qui à parlé. Il n'avais encore rien dit depuis mon arrivée. «  tien prend le chemin du bois la, on sera tranquille ».
j'essaie toujours de faire bander le mec mais sans grand succès. Sa bite a à peine gonflé un peu dans ma bouche. Je sens les cahots de la voiture qui roule maintenant sur un chemin ;
« arrête toi la c'est bon ici » la voiture s’arrête. Le le mec de 60 ans me maintient la tête entre ses jambes, j'entends les portières qui s'ouvre puis c'est au tour de la mienne , Une main attrape mon short à la ceinture « a genou pour sucer salope, Une chienne offre toujours son cul quand elle suce compris »
je ne peux pas répondre vu que j'ai la bouche pleine mais je m'installe a genou sur le siège tandis que des claques tombent sur mon short. « elle suce mieux la » « non c'est pareil » fait le mec de 60ans. Viens par ici sale pute ! Je suis tiré en arrière par la ceinture de mon short et expulsé de la voiture. Le mec me traine entre les arbres, «  a genou ; suce ! » il y à des bogues de châtaignier, des feuilles mortes, des brindilles chose qu'on trouve normalement sur un sol de forêt, mais pas facile de s'agenouiller jambes nues, Le mec à sorti sa bite, lui il bande, il doit avoir 50 ans et c'est in costaud vu la façon dont il m'a sorti de la voiture. Il me fait sucer me rentre sa bite en gorge profonde je tousse, il me gifle, « c'est quoi cette fiotte, elle sait pas travailler? » Il me réintroduit en gorge profonde mais je tousse encore, je crache de la bile, je reprend des baffes, toujours à genou, il arrache mon t-shirt « je vais te dresser sale chienne » .
Il me met en travers sur sa cuisse. « donne moi tes mains » je m'exécute et il me plie les bras dans le dos et m'attache les avant bras avec mon t-shirt, Cela fait il commence à m'appliquer une fessée à travers le short. Il tape fort ça fait mal et je crie, je comprends pourquoi ils voulaient un coin discret, ici à part nous personne en risque de venir. Je réalise que je suis totalement à leur merci.
Tandis que la fessée continue, Jean se met devant moi, bite sortie en érection, je le prend en bouche et le suce. La fessée s’arrête de le mec me masse l'anus à travers le short, j'adore ça, jean à pris ma tête et me lime la bouche. Le mec à glissé son doigt sous le short pour mieux me doigter, c'est trop bon, quand jean enlève sa bite je gémis. « ha, voilà la salope qui arrive » fait le mec, il arrête de doigtage et reprend la fessée de plus belle, j'ai mal je supplie.
Entre la trouille, la douleur et l'excitation sexuelle je ne sais plus ou j'en suis. je pleure,
Jean me met quelques claques. Puis ils s'arrêtent. Le mec se remet à ma doigter tandis que Jean me fais sucer ses doigts. Je réagis au doigtage et gémis alors jean me met sa bite en bouche , je la suce je vais la chercher le plus profond possible «mais voilà, le dressage commence à prendre » le mec de 60 ans à rejoins Jean, maintenant il bande, je dois le sucer puis jean, puis ils introduisent tous les deux leur bite dans ma bouche, une vrai pute ça, ça m'excite.
« allé on va faire ressortir encore plus la salope » la fessée reprend, toujours sur le short, toujours très forte, le mec me prend par les cheveux et me tire la tête en arrière en continuant ses claques brutales sur mon short. «Salope ! Tu vas voir ce que tu vas devenir avec nous » puis il demande à jean d'attraper le crochet et la corde qui sont dans la voiture. Je me dit qu'ils avaient tout prévu et qu'ils ont emmené le matos avec eux. Les salauds !
Tandis que jean lance la corde par dessus une branche assez solide, le mec se relève, me met à genoux et me soulève par la ceinture du short. Le mec de 60 ans viens l'aider, ils me tiennent à deux, je pèse soixante dix kilos quand même ! Je comprend qu'ils ont l'intention de me suspendre par le short au crochet que jean est en train d'ajuster à la bonne hauteur.
La bonne hauteur, c'est à dire que mes pieds ne touchent pas par terre. Quand ils m'accrochent et m’enlèvent mes baskets, je suis très excité, mais la fessée reprend de plus belle, il sont trois à me frapper, moi je pleure, sous l'effet des coups je me suis mis à tourner au bout de la corde ce qui fait qu'ils me frappent à tour de rôle quand mes fesses passent devant eux. Je demande s'il vous plait, je suis gentille je suis votre chienne , baisez moi .. etc mais rien n'y fait.
A un moment le mec de 60 ans ramasse un bâton qu'il casse pour en faire une badine, j'ai peur, je crie non non, pitié.
Ils arrêtent ma rotation, l'un caresse mon cul avec le bâton tandis que les deux autre cherchent aussi de quoi l'imiter. Ils ne tardent pas à revenir à leur tour avec des bâtons. J'ai peur. Les bâtons caressent mes épaules, mon ventre, mes fesses mes cuisses, je sens qu'ils en ont passé un derrière la cuisse entre la fesse et mon short et qu'il essai de se diriger vers ma chatte.
Le mec est devant il me présente un bâton devant la bouche que je dois sucer, je le prend en bouche et commence à sucer, ça semble lui plaire il me caresse la cheveux, je n'ai qu'une crainte c'est qu'il me l'enfonce dans la gorge mais il n'en fera rien.
Comprenant sans doute l’insuccès de la tentative, le bâton à été retiré de dessous mon short, maintenant il pousse sur la couture de mon short à hauteur de mon anus. Le mec enlève le bâton de ma bouche et me présenta sa bite que j'engouffre dans ma bouche goulument. ça semble lui plaire, il me tien la tête et me lime en gorge profonde, je laisse faire.
Puis il cale sa bite au fond et me tien la tête au bout de quelques secondes il demande aux autre de de sortir mon clito. Une main me maintient, ouvre mon short et tire ma bite à l'extérieur, puis le short est refermé bite dehors a travers la braguette qu'ils ferment aussi au maximum.
Le fait de savoir mes parties ainsi exposées est extrêmement désagréable, quand je sens le froid d'un bâton commencer à me tapoter la gland ; j'ai peur ; « on a va la traire cette chienne » je sens à nouveau un appuis contre mon short entre mes deux fesses au-dessus de mon anus. Puis ça se relâche, comme si ils avaient percé mon short, puis un bruit me fait comprendre qu'ils sont en train de couper la couture du short pour accéder à mon anus.
Je voudrai dire non mais j'ai une bite dans la bouche et je ne ...

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