Nous étions maintenant assis sur la terrasse de ma chambre, face à ce paysage beau à couper le souffle.
Le soleil commençait à se coucher, baignant le paysage d'une lumière douce et dorée. À côté de moi, Daoud, ce simple fellah marocain, sirotait tranquillement son thé à la menthe. Nous bavardions de tout et de rien, mais au fur et à mesure de notre conversation, je fus de plus en plus surpris par la richesse intérieure de cet homme.
Ses yeux brillaient d'une vivacité et d'une sagesse remarquables. Chaque mot qu'il prononçait semblait pesé et réfléchi, trahissant une profondeur de pensée inattendue pour quelqu'un de son milieu. Il me racontait ses journées passées dans les champs, la rigueur des saisons, et les traditions ancestrales qu'il perpétuait avec fierté. Ses récits étaient empreints d'une forme de poésie simple et authentique, qui résonnait avec l'âme de ces terres.
Je fus particulièrement touché par ses expériences de vie. Il avait traversé des épreuves que peu auraient pu endurer : des périodes de sécheresse implacable, des récoltes ravagées par les intempéries, mais aussi des moments de joie intense, son mariage, la naissance de ses enfants, les récoltes abondantes et les fêtes villageoises. Chaque événement, heureux ou malheureux, semblait avoir forgé en lui une résilience et une sagesse hors du commun.
Ce qui me surprenait le plus, c'était la pertinence de ses remarques. Loin d'être naïves, ses observations sur la vie, la nature humaine, et même les enjeux politiques de son pays, étaient d'une perspicacité étonnante. Il parlait de la nécessité de l'éducation, de l'importance de préserver l'environnement, et du besoin de solidarité dans les moments difficiles. Ses mots résonnaient en moi, car ils étaient empreints d'une vérité universelle, transcendante.
En regardant les gorges du Dadès s'enflammer sous les derniers rayons du soleil, je réalisais à quel point cette rencontre avec Douad était enrichissante, et pas qu’au plan sexuel. Ce simple paysan, par son vécu et ses paroles, m’offrait une perspective nouvelle et précieuse sur la vie. En fin de compte, notre échange m'avait appris autant, sinon plus, que tous les livres que j'avais pu lire.
Car il me parla aussi de sa misère sexuelle. Il aimait beaucoup sa femme mais elle ne l’excitait plus et avait une libido très restreinte. Elle était, de plus, peu imaginative en amour, aucune initiative de sa part.... Il l’avait épousée à vingt ans, car il avait eu la chance, à l’époque, de toucher un petit héritage ? Sans cela, il serait resté « célibataire forcé » pendant encore pas mal d’années.
- Célibataire sans baiser de femmes ?
- Et quelle femme, ici, accepterait ?
- Tu t’es marié puceau alors ?
Il rigola franchement.
- Non, pendant mon service militaire à Meknès, j’ai eu la chance de tomber sur une touriste allemande. J’avais 23 ans, et elle quarante. Une vraie cochonne ! Une chienne ! Elle m’a tout appris pendant la semaine de ses vacances. Elle en demandait sans arrêt : matin au réveil, avant midi, pendant la sieste, en fin d’après-midi, avant de s’endormir, elle me réveillait encore en pleine nuit pour ça ! Ah, mais j’étais jeune à l’époque...
- Ne t’inquiète pas, mon ami, il te reste encore de beaux restes. Elle a dû s’éclater avec ton zob énorme ?
- Ah oui, ça elle l’a aimé ! Elle m’appelait son éléphant ! Il s’esclaffa. Elle me faisait plein de petits cadeaux. Tu comprends, moi, au service militaire, pas un dirham.
- Elle n’avait pas entièrement tort, tu as une très belle trompe ! Comme ton fils d’ailleurs !
- Karim a un zob aussi gros que le mien ?
Je le regardais, interloqué et bégayant presque :
- Mais tu ne sais pas comment est le sexe de ton fils ?
- Petit oui, mais dès l’adolescence, ça se montre plus...
- Et bien, je peux te dire qu’il a un zob aussi long, ou presque, que le tien, et plus large en plus.
Je sentis une réelle satisfaction, pour ne pas dire un soulagement au reçu de cette information.
- C’est important pour toi ?
- Dans ma famille, oui.
- Désolé de ne pouvoir te renseigner sur Younes.
- Ça, c’est pas la peine...
- Mais alors, comment as-tu fait ?
- Je l’ai surpris un jour à l’oasis en train de se baigner nu.
- Et alors ?
Avec une mâle assurance et une satisfaction évidente, il me répondit :
- Il est bien de ma famille !
J’éclatais de rire.
- Tu es impayable, mon Daoud. Alors tu n’as pas eu d’autres femmes ?
- Non, tu as ma parole.
- Mon Daoud, te connaissant maintenant, tu ne vas pas me faire croire que tu es resté sans baiser pendant toutes ses années ? Ou alors tu as niqué des garçons ?
- Bien sûr !
- Beaucoup ?
- Je sais pas ce que tu appelles beaucoup. Mais il y a suffisamment de touristes qui viennent au Maroc pour ça, pour trouver de belles bites marocaines…
Je rigolais encore un bon coup.
- Mais c’est souvent des vieux qui veulent des choses sales, pas dignes d’un homme comme moi. Alors, je leur promets plein de choses puis je les nique rapidement et m’en vais. Mais très rarement des jeunes... Enfin, je veux dire des jeunes comme toi.
-Et tu aimes ?
- Tu as l’âge que je préfère et qui me rappelle mon service militaire. Mais les touristes seuls de ton âge sont rares ici. Surtout des vieux couples...
-Ça tombe bien, pour moi aussi Daoud, tu as l’âge d’homme, juste mûr, qui me convient, et tu es très beau !
Je le sentis flatté. Je décidais d’en rajouter une louche :
- Et j’ai rarement vu un zob aussi gros e ...
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