Le lendemain matin, repartant pour une virée, je passais devant l’étal de Karim, déjà à son poste, toujours souriant.
- Alors, tu as aimé hier soir ?
- Ah oui, c’était vraiment super ! Quelle balade ! Tu me laisseras la reconduire ?
- Et le reste, ça t’a plu ?
- C’est toujours bon ce genre de chose…
- Tu n’as pas l’air d’avoir apprécié plus que ça ? Tu préfères les femmes ?
--Si, si, j’ai bien aimé. Mais tu sais ici les femmes… Tant que tu n’as pas un bon métier…
- Ben alors ? Comment tu fais quand tu es excité ?
Il éclata de rire :
- Je me fais plaisir tout seul…
Voulant changer de conversation, il me demanda quel type d’excursion je voulais faire. Il me donna quelques conseils de lieux peu connus qui se révélèrent d’ailleurs judicieux.
Au retour, je m’arrêtais à nouveau pour le remercier pour ses indications, et peut-être voire plus…. Je lui proposais donc une virée, imaginant bien qu’il devinerait ce que j’attendais de lui.
- Oh oui ! Mais c’est trop tôt, il faut que je vende encore un peu. Passe plutôt à la tombée de la nuit, je t’attendrais.
J’arrivais donc après avoir pris une bonne douche au crépuscule. Il me fit signe dans la lueur du phare. Visiblement, il avait tout rangé son attirail et se tenait près.
- Tu veux à nouveau piloter ?
- Ça te dérange pas ? J’aimerais beaucoup.
- Allez, installe-toi. Je me positionnais et lui dis :
- Démarre, champion !
Il avait parfaitement assimilé les leçons de la veille et pilotait correctement l’engin. Ce garçon était doué. Bien sûr, je mis mes mains exactement où il fallait et commençais un pelotage en règle. Très rapidement, il banda très fort. Je me collais à lui, ma poitrine écrasée contre son dos tout chaud, lui pelotant alternativement la bite, les couilles, son pubis, son torse, tout en lui prodiguant des léchouilles plus qu’humides dans son cou et ses oreilles.
Il prenait visiblement un double plaisir à la conduite et aux caresses. Tout en me faisant plaisir, je me demandais lequel l’emporterait à un moment.
Pour l’instant, il désirait plutôt profiter du pilotage. Mais je sentais bien que mes caresses expertes commençaient à le troubler.
Il me surprit en me demandant par-dessus son épaule :
-Tu veux qu’on s’arrête ?
L’invite était évidente !
-Laisse-moi trouver un coin tranquille, me répartit-il.
Il bifurqua sur un chemin de traverse et nous nous retrouvâmes rapidement face à une masure abandonnée.
- Comment tu l’éteins et tu coupes la lumière ?
Je fis le nécessaire. Il descendit, me prit par la main en me disant « viens » et me fit entrer dans cette vieille ruine.
Là, de lui-même il ôta tout de suite son caftan pour s’offrir à moi, dos au mur, la queue plus que raide et les yeux incandescents dans cette nuit montante.
Aussitôt, je me plaquais à lui pour avaler ses lèvres et sa langue dans un baiser passionné, mes mains parcourant fébrilement tout son corps. Il se raidit quand je me mis à lui caresser ses fesses.
-Non, moi, tu ne me niques pas.
- Comme tu veux.
Mais ses mains restaient malheureusement inertes vis-à-vis de mon corps en feu. Il se caressait en revanche lui-même le pubis, le ventre et ses pectoraux, pinçant de temps à autre ses mamelons, me gênant ainsi dans le léchage éperdu que j’avais entamé de son torse, de son cou, de ses oreilles. Je descendis donc vers son ventre dont je percevais les ondulations de ses muscles abdominaux par ma langue, puis vers son pubis, à la forte mais enivrante odeur de transpiration, pour finir, enfin, les yeux face à son vit énorme. Je l’évaluais au moins à 25-26 cm ! Parfaitement raide, presque sans aucune courbure, le gland énorme et violacé dégoulinait de précum. Ses couilles sans être trop grosses, avaient la forme d’une figue, mais pas du tout pendouillantes. Je les caressais avec tendresse, les lapant par intermittence. Il émanait de son sexe une odeur délicieuse et enivrante à la fois de transpiration musquée, d’urine, de précum.
Je pompais ardemment son chibre tout en lui pétrissant les roubignoles qui roulaient avec délice sous mes doigts. Une main remontait par instants vers son pubis et son abdomen pour redescendre pour frotter sa hampe. Avec mes dents, je lui mordillais l’emplacement de son frein qui n’existait plus. Tous mes efforts le faisaient ni plus ni moins vibrer, et je n’exagère pas... Il me tenait la tête parfois pour m’imposer un rythme plus lent mais surtout plus ample, poussant son énorme gland jusqu’aux tréfonds de ma gorge, provoquant ainsi un réflexe normal de régurgitation. Il semblait comme psalmodier des phrases en arabe de contentement évident. Plusieurs fois, l’excitation lui fit plier les genoux, presque à demi, de ses jambes largement écartées. Mon plaisir était immense en dépit du fait que je n’étais même pas dévêtu. Mais face à ce magnifique jeune corps d’éphèbe, offert si généreusement à moi, je ne pensais sur l’instant qu’à le satisfaire. Ce qui arriva, dans un fulgurant cri de jouissance, m’emplissant la bouche d’une puissante suite d’éjaculations généreuses, chaudes et délicieuses, faisant vibrer jusqu’à ses testicules. Il cria très fort. Me bloqua la tête en l’enfonçant à fond, puis se détendit petit à petit.
Je persistais néanmoins dans mes actions de succion sur son chibre à peine ramolli, malaxant encore plus vigoureusement ses roubignoles. Il criait des « Aïe ! Aïe ! » de douleur tout en se cambrant au maximum. Je prolongeais mon action tout en lui prenant à deux mains d’autorité ses fesses que je pétris. Pris dans sa forme de douleur-plaisir, il ne put se dérober devant cette action énergique. Cela dura encore quelques instants où je voyais ses jambes trembler. Puis son sexe se ramollit plus rapidement, ses testicules redescendirent un peu plus pendant que j’essayais de boire les dernières gouttes de sa semence. Maintenant, il soufflait comme pour récupérer. Je me redressais alors et vins cueillir, sur ses lèvres humides, un langoureux baiser de récompense. Il dura plusieurs minutes. Tout en m’embrassant, il m’ôta ma chemise, dégrafa ma ceinture et ma braguette et fit descendre mon short et mon slip à mes genoux.
D’autorité, il me retourna, plaqua mon dos nu contre son torse trempé et entreprit de me masturber, je dois le reconnaître, cette fois-ci presque avec tendresse. J’étais aux anges ! Il me retournait parfois la tête pour m’embrasser interminablement... C’était vraiment délicieux. Ce faisant, comme j’étais vraiment collé à lui, il plaça son sexe bien entre mes fesses, tentant bien de l’insérer. Comme je réalisais que son engin reprenait de la vigueur, et imaginant bien ses intentions de puceau, je lui soufflais en rigolant :
-Moi non plus tu ne me niques pas.
Il comprit et, jouant le jeu, m’offrit un sourire des plus craquants accompagné d’un fougueux baiser d’amant passionné. Ma jouissance vint rapidement, violente, me contraignant à me décoller de lui. Mais d’une main ferme, il me plaqua à nouveau à lui, pendant que l’autre continuait à m’astiquer. C’est moi qu’il prenait maintenant à mon propre jeu, ayant bien compris ma technique. Me caressant virilement tout mon torse et me pinçant violemment mes tétons, tout en m’embrassant, l’action de son autre main s’avéra efficace, mes jeunes années aidant certainement. Je réalisais que je recommençais à bander, pas au maximum mais suffisamment pour que ses doigts puissent imprimer leur va-et-vient et me décalotter alternativement. Par une perception innée, quand il sentit que j’allais jouir une nouvelle fois, il m’aplatit à nouveau contre son torse en imprimant une cadence folle. Je jouis comme je n’avais pas joui depuis longtemps, gueulant comme un veau, faisant presque résonner tout la vieille baraque.
- Chut ! T’es fou ! On va vous entendre !
- Oh putain, Karim, c’était si bon ! J’en avais presque les larmes aux yeux.
- Chut, tais-toi ! Sans doute pour obtenir le silence, il colla alors ses lèvres aux miennes.
Je fus surpris de le voir présenter à ma bouche ses doigts recouverts de mon sperme. Je les suçais un à un, bien lentement, puis poussais le dernier entre ses lèvres. Il ne refusa pas et le lécha sans avidité, mais visiblement uniquement pour me satisfaire.
Ouf, que de moments intenses ! Que de merveilleux souvenirs pour moi ! Nous nous retrouvions face à face, les yeux dans les yeux, nos lèvres presque à se toucher, sans rien dire, mais nous comprenant tacitement.
Ce fut lui qui donna le signal du départ...
Arrivé chez lui, je fus accueilli comme la soirée précédente. Sa mère toujours aussi hospitalière et douce, son père dans la même tenue. Mais il y avait en plus les frères et sœurs de Karim, qui me dévisageaient avidement. L’un d’eux, prénommé Younes, d’une quinzaine d’années, était également non moins superbe et promettait...La soirée fut très amicale, presque familiale, dirai-je.
Son père, Daoud, me demanda un service. Pourrai-je conduire, demain matin, sa femme q ...
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