Il cessa de me branler pour placer sa main contre mon ventre. De l’autre, qu’il avait retirée de mes fesses puisqu’il maintenait activement son gland contre mon anus, il la plaqua sur mon dos et me fit plier en deux avec une énergie incroyable. Utilisant mon mouvement, il en profita pour me pénétrer. Ce fut terriblement douloureux… J’avais l’impression d’être déchiré. Il me murmurait dans l’oreille des mots en arabe, que je compris se vouloir rassurant. La brûlure était extrême. J’avais bien compris qu’il n’y avait que le gland qui était passé. Il bougeait à peine, me caressant doucement le ventre et le pubis. De l’autre, il semblait comme me masser les reins. Je sentais qu’il gonflait volontairement son gland par intermittence. Puis, lentement, très lentement, avec beaucoup de précautions, il continua à me pénétrer très lentement. Je lui étais reconnaissant en moi-même de prendre tant de modération. J’avais un peu moins mal, mais j’étais très inquiet quant à la longueur de son membre. Jusqu’où irait-il. Ma douleur initiale fut un peu endolorie par l’agréable sensation de sentir cette chair toute chaude dans ma propre chair. Je percevais maintenant très nettement sa progression, millimètre par millimètre. J’eus même une certaine forme de satisfaction à bien percevoir sa progression en moi. Hormis cela, aucune autre sensation. Aucun plaisir. À ces murmures, ses halètements, je comprenais, en revanche, que pour lui c’était le Nirvana. Sans cesse, je sentais distinctement son chibre se gonfler par intermittence en moi. Il s’amusait à jouer latéralement du bassin comme pour mieux faire danser son vit dans mes entrailles. Je me surprenais à ressentir aussi bien cela.
Je compris qu’il était à fond, quand les poils mal rasés de son pubis vinrent titiller mes fesses, en me grattant la peau. Mon soulagement fut grand de constater que la longueur n’augmentait pas la douleur...
Il continuait à me caresser, à me baisouiller dans le cou. Il se redressa pour mieux retirer son membre et le renfoncer dans la foulée, un peu plus rapidement. Je n’en souffris pas.
Il répéta son manège et me glissa dans l’oreille :
-Tu aimes ça, ma femme ?
Profitant qu’il s’était retiré pour me susurrer ce qu’il pensait être un mot flatteur, je me retournais d’un coup sec, bien campé face à lui, avec la détermination la plus ferme qu’il m’était possible d’afficher dans le regard :
-Si tu m’appelles encore une seule fois « ta femme », on arrête là tout de suite.
Il me sourit, un peu ironiquement, puis me déclara tout en prenant vigoureusement ma mâchoire d’une main :
-Il se révolte le petit Firanssaoui ?
Avec la même assurance :
-Je ne veux pas que tu m’appelles ta femme. Je suis un mec. Tu es peut-être en train de m’enfiler, mais je reste un mec, avec une bite dans le cul ou pas !
Il me regarda un instant, silencieux et dubitatif, puis un sourire éclaira son visage lorsqu'il me confia :
- Finalement, je préfère que tu réagisses comme ça. J’aime niquer les mecs qui se sentent femmes. J’en profite, mais je les méprise... Avec toi, ce sera différent, et surtout nouveau pour moi.
Son expression se détendit, et je sentis que notre échange avait pris un tournant plus positif. Ses yeux brillaient d'une lueur de compréhension et d'acceptation et le début d'une nouvelle complicité entre nous.
Il m’embrasa à nouveau, sensuellement, m’inondant encore de sa salive. Je me demandais bien d’où lui venait cette habitude. Puis tendrement, il me retourna.
- Penche-toi et appuie tes deux mains sur le mur. Là...
Je m’exécutais. Nous nous trouvions juste sous le filet d’eau. Caresse aquatique très agréable. Cette fois-ci, il me prit les hanches directement après m’avoir encore, et heureusement très lentement pénétré. Les deux mains au mur suintant d’eau, complètement cassé en deux, je recevais maintenant ses pénétrations qui, avec l’ardeur montante, se transformaient en véritables coups de boutoir, où il insistait en poussant encore longuement quand il sentait sa queue bien à fond. Ses couilles venaient battre contre mon périnée. Il haletait, éructant des phrases inaudibles, tout en me broyant les hanches, en me les griffant même. Je ne ressentais plus la vive douleur de la pénétration ni aucun plaisir particulier mise à part l’agréable perception de le sentir au plus profond de moi et d’arriver par ce biais à le faire jouir...
J’étais maintenant obligé de m’appuyer encore plus fermement au mur, car il me pilonnait comme un dément, me donnant de coups de bélier qui allaient jusqu’à faire plier mes bras par instants, tout en me claquant très fort les fesses de ses mains.
Puis enfin, un dernier coup de reins démentiel qui faillit me faire chuter. Il beugla, resta profondément ancré en moi, tentant d’aller encore plus profond ! Il s’arrêta un instant, se retira, pour me retourn ...
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